Saturday, December 30, 2017

Deezer ou Spotify ou Google play ou youTube ou Apple Music ou Amazon Musique... ?

Nous parlons d'une industrie: l'industrie musicale et sa partie diffusion.

En premier contrairement à un support physique comme un CD ou vinyle, il n'est pas possible de revendre le morceau ou l'album acheté. Donc cette industrie est encore plus juteuse puisque c'est du "one shot"mais prend le risque de l'auto-diffusion comme l'industrie du livre et des revues.


Le véritable démarrage de l'industrie musik webService-like est la décision industrielle d'Apple qui lance l'iTunes Music Store aux États-Unis, dont le catalogue inclut des répertoires des cinq majors. Chaque morceau y est vendu au tarif unique de 99 cents au format AAC, et chaque album pour 9.99 dollars US (sauf exceptions). Le succès de son baladeur numérique iPod, étroitement intégré au logiciel iTunes, a été une révolution à la Steve, paix à son âme.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Magasin_de_musique_en_ligne
https://en.wikipedia.org/wiki/Online_music_store

https://en.wikipedia.org/wiki/Comparison_of_online_music_stores
https://en.wikipedia.org/wiki/Comparison_of_on-demand_music_streaming_services

Bref quoi que soit le mode d'achat (à la chanson, à l'abonnement), on écoute un droit d'un fichier numérique.  En audio, y a x qualités. mais la question est la banque de données fondamentale avant transcodage style bad MP3.
La taille de la banque de données fondamentale est la première grandeur à mutiplier par la croissance du nombre d'utilisateur * nbr d'utilisateur réel*croissance des services:
SoundCloud en a ~125 millions de tracks, puis Deezer avec ~40millions comme TIdal, Apple, Amazon. Spotify en a un peu moins ~30millions mais avec une excellente stratégie par exemple des appli pour objets connectés comme les montres samsung ou des aggrégations.
Microsoft a annoncé le 2 octobre 2017 que les services d'abonnement et d'achat de musiques prendront fin le 31 décembre 2017. Microsoft invite les clients de "Groove music" (et Zune Music ou Xbox Music) à migrer sur Spotify avec lequel il est en partenariat. L'exemple des échecs successifs de Microsoft dans cette industrie souligne combien cette industrie est très difficile.
Mais Spotify a >150millions d'abo ou de compte free, le BEST!
Deezer que 10millions et piétine en 2017. A part un superMegaBuzz mondial, la partie de boule de neige est jouée.

Un très bon article dans Les Echos

La toile regorge de services de streaming musical et il n'est pas toujours facile de faire un choix. François Lévêque, professeur d'économie, tente ici de vous éclairer dans votre réflexion.
Deezer, Spotify, Apple Music, Tidal, Amazon Musique... La liste Wikipedia des plates-formes d'écoute de musique en streaming contient une trentaine de noms. Quel service choisir ? La recommandation de la théorie économique tient en une phrase : choisir celui dont la victoire dans la bataille de la concurrence est anticipée.

Nous sommes en effet de plain-pied dans le monde économique des plates-formes et de ses puissantes externalités de réseau. Vous connaissez, sans doute, ces effets qui avantagent les entreprises aux plus larges clientèles.

Cela se traduit ici de la façon suivante : plus un service de streaming comptera d’abonnés, plus un abonné aura de chances de pouvoir échanger ses listes de lecture et ses avis avec d’autres ; plus appropriées seront les suggestions de titres qui lui seront faites; plus d’artistes et de labels auront intérêt à être présents dans son catalogue. Et, inversement, plus d’artistes et de labels sont présents dans un catalogue, plus il est intéressant d’y être abonné.

Parier sur le bon cheval

D’où des effets boule de neige et une course entre les plates-formes pour recruter le plus de clients des deux côtés de leur marché, et ce le plus vite possible. D’où une marginalisation et une disparition progressive de celles qui n’y parviendront pas. D’où au final un seul ou un petit nombre de vainqueurs. D’où, enfin, l’intérêt de parier sur un bon cheval dès le départ car changer de cheval en cours de route est bien ennuyeux.

Lire aussi :   Pourquoi le jazz et le classique peinent à s’imposer dans le streaming
https://www.lesechos.fr/tech-medias/medias/010160355128-pourquoi-le-jazz-et-le-classique-peinent-a-simposer-dans-le-streaming-2105163.php

Vous subirez en effet des coûts de changement de fournisseur. Non pas qu'il vous en coûtera des espèces sonnantes et trébuchantes, mais il vous faudra apprendre à naviguer sur une autre plate-forme et surtout vous perdrez vos listes de lecture et votre nouveau fournisseur - faute d'historique et des données qui vont avec - ne connaîtra pas vos goûts et ne saura pas au début vous adresser des recommandations et suggestions aussi bien ciblées.

rem perso: avoir toujours 2 fournisseurs.

Plus il y a d'abonnés, mieux c'est

Un autre avantage à la taille, plus classique, s’ajoute à ces effets de réseau : les économies d’échelles. Les données de l’équation économique de base du streaming les feront facilement comprendre. Chaque nouvel abonné contribue aux coûts fixes, c’est-à-dire qui ne varient pas en fonction des ventes, à l’instar des dépenses de développement des algorithmes, interfaces utilisateurs et autres logiciels.

Secundo, chaque nouvel abonné entraîne une augmentation de la redevance à verser aux labels. Elle est de l’ordre de 60% du montant des abonnements. Ainsi un plus grand nombre d’abonnés permet de mieux recouvrer les coûts fixes et donne un plus grand pouvoir de négociation à l’entreprise de streaming pour obtenir des redevances plus faibles.

Notez en passant que la partie de boules de neige coûte cher. A ce jour l’activité de streaming n’est pas rentable. Deezer, Tidal, Spotify et les autres entreprises spécialisées perdent de l’argent. Les Apple Music, Amazon Music et Google Music aussi mais leur déficit est masqué par l’intégration avec les autres activités de leurs opérateurs respectifs.

Procéder par élimination

Commençons à appliquer la recommandation de la théorie économique en procédant par élimination. D’ores et déjà des services de streaming ont pris un tel retard dans le recrutement d’abonnés qu’il est peu probable qu’ils survivront ou alors seulement sur des segments de marché restreints.

Ainsi : évitez SoundCloud, bien mal en point. Ne choisissez pas Anghami sauf si vous êtes fan de musique arabe car son catalogue s’adresse avant tout aux pays du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord. Eliminez Tidal, à moins que vous ne soyez un admirateur inconditionnel du rappeur Jay Z qui l’a racheté. N’utilisez TTunes que si vous possédez une Tesla.

Inversement, on peut être presque sûr que certains ne disparaîtront pas. C’est le cas des entreprises multi-produits dont le streaming fait partie. Il attire et fidélise des clients qui consomment d’autres de leurs biens et services. Il n’est donc pas soumis isolément à une contrainte financière et de rentabilité stricte qui limiterait les investissements pour recruter de nouveaux clients et améliorer le service.

Lire aussi :  Soundtrack Business, le Spotify de la musique d’ambiance
https://www.lesechos.fr/tech-medias/medias/030564173660-soundtrack-business-le-spotify-de-la-musique-dambiance-2114813.php#mX6c7Co1IgidP2km.99

C’est bien sûr le cas d’Apple. Pionnière de la vente de musique numérique à la pièce, la firme de Cupertino a pris tardivement le tournant du streaming, sans doute pour cause de cannibalisation. Sa vitesse de rattrapage est cependant spectaculaire. Elle a conquis 20 millions d’abonnés en deux ans. Citons également Amazon qui a lancé sa propre plate-forme musicale et la propose à un tarif réduit à ses meilleurs clients.

La présence durable de ces deux entreprises dans le streaming est d’autant plus certaine qu’il est un maillon indispensable de leurs haut-parleurs Echo et HomePod – vous savez, ces petites enceintes cylindriques connectées censées trôner demain dans tous les salons (ou presque) pour répondre intelligemment (ou presque) à toutes vos questions (ou presque).

Vous pouvez leur demander «Quel temps fera-t-il demain ?» mais aussi «Joue-moi la chanson du jour» ou «Passe le dernier single de Rihanna». Si d’ailleurs vous envisagez l’acquisition d’une telle enceinte connectée, je vous conseille de vous abonner à Amazon Music ou Apple Music pour éviter des problèmes d’incompatibilité. Si vous êtes attaché à ces entreprises mastodontes ou tout simplement trop paresseux pour changer de prestataire, faites le même choix.

Google ou pas Google ?

Le cas de Google est compliqué car l’entreprise joue sur plusieurs tableaux. Elle possède sa propre plate-forme, Google Play Music, accepte Spotify sur son enceinte connectée Google Home, et possède aussi YouTube.

Que vient faire ici la plate-forme de streaming vidéo la plus regardée au monde ? Et bien avec ses 800 millions d’utilisateurs elle est aussi la plus écoutée ! Par ceux qui payent à travers la publicité surtout, et, pour une toute petite partie, à savoir quelques millions seulement, par des abonnés à YouTube Red, sa plate-forme payante qui donne accès à un catalogue de films et séquences vidéo, mais aussi à un catalogue musical. Avec tout juste 7 millions d’abonnés à ses deux services payants, Google a intérêt à les combiner dans une seule offre . Si vous penchez pour Google attendez donc un peu.

Deezer, un avenir en pointillé

Le futur de Deezer est lui aussi difficile à prédire. Cette plate-forme d’origine tricolore domine le marché français. Mais elle ne compte dans le monde entier que 8 millions d’abonnés et sa croissance piétine.

Elle est aujourd’hui majoritairement contrôlée par Len Blatvanik, un magnat anglo-américain d’origine russe dont la holding est présente dans le gaz et le pétrole (EP Energy), le capital-risque (Access Technology), l’immobilier (Grand-Hôtel du Cap Ferrat), et qui détient aussi le contrôle majoritaire de Warner Music Group.

Cette bonne compagnie financière et musicale préserve Deezer d’une sortie du marché à laquelle elle n’aurait pas échappé par manque de moyens. Toutefois son propriétaire pourrait la sacrifier avec ou sans Warner lors d’une prochaine rotation de son portefeuille d’actifs. Mon avis : bof bof, sauf si vous êtes un grand amateur d'artistes français – car Deezer offre un catalogue pointu en la matière – ou si tous vos amis et proches sont déjà abonnés à cette plate-forme.

Spotify est-il vraiment le bon choix ?

Finalement, pourquoi ne pas choisir Spotify ? Même si elle est talonnée par Apple, l’entreprise suédoise n’est-elle pas la première du marché en nombre d’abonnés ? Oui, mais justement elle est talonnée par Apple. Une comparaison financière résume le déséquilibre des forces en présence : en une journée l’entreprise californienne réalise un profit qui équivaut à la perte qu’essuie Spotify sur une année.

Malgré sa taille Spotify perd encore en effet de l’argent. Apple n’est pas en reste mais même en supposant que la perte d’Apple Music soit deux fois plus élevée que celle de Spotify, elle serait épongée en deux jours par les profits des autres activités de la firme.

La question de savoir si Spotify peut être rentable dans le futur agite le monde financier car la firme suédoise s’apprête à entrer en Bourse. Les pronostics sont contrastés. Lui faut-il atteindre 100 millions d’abonnés pour être à l’équilibre ? Obtenir un taux de redevance auprès des labels de 58 ou de 55%  de ses recettes ? Y parviendra-t-elle ?

Ces incertitudes ne doivent cependant pas vous dissuader de choisir Spotify. Elle occupe la première place en nombre d’abonnés et en croissance du nombre d’abonnés. C’est donc le choix le plus conforme au raisonnement économique. En outre, son avenir économique est conforté par l’intérêt que lui prêtent les majors de l’industrie du disque.

Sony, Universal et Warner ne souhaitent sans doute pas avoir Amazon, Apple et Google comme uniques clients. Elles sont chacune actionnaires de Spotify et, connaissant ainsi ses comptes, sont susceptibles de lâcher du lest sur leurs montants de redevance en cas de besoin.

La version originale de cet article a été publiée sur The Conversation.

François Lévêque, professeur d'économie et vient de faire paraître "Les habits neufs de la concurrence" chez Odile Jacob. Il est lui-même abonné à une plate-forme de streaming, mais il n’en a choisi aucune de celles citées. 

Ref

 https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/cercle-173806-deezer-apple-musique-spotify-amazon-music-lequel-choisir-2115745.php

Friday, December 29, 2017

samsung gear fit 2 pro 2017, SM-R365, software tizen and hardware ; more than an Activity-tracking wristbands


The Samsung Gear Fit2 Pro has
  • a 1.5-inch 38.5mm Curved Super AMOLED, curved screen at 216 x 432 resolution 16M with full sensitive surface
  • a dual-core 1.0 GHz CPU paired with 
    •    512MB of RAM 
    •    4GB of storage, 2GB available
    •    4GB ROM
  • a battery has a 200 mAh capacity ; Lithium-ion battery
  • two buttons
  • many sensors: Accelerometer, Barometer, Gyro Sensor,  optical Heart Rate Monitor.
  • built-in GPS glonass (russian system)
  • Bluetooth connection v 4.2
  • wifi connection 802.11 b/g/n 2.4GHz
  • fast adaptative charge with a proprietary connector (2pins) USB cable
  • tizen OS (i think v 3; see below)
  • many built-in softwares with
    • ability to automatically recognize certain activities, 
    • an increasingly common feature in fitness bands and watches
    • Audio Playing Format: MP3,M4A,3GA,AAC,OGG,OGA,WAV,WMA,AMR,AWB 
  • samsung ecosystem hardware and software (samsung gear and health) on ios and android)
  • others
    • 50m water, 5ATM pressure and water environment,  IP68 rating to add MIL-STD-810G certification
    • 51.3 x 25.0 mm
    • 34g
    • Body SAR : 0.116 W/Kg

economics

price 229€
@ Orange for Christmas:
229€ and rebate from Orange 50€ and rebate from Samsung 30€ then 149€

By some estimates the company may have sold between 10 and 12 million smartwatches in its first year, and Apple is ranked third on IDC's list of top wearables vendors for the first quarter of 2016. But Samsung is fifth on that same list, claiming just a 3.6 % share of the worldwide wearables market, and that sliver is mostly comprised of Samsung's smartwatches, not fitness bands.

drawback

However, the Gear Fit 2 has one drawback that those other aforementioned bands don't have: it only works with Android smartphones (4.4 or higher) or iOS, whereas Fitbits and even Garmin devices work with a variety of mobile platforms as well as desktop software.

The Gear Fit2 Pro doesn't have a speaker.
no brightness sensor to adjust the screen brightness.

"small ≠ " with Gear fit 2 (2016):
  • GPS usable on Pro, not on Fit2. GPS is the biggest bug Sam cannot fix by firmware on Fit 2.
  • Many third party apps that worked on the Gear Fit 2 do not seem to be installable on the Gear Fit 2 Pro. 
  • u can program (see below)
  • "meilleur bracelet"; Traditional strap clasp is a very good improvement.

overall

http://www.samsung.com/uk/wearables/gear-fit2-pro-r365/SM-R365NZKABTU/
http://www.samsung.com/fr/wearables/gear-fit2-pro-s/SM-R365NZRNXEF/

https://en.wikipedia.org/wiki/Samsung_Gear_Fit_2

Apps

Spotify

music streaming and play-lists and covers... with your cellular phone or computer (and Spotify).
Samsung is also the second tech company in recent days that has partnered with Spotify to create a dedicated Spotify app for its new wearable gadget. (Pebble was the other.) So there are three options for music listening through the new wristband. You can store up to 2.5GB of music locally on the device, use the wristband as a Bluetooth remote control for other music apps on the phone, or play Spotify from your wrist — although you'll still need a phone in tow for that, at least for now.

UA RECORD

See your activity, sleep, and workout stats in one dashboard and get insight into your health and fitness levels.

MapMyRun

Plan and track your routes with real-time maps and capture every run, ride, and walk.

MyFitnessPal

Eat smarter and achieve your health goals by keeping track of the calories you consume and burn

Endomondo

Join a global community of fitness enthusiasts as you reach your running goals with personal training plans.

Speedo

for swimming
The Speedo On app is not integrated into Samsung Health, so when I swim it records the steps instead and congratulates me on my walk. I then have to manually enter my swim I to Samsung Health. I have also messaged Speedo as their app which is preinstalled on the device has an issue with swimming pace. I'm not a fast swimmer and when I click finish on the app on the device it alters the time I have been swimming, making me look like any Olympic athlete. 

battery life

Its expected battery life is better than you might expect for a wristband with a large display and GPS and BT/wifi.
  • 12h for a strong full use
  • 48h for my usual use
  • 1week for a minimum use (no GPS, no wifi, BT @ some time, screen @ level 1-2) just to record your HR and some data, no download.
Although with "Always On" I use  75% of the battery in a day (because large display)

dev; SDK

https://forum.xda-developers.com/gear-fit2-pro
http://developer.samsung.com/gear/design/watch-designer
https://www.google.fr/search?q=%22Samsung+Gear+Watch+Designer
https://www.youtube.com/watch?v=eewUuUw3c-8

Gear Watch Designer

GEAR WATCH DESIGNER NOW COVERS ALL GEAR DEVICES
1.5.1_beta - Nov 23, 2017
BETA DOWNLOAD for Win - v1.5.1
BETA DOWNLOAD for Mac - v1.5.1
JRE (Java Runtime Environment) 1.8 or later. 32-bit JRE is required if u are use Windows.

Now available for the Gear S, Gear Fit2, Gear S2, Gear S3, Gear Fit2 Pro and Gear Sport (New)
Design, produce, and distribute your own Gear watch faces without the complexity of code scripting


SDK

Samsung and Tizen provide everything you need to develop apps for Gear

The flexibility of Tizen is not limited to mobile devices but extends to other devices, including the Gear. This can be translated to developing applications that can be built using a Native or a Web approach. Whether you are a serious developer or a hobbyist, C or HTML5, building a Tizen app can suit your programming style that can be implemented across platforms.
http://developer.samsung.com/gear/develop/creating-your-first-app

samples

http://developer.samsung.com/gear/develop/samples/standalone#

tizen

it's an operating system based on the Linux kernel and the GNU C Library implementing the Linux API.
Tizen works on a wide range of Samsung devices including smartphones, tablets, in-vehicle infotainment (IVI) devices, smart TVs, PCs, smart cameras, wearable computing (such as smartwatches), Blu-ray players, printers and smart home appliances (such as refrigerators, lighting, washing machines, air conditioners, ovens/microwaves and a robotic vacuum cleaner).

Tizen is a project within the Linux Foundation and is governed by a Technical Steering Group (TSG). It is controlled by Samsung and also backed by Intel.

In late January 2013, Tizen 2.0 scored highest at the time in an HTML5 test of any browsers. R
esults for Tizen 2.2 on a Samsung device score highest overall in mobile, with a score of 497 points.

Tizen IVI (In-Vehicle Infotainment) is an operating system from the Automotive Grade Linux Workgroup. It is PC-compatible.
RT OS with security and resilience.

Its SDK is built on top of open source components,but the entire SDK is copyrighted by Samsung Electronics and under a non-free EULA.

The roots of Tizen date back to 2007 with the creation of the LiMo Foundation. The LiMo project resulted in the LiMo Platform in 2009 but it was unsuccessful against rival open source platforms from the Open Handset Alliance (led by Google) and Symbian Foundation (led by Nokia).

As of 2016 Samsung is planning on making Tizen its main operating system on all smartphones, replacing Android.
On May 15, 2017 Samsung unveiled its fourth smartphone powered by Tizen operating system in India, the Samsung Z4 which launched in India that comes with 4.5 inch of LCD displays which is protected by 2.5D curved glass, it has 1GB of RAM, 1.5Ghz Quad-Core Arm cortexA-7 based Spreadtrum processor (SC9830A), 8GB of ROM, 5 MP rear camera with dual flash and 5MP front camera with flash. It has Operating system of Tizen which is Tizen 3.0.

As of Q1 2017 Tizen is second largest smartwatch platform, behind watchOS and ahead of Android Wear.
On May 31, 2017, Tizen released Tizen 4.0 Public M1 Release Notes.

https://en.wikipedia.org/wiki/Tizen

in french

C'est Samsung qui est à l'origine de Tizen, en collaborant avec le projet EFL (Enlightenment Foundation Libraries) et plus précisément son développeur principal, Carsten Haitzler (« Rasterman »). 
Le projet a été nommé LiMo (Linux Mobile) pendant de nombreuses années, puis rebaptisé Tizen en septembre 2011 lorsque Intel s'y est ajouté après son échec sur MeeGo.
Contrairement à Android, Tizen est un projet décentralisé : chaque fabricant ou opérateur aura une interface utilisateur spécifique, développée avec EFL.
Les applications Android sont compatibles Tizen grâce à un clone de la machine virtuelle Dalvik. La performance des applications Android sur Tizen est donc identique par rapport à Android. Deux services permettent aux développeurs de publier une application Android sur le Tizen Store : Infraware et OpenMobile.

En conclusion, Tizen donne accès à quatre types d'applications :

  •     les applications natives Tizen (C, C++, Python, Lua) ;
  •     les applications web, sans navigateur (HTML5, JavaScript);
  •     les applications hybrides ;
  •     les applications Android publiées sur le Tizen Store.

list of Devices