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Monday, April 16, 2018

Mars 2018: affrontement entre couperin et springer; French Scientists Petition for Firm Stance Against Springer



En mars 2018, les négociations entre le consortium Couperin.org —  (250 institutions academiques dont le CNRS et les grandes universités font partie) — et Springer (Springer Nature) se sont achevées sur un constat de désaccord, l’éditeur ayant refusé la dernière proposition du consortium qui demandait une baisse de l’ordre de 15 % du tarif des abonnements. Couperin.org juge en effet inacceptable la dernière offre de Springer qui proposait une hausse de prix de 0 % en 2018, 0,75 %  en 2019 et 1 % en 2020 pour l’offre dite « big deal » pour un bouquet de revues.

Les prix des abonnements aux ressources électroniques, en hausse constante depuis vingt ans, génèrent des bénéfices importants pour les grands éditeurs scientifiques que sont Springer et Elsevier, alors même qu’une proportion non négligeable et croissante (au minimum de 4 % selon Springer, mais probablement plus proche de 15 %, selon les calculs de Couperin.org pour le bouquet en négociation) des articles publiés dans les revues concernées par les abonnements sont en accès libre. Le coût de cet accès pour ces articles est assumé par les auteurs ou leurs institutions et versé aux éditeurs. Pourquoi dès lors faire payer l’accès via l’abonnement quand l’éditeur a déjà été financé?

Afin de tenir compte de cet état de fait, les négociatrices avaient demandé une baisse au moins égale à la part déjà prise en charge pour ces articles. Cette demande n’a été pas été totalement entendue par Springer qui a proposé une baisse très insuffisante de ses tarifs.

Faute d’accord, Springer a indiqué qu’il couperait les accès à ces contenus au 1er avril. Les chercheurs ne pourront donc plus consulter les articles parus en 2018 dans les revues du bouquet diffusé par Springer sauf par des voies de substitution (« dépôts » de prépublications, réseaux sociaux, demande à l’auteur, etc.) Les articles parus avant 2018 demeureront accessibles pour les établissements de l'ESR. En effet, selon les termes des contrats précédents, pendant au moins deux ans et sans frais supplémentaire, les chercheurs conserveront l'accès à une grande partie des archives des ressources acquises jusqu'en 2017. Cela inclut, pour le CNRS, les ressources figurant dans l’abonnement antérieur  (2015-2017) ainsi que les ressources acquises de manière définitive dans le cadre du projet Istex (origine à 2014 pour les revues Springer).

La décision française intervient dans un contexte de fortes tensions au niveau international. Plusieurs communautés scientifiques se mobilisent pour enrayer cette spirale inflationniste des budgets de documentation scientifique. L’université de Montréal s’est désabonnée en 2016 du bouquet complet ou encore le Danemark qui demande de meilleurs prix et plus de services pour les chercheurs.

La pétition

https://www.change.org/p/springer-nous-pouvons-nous-en-passer-springer-we-can-do-without

Ref

http://www.cnrs.fr/inshs/recherche/springer.htm

In English

French Scientists Petition for Firm Stance Against Springer
More than 2,000 signatories urge a national consortium of French academic institutions to refuse an increase in journal subscription fees.
A group of researchers at the French National Center for Scientific Research (CNRS) started an online petition last weekend (April 8) to publically support Couperin.org, a national consortium representing more than 250 academic institutions in France, in its fee negotiations with academic publisher SpringerNature. More than 2,000 people have signed the petition so far.

“We are employed by the institutions members of Couperin. As such, our work will be directly affected should Springer eventually decide to enact their decision and shut down access to their recent contents,” the petition states. “However, we support the firm stance taken by Couperin and we are ready to endure this relative discomfort for as long as it will be necessary to bring Springer to acceptable propositions.”

See “French Universities Cancel Subscriptions to Springer Journals” 
Fee negotiations between Couperin.org and SpringerNature regarding one of the publisher’s platforms, Springer—which alone has more than 2,000 journals—are stuck in a stalemate. The key point of contention is a rise in subscription costs, which the consortium believes should be reduced in light of the rising proportion of expensive open-access papers.

Last month, the consortium announced that French universities and research organizations would not renew their Springer subscriptions due to this disagreement.

The publisher told The Scientist last month that it would maintain institutions’ access to its journals while in negotiations. If that agreements ends, French scientists are willing to deal with the repercussions. “No more direct access to Springer’s latest papers? No problem,” the petition states. “There are so many ways [to access papers]: institutional depositories, social networks, direct requests to the authors… We are not worried.”

Ref

Friday, September 15, 2017

outils standards du secrétaire d’édition: NUMEDIF, MÉTOPES Méthodes et outils pour l’édition structurée, workflow editorial, chaîne d'édition structurée, production scientifique et diffusion FMSH


NUMEDIF

Infrastructures de recherche : Information scientifique et technique
NUMEDIF (NUMérique pour l'ÉDItion et la DIFFusion de la production scientifique)-NUMEDIF
L'infrastructure Numédif propose un ensemble d'outils et de méthodes pour l'édition structurée (« MÉTOPES ») permettant d'organiser production et diffusion papier et numérique dans un environnement normé à fort potentiel d'interopérabilité, sur le modèle du Single Source Publishing.

Coûts

Coût de construction : 0,920 Millions d'euros
Coût de fonctionnement : 0,750 Millions d'euros

Type de l'infrastructure : IR Infrastructure de recherche Ministère

Création : 2015
Localisation (siège) : Paris
Autres sites : Caen
Partenaires : FMSH, MRSH, CNRS, UNICAEN
Responsable de l'infrastructure : Pascal Buleon
numedif@msh-paris.fr

Présentation

L'infrastructure NUMEDIF est au service de l'activité éditoriale de l'ensemble des établissements publics d'enseignement supérieur et de recherche. Elle s'attache à la mise au point et à la dissémination d'un écosystème normé de production numérique de contenus scientifiques structurés interopérables, et à la construction d'un appareil spécifique de diffusion-distribution.

Elle vise à garantir la circulation des écrits scientifiques et leur mise à disposition optimale tant sous forme dématérialisée (archives, plateformes...) que matérielle (livres ou revues diffusés en librairie, auprès des bibliothèques ou des particuliers) et doit améliorer la visibilité de l'édition scientifique publique française à l'international.

Elle permet l'alimentation pour un coût résiduel des plateformes "nationales" : Open Edition, Cairn... Elle est garante de la pérennité des données.
L'utilisation d'Unicode et la normalisation documentée des structures (XML-TEI) permet l'archivage par le Centre informatique National de l'Enseignement supérieur (CINES).

Ses missions et services portent sur :
    La constitution des fonds de contenus édités, normalisés, interopérables, bâtis sur le modèle du single source publishing ;
    L'articulation des échelles de diffusion nécessaires (librairies et publics spécialisés, mises en place plus massives en librairies à destination d'un public large, diffusion en ligne, diffusion de formes numériques détachables, diffusion payante, open access dont OpenEdition) ;
    Un service de veille et de formation.
    L'industrie du logiciel, le développement d'environnement de saisie et de traitement de flux structurés normés, le développement d'automates de composition de flux éditorialisés pour la production d'epubs et l'alimentation des plateformes de diffusion.
    Les diffuseurs-distributeurs, développement de flux mixtes TEI/ONIX pour le référencement et l'optimisation des diffusions multisupports, pour l'alimentation de circuits de print-on-demand.

 Ref

http://www.enseignementsup-recherche.gouv.fr/cid99664/numedif-numerique-pour-l-edition-et-la-diffusion-de-la-production-scientifique-numedif.html

Site numedif et METOPES

Métopes

Méthodes et outils pour l’édition structurée:
Une mise en œuvre, au fil du travail éditorial, des principes de Single source publishing…
La méthode repose sur la production, au fil du travail éditorial, d’un fichier encodé en XML-TEI et dont la richesse et la granularité du balisage permettent d’envisager ses transformations sur divers supports de diffusion en garantissant à la fois une totale stabilité du contenu et la meilleure adaptation de chaque catégorie de fragment textuel aux spécificités du mode de diffusion choisi. 
Le processus de travail est construit sur l’analogie forte existant entre le travail de distinction éditoriale, propre à la « préparation de copie », et l’opération de production du balisage d’un texte ou d’un contenu au moyen d’un vocabulaire contrôlé. Plus qu’une contrainte technique il repose sur un usage raisonné et aménagé des outils standards du secrétaire d’édition et, avant tout, sur le plein exercice des fonctions éditoriales.

Développé à la MRSH de Caen et porté par son pôle Document numérique, qui maintient et diffuse le standard de structuration des contenus sur la base des recommandations de la Text encoding initiative, définit les principes du flux éditorial, assure les développements des environnements de travail et des outils de transformation (vers OpenEdition-TEI, Cairn-Erudit, Jats Nlm-Scielo,  InDesign pour des éditions imprimées ou PDF…), ainsi que leur diffusion et leur déploiement auprès des structures éditoriales publiques, dont près de 50 ont été formées à ce jour.

Le projet « Métopes » vise à mettre au point, à développer et à diffuser, librement dans la sphère publique, par des actions de déploiement et de formation auprès des éditeurs publics, un ensemble d’outils et de méthodes leur permettant d’organiser leur production et leur diffusion papier et numérique dans un environnement normé à fort potentiel d’interopérabilité sur le modèle du Single Source Publishing. Un des apports principaux est de rationaliser, au sein de la communauté des éditeurs universitaires et de recherche publics, le travail éditorial tout en favorisant la mise en place de stratégies de diffusion multi-supports, en assurant une pérennisation des contenus et une haute qualité des métadonnées associées.
Principalement orienté vers la production des contenus normés (XML-TEI), ce projet à haute valeur éditoriale ajoutée est fortement articulé au projet de construction d’un catalogue commun des éditeurs publics associés (métadonnées et contenus) exprimé en ONIX .
Ce modèle technique et organisationnel entre fortement en résonance avec les réalités, les demandes et les contraintes du contexte aujourd’hui incontournable de la production et de la diffusion numériques. En effet, et en termes d’interopérabilité et d’économie de diffusion des savoirs :
– il repose sur des normes ou sur des standards partagés par de nombreux acteurs du domaine ce qui est un facteur d’interopérabilité des contenus ;
– il participe à la clarification de la notion de « plus-value éditoriale » en permettant de l’identifier et de la localiser précisément ;
– il est facteur d’économies, ne serait-ce que parce qu’une intervention éditoriale unique permet une multiplicité de formes de diffusion ;
– il permet l’alimentation pour un coût résiduel des plateformes « nationales » : OpenEdition, Cairn.info…
– il est indépendant des modèles économiques : l’éditeur a une totale liberté de choix des articulations formes/modèles de diffusion gratuite ou payante et peut construire des complémentarités entre formes de diffusion  ;
– il offre des perspectives nouvelles en termes de droits, à partir de la clarification des statuts du texte et de la claire localisation des acteurs de la plus-value éditoriale. Il permet au couple auteur-éditeur institutionnel de disposer, dans le respect des droits d’auteur, d’une structure riche à partir de laquelle peuvent être produites des formes appauvries pour leur stricte diffusion. Ces aspects peuvent permettre de mettre en place les adaptations les plus pertinentes dans un contexte où peut peser (et ou va peser) le devoir de diffusion en Open Access ;
– il est aussi un point de convergence en termes d’articulation avec les autres métiers de la « vie » du flux numérique (bibliothécaires, archivistes, chercheurs auteurs, chercheurs lecteurs…) et, plus encore, en termes d’ouverture aux données de la recherche (textes appareillés et éditions issues de corpus, thèses en ligne…)  ;
– il est enfin garant d’une certaine pérennité des données ; en effet, l'utilisation d'Unicode et la normalisation documentée des structures (XML-TEI) rend les fichiers produits susceptibles d’être l’objet d'un archivage pérenne.
http://www.numedif.fr/metopes.html

 Métopes  outils

1/Un ensemble d’outils et de modules mis à disposition des structures éditoriales
Déployé sous forme de modules additionnels aux logiciels de traitement de texte, cet environnement permet, sur la bases des distinctions éditoriales traduites en opérations de stylage, la production automatique de fichiers XML-TEI au moyen de modèles de stylage pour Microsoft Word et de XSLT d’export intégrées à Open Office.

2/Un environnement d’édition structurée et de production de formes
En aval de la production automatique du fichier XML pivot, le contrôle, l’enrichissement et les transformations sont effectués au moyen d’un environnement d’édition structurée basé sur un éditeur XML qui comprend :
– des vues d’affichage adaptées aux diverses tâches éditoriales et aux diverses interventions sur le flux XML-TEI ;
– des commandes d’export vers les plateformes OpenEdition (revues.org et books.openedition.org) ou Cairn.info ; production d’ePubs ou de pages HTML5 ;
– des commandes d’import de fichiers XML-TEI Lodel ;
– des commandes d’extraction des flux de notes ;
– des commandes d’enrichissement typographiques des flux XML ;
– des macro commandes d’expressions régulières ;
– la documentation du schéma TEI.
Un ensemble de scripts et de XSL permet l’importation du flux dans InDesign pour la production de formes imprimante ou de fichiers PDF mis en page.


3/METOPES actions de formation

Avec le soutien d’abord de l’AEDRES puis, depuis 2013, avec la prise en charge intégrale des coûts de développement et de formation par BSN, plus de 40 structures d’édition publique universitaire et de recherche (presses d’université, secrétariats d’édition de revues, presses des écoles françaises à l’étranger, presses d’IFRE…) et plus de 300 personnes (responsables éditoriaux, secrétaires d’édition, de rédaction, maquettistes, graphistes…) ont été formées aux méthodes d’édition structurée par des personnels des Presses universitaires de Caen et du Pôle document numérique de la Maison de la Recherche en sciences humaines (MRSH) de Caen. Chaque formation, d’une durée de trois à cinq journées s’effectue sur site et au plus près des préoccupations éditoriales des personnels concernés et s’organise autour de la mise à disposition gratuite et de l’installation des outils dans le service. Ces formations sur site sont combinées avec la tenue d’ateliers thématiques organisés dans le cadre de réseaux : MEDICI (formation de secrétaires de rédaction de revues, formation de formateurs aux outils d’édition structurée XML-TEI), Consortiums Corpus (MASA, CAHIER…), etc.

Un programme spécifique est en cours de réalisation à l’EHESS en liaison avec la DSI de l’établissement : formation du personnel des éditions, formation du personnel des 12 revues associées, extension des techniques de structuration des contenus aux autres productions écrites dans l’optique du développement d’une politique de diffusion numérique propre à l’établissement.

Auprès des écoles françaises à l’étranger et des IFRE
Des formations et compléments de formation ont été organisés dans les services éditoriaux de l’École française de Rome, de l’École française d’Athènes, de la Casa de Velazquez à Madrid, de l’IFAO au Caire et de l’IFPO à Beyrouth, maintenant susceptibles de développer des fonds éditoriaux numériques pleinement interopérables.
Un suivi des utilisateurs et un service de soutien technique sont assurés, en liaison avec Open Edition, par un ingénieur d’études CNRS affecté depuis le 1er décembre 2016 au Pôle document numérique de la MRSH de Caen.
  Formations à l’étranger

Via l’AEDRES (Association des éditeurs de la recherche et de l’enseignement supérieur)
auprès des associations similaires en Argentine, en Colombie…

En Argentine, formation menée en octobre 2014 en liaison avec Open Edition sous la forme de 2 sessions d’une semaine à Buenos Aires puis Mendoza. Ces sessions, co-financées par l’AEDRES, OpenEdition et REUN, ont permis la formation d’une quarantaine d’éditeurs universitaires argentins appartenant au REUN (association nationale d’éditeurs universitaires argentins). Largement soutenues par le ministère de l’enseignement supérieur argentin elles visent à l’implantation de deux plateformes de compétences en édition structurée respectivement spécialisées sur la production de livres et de revues numériques à Buenos Aires pour la première et Mendoza pour la seconde.
Elles se sont poursuivies en 2015 et 2016 par la tenue d’une session de formation et de perfectionnement à Cordoba (Arg.)  (financement assuré par le ministère de l’enseignement supérieur argentin) puis par l’accueil en France (un mois) de quatre collègues argentins pour une « formation de formateurs » et pour la mise au point des modalités de développement d’une plateforme de revues.

Ce dispositif a été présenté, à la Foire du livre de Francfort 2015, à l’Association des éditeurs universitaires sud américains et a débouché à l’initiative des éditeurs mexicains sur l’organisation d’un atelier à destination de l’ensemble des éditeurs universitaires sud-américains qui s’est tenu  le 1er décembre à Guadalajara (Mex.) à l’occasion de la Foire du livre et, à l’initiative des éditeurs colombiens, sur une présentation du dispositif à la Foire du livre de Bogota puis, sur le schéma mis en œuvre en Argentine, sur une formation de deux semaines à Cali destinée aux éditeurs d’ASEUC.

Ref

http://www.numedif.fr/metopes-formations.html

METOPES site de Caen

Infrastructure de recherche NUMÉDIF

    Pascal Buléon, responsable de l’infrastructure
    Dominique Roux, porteur de projet Métopes
    Michel Zumkir, directeur de FMSH-Diffusion

Partenaires

    FMSH Diffusion http://www.fmsh.fr/fr/diffusion-des-savoirs
    MRSH maison recherche SH de CAen
    CNRS - InSHS
    Université Caen Normandie

Adresse :
Pôle du Document numérique
Maison de la Recherche en Sciences Humaines
Université de Caen Basse-Normandie
Esplanade de la Paix; Campus 1
14032 Caen Cedex

Pierre-Yves Buardpierre-yves.buard@unicaen.fr02 31 56 51 74SH 119
Julia Rogerjulia.roger@unicaen.fr02 31 56 64 90SH 114
Tiphaine Thérouxtiphaine.theroux@unicaen.fr02 31 56 64 11SH 113
Édith Cannetedith.cannet@unicaen.fr02 31 56 64 99SH 113
Marie Bissonmarie.bisson@unicaen.fr02 31 56 62 05SH 113
Anne Goloubkoffanne.goloubkoff@unicaen.fr02 31 56 64 11SH 113
Subha-Sree Pasupathysubha-sree.pasupathy@unicaen.fr02 31 56 64 90SH 114

Liste d'exemple

juste un flipcard de visualisation

telechargement outils

1/Annoter et structurer...

Plusieurs environnements de travail ont été conçus au sein du pôle Document numérique pour travailler avec l’éditeur XML : XMLMind XML Editor. Le logiciel est disponible à cette adresse : http://www.xmlmind.com/xmleditor
voir ci-dessous

2/en XML-EAD
Nous mobilisons le vocabulaire XML-EAD, Encoded Archival Description. Nous utilisons la version EAD 2002, sous forme de schéma.

3/en XML-TEI
pour les livres (existe pour collection  d'objets)
bcp de choix pour SHS  comme sources avec apparat critique
un plug-in de travail collaboratif
et DIFFUSER EXPOSER

Environnement BVMSM

Dans le cadre de la réalisation de la Bibliothèque virtuelle du Mont Saint-Michel, mais également du projet Route du livre italien, Bibliothèque historique du ministère de l’agriculture ou encore Dicomarine, les membres du pôle Document numérique ont réalisé un travail de réflexion sur l’encodage en XML-EAD de description de livres.. Nous proposons ici le téléchargement d’un environnement de travail pour le catalogage en XML de manuscrits et d’ouvrages anciens.

Bibliographie

Il s’agit ici de la mise en œuvre du modèle défini par Robert Darnton, « Le nouvel âge du livre », Le Débat, 105, 1999, p. 176-184.

L'expression utilisée par Marin Dacos (Blogo Numericus, « C’est le chuchotement des livres qui se parlent… »: 22/10/2008 ; http://bn.hypotheses.org/167
Lou Burnard, What is the Text Encoding Initiative?, Marseille, OpenEdition Press (Encyclopédie numérique), 2014 : http://books.openedition.org/oep/1237

Ref

http://www.unicaen.fr/recherche/mrsh/document_numerique/projets/metopes

What is XMLmind XML Editor?

XMLmind XML Editor is a strictly validating, near WYSIWYG, DocBook editor, DITA editor, MathML editor, XHTML editor, XML editor. Because XMLmind XML Editor is highly extensible, it may be also be used to create documents conforming to your own custom schema. Its users are generally technical writers who need to author large, complex, modular, documents.

XMLmind XML Editor is also available as attractively priced, “special editions” called: XMLmind DITA Editor, XMLmind DocBook Editor, XMLmind XHTML Editor. More »

XMLmind XML Editor Personal Edition is free to use by many persons and organizations.

Full source code of the product    Yes if you pay.
http://www.xmlmind.com/xmleditor/download.shtml

Mac/windows, Linux and any other Java™ 1.6+ platform

CONVERSION import/export

 data2check – an online service for checking Word, InDesign and EPUB files for correctness
With the help of this service Word, InDesign and EPUB files can be checked for correctness and can be converted into XML,DITA,DocBook and other XML structures.
What is checked?
    Document structure
    Check for: unknown styles, incorrect use of ..
https://www.xml.com/news/?tag=conversion

FMSH Diffusion 

http://www.fmsh.fr/fr/diffusion-des-savoirs
Editeur
Michel Wieviorka
Président de la Fondation Maison des sciences de l'homme
190 avenue de France - 75013 Paris
Président de la FMSH, Michel Wieviorka, sociologue, docteur d'Etat ès Lettres et Sciences Humaines, directeur d'études à l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, est le président de la Fondation Maison des sciences de l'homme depuis juillet 2015. Il était administrateur de la FMSH depuis 2009.

Missions

Soutenir et promouvoir les sciences humaines et sociales au meilleur niveau pluridisciplinaire et international

Lieu de référence pour penser à un niveau global les grandes questions du monde contemporain, la Fondation Maison des sciences de l’homme met en synergie communautés et réseaux scientifiques internationaux, et favorise les dialogues interdisciplinaires.

Créée par Fernand Braudel en 1963 à Paris, et reconnue d’utilité publique, la FMSH est un carrefour international pour les sciences humaines et sociales. Lieu d'innovation scientifique et de diffusion des savoirs, la Fondation est en prise avec l’action publique et partage ses résultats avec le monde des décideurs, tout en affirmant son indépendance et la liberté de la recherche.

2 champs d'actions prioritaires

Le soutien à une recherche innovante : la FMSH travaille à l’identification des thèmes émergents, initie et met en place des dispositifs de recherche innovants dont l'objet est fonction des interrogations de la société.

La diffusion des savoirs au sein du monde scientifique et en direction des citoyens : avec sa bibliothèque, sa maison d’édition, sa maison de diffusion et son service de production audiovisuelle, la Fondation joue un rôle décisif dans la diffusion des savoirs en sciences humaines et sociales auprès de la communauté académique, de la société civile et des responsables culturels, politiques et économiques.

Diffusion des Savoirs, plateforme Canal-U, FMSH éditions

Diffusion audiovisuelle, éditions, diffusion-distribution, bibliothèque de recherche, la Fondation propose et développe un ensemble unique de services d’accès aux savoirs scientifiques.

A l’initiative d’expériences de médiation scientifique, en faveur notamment du libre accès, la Fondation contribue à la diffusion d’idées nouvelles et au dialogue entre les communautés scientifiques.

 1/ plateforme Canal-U
La plateforme propose des ressources pédagogiques et scientifiques à l’attention des enseignants, chercheurs et étudiants, en complément des cursus d’enseignement, et, plus largement, à l’attention du grand public, pour une formation tout au long de la vie.
http://www.fmsh.fr/en/dissemination-ok-knowledge/27897
With over 25,000 videos and more than 4,5 ,000,000 visits per year, Canal-U is the most-visited French scientific audiovisual platform. It offers a wide range of opportunities to publicise, share, disseminate and link up audiovisual productions.  It has 15,000 lectures, 4,000 documentaries and reports, 4,000 courses and educational clips by over 150 contributors (universities, research bodies, museums, etc.).
The Canal-U project was launched in 2001 by the Ministry of Higher Education and Research, with support from the academic and scientific communities, and is being developed by FMSH in conjunction with the ministry.
A dissemination platform open to all institutions
Canal-U offers multiple possibilities for enhancing, sharing, disseminating and linking audiovisual productions.
The platform is aimed at students, teachers and researchers on two axes:
    Provide teaching skills resources in addition to teaching courses;
    Accompany the evolution of the French university by developing the use of the information and communication technologies in higher education.
Do you have videos you want to disseminate?
If you are a higher education establishment, research centre or voluntary organisation, you can put your videos online through Canal-U.tv
Contact
Publication director, Michel Wieviorka,
Project Manager: Damien Poïvet
Responsible for the management of audiovisual resources: Anne-Claire Delaunay 

2/ FMSH éditions

Publishing the human and social sciences: quality and openness

Since 1970, the FMSH Editions has been developing an original catalogue in the human and social sciences, which brings together high-level scientific publications.

With more than 1,000 titles, 6 collections, 7 journals, the Editions are the expression of the Foundation's scientific policy.

FMSH Editions follows an ambitious policy which combines editorial quality with the invention of new models of dissemination. It requires to borrow innovatives and complementary ways.
6 collections

3 flagship collections: «54», «Interventions», «Le (bien) commun »

3 collections in duration: « Ethnologie de la France », « Bibliothèque allemande », « Documents d'archéologie française »
7 journals
The journals constitute a multidisciplinary catalogue. They disseminate the results of the research in human and social sciences to the greatest number. Both available in print and digital versions, the journals follow an innovative editorial policy.
Multichannel broadcasting
The digital is at the heart of the Edition’s priorities. The technological choices make it possible to guarantee the filing of funds, to reuse the edited contents, but above all to disseminate them to multiple channels via infrastructures or digital platforms. The Editions have also made the choice of "open access" and work to offer the greatest number of medium on the web.

    The paper book available in bookshops;
    The digital book (pdf, e-pub) available on the Comptoir des presses d’universités ;
    The article or the book for free access available 
       on the platforms Revues.org and OpenEdition Books.

Contacts
Website: www.editions-msh.fr
Director of the Editions: Pascal Rouleau | +33 (0)1 40 48 64 40
Scientific press: Corine Le Carrer
Communication: Chloé Lepart

Site editions

www.editions-msh.fr
Exemple d'une collection
http://www.editions-msh.fr/collections/?collection_id=642
Exemple d'un livre
http://www.editions-msh.fr/livre/?GCOI=27351100192540
Penser le vivant
Édité par Laurence Dahan-Gaida, Christine Maillard, Gisèle Séginger, Laurence Talairach
Au-delà des connaissances scientifiques et en particulier des découvertes importantes pour la médecine (cellules, bactéries, molécules organiques, et plus tard ADN), le succès des sciences du vivant a provoqué la circulation de savoirs, d'images, de modèles de pensée vers d'autres disciplines, mais aussi la formulation de nouvelles interrogations sur le pouvoir de l’homme, sur ses interventions dans le domaine du vivant, sur son rapport à l’environnement, qui dépassent bien le cercle d’intérêt de la science elle-même, et encouragent de ce fait l’approche transdisciplinaire. La particularité de cet ouvrage est de montrer d’une part l’implication de l’imaginaire et de l’esthétique dans les discours scientifiques sur le vivant, et d’autre part la plasticité des savoirs du vivant ainsi que leur puissance modélisante qui expliquent leur diffusion dans le champ des sciences humaines.
Éditeur Éditions de la Maison des sciences de l'homme, Paris
Support Livre broché
Nb de pages 300 p.
ISBN-10 2735123839
ISBN-13 9782735123834

Les commandes en ligne se font via le site du comptoir des presses d'universités (http://lcdpu.fr).

exemple livre papier et pdf:
http://www.editions-msh.fr/livre/?GCOI=27351100399910
Radicalisation
Farhad Khosrokhavar

Les commandes en ligne se font via le site du comptoir des presses d'universités (lcdpu.fr).
Livre broché - 12,00 €
PDF (PDF) - 7,99 € DRM - Aucun
Ce n'est qu'après les attentats du 11 septembre aux États-Unis que la radicalisation, active de tout temps, a connu son heure de gloire dans les analyses des sciences sociales mais aussi, des organismes de sécurité des différents pays. Dans le monde anglo-saxon, le nombre d'ouvrages et d'articles qui lui sont consacrés se compte par milliers. En France pour des raisons idéologiques la notion est plutôt marginalisée. Qui se radicalise et pour quelle raison ? Quelle est la place de l'idéologie, mais aussi de la situation sociale et politique des individus dans cette attitude faite d'inflexibilité, de violence et de guerre totale contre la société ?
L'ouvrage suit les méandres de ce phénomène en se concentrant sur l'islam radical, tout en soulignant que ce n'est pas le seul registre qui combine l'action violente et une vision idéologique extrémiste.
L'ouvrage propose une interprétation des phénomènes de radicalisation jihadiste en Europe et dans le monde arabe et se conclut sur une analyse d'un nouveau type de radicalisation, celui qui résulte de l'afflux des jeunes Européens vers la Syrie.
Édition Première édition
Éditeur Éditions de la Maison des sciences de l'homme, Paris

Support Livre broché
Nb de pages 192 p. Bibliographie .
ISBN-10 2-7351-1756-1
ISBN-13 978-2-7351-1756-7
GTIN13 (EAN13) 9782735117567
Support PDF
Nb de pages 192 p. Bibliographie .
ISBN-10 2-7351-2042-2
ISBN-13 978-2-7351-2042-0
GTIN13 (EAN13) 9782735120420

les éditeurs

La majorité des éditeurs présents sur ce site sont liés à des universités ou des institutions scientifiques. Toutes ces structures contribuent aux missions de diffusion et de valorisation des savoirs confiées aux établissements de l'enseignement supérieur et de la recherche.

Les liens ci-dessous mènent à la présentation de leurs catalogues respectifs sur lcdpu.fr.
 Les liens ci-dessous mènent à la présentation de leurs catalogues respectifs sur lcdpu.fr.

Ref
http://www.lcdpu.fr/editeurs/

Rapports d'activité fmsh

http://www.fmsh.fr/fr/la-fondation/27926

Wednesday, September 13, 2017

Si la recherche et open/ libre science était un film, à quoi ressemblerait sa bande-annonce ?



Si la recherche était un film, à quoi ressemblerait sa bande-annonce ? Notre série de l’été, diffusée en partenariat avec LeMonde.fr, fusionne les mondes du cinéma et de la recherche fondamentale pour présenter des travaux très sérieux dans des clips inspirés des codes d’Hollywood. À l’affiche cette semaine : thriller archéologique.
https://lejournal.cnrs.fr/nos-blogs/les-yeux-de-la-science/la-science-au-box-office

Thursday, July 20, 2017

articles on Open access in Physics Today May 2017. Quantity of all scientific articles = 3 millions articles/year (2020)


The state of open access by Charles Day 

Physics Today 70, 5, 8 (2017); doi: http://dx.doi.org/10.1063/PT.3.3535
On page 24 (see below) you’ll find David Kramer’s in-depth report on the current state of open-access publishing. Open access and its place in the landscape of academic journals have changed since November 2012, when Physics Today last covered the topic. Besides authors, publishers, and policy makers, other actors are now on the open-access stage, among them charitable foundations, scholarly collaboration networks, and, yes, pirates who post unauthorized copies of papers on Russian servers.
My attitude toward open access is conflicted. On the one hand, I agree that the fruits of publicly funded research should be freely available, especially to scientists in poor countries and to scientists employed by companies and colleges that can’t afford journal subscriptions. On the other hand, I’m well aware that Physics Today is funded in part by the profits that AIP’s publishing subsidiary makes from selling subscriptions to its 19 journals. If Physics Today had to rely solely on advertising and subscription revenue, it would have to shrink and change format.
Regardless of where you, I, or anyone else stands on open access, there are forces in play that are hard for publishers to resist. One of those forces arises from the nature of the principal end product of scholarly research, a paper that’s usually in the form of a PDF. The P in PDF stands for portable, which is what PDFs all too easily are. For Physics Today’s August 2009 issue, I wrote a feature article about iron-based superconductors, which had been discovered just two years earlier. Google Scholar lists 16 unauthorized PDFs of the article, 13 of which are on Chinese websites. (I couldn’t find the article on Sci-Hub, the pirate website founded by a Kazakhstani grad student.)
Portability isn’t the only disrupting force at play. University library budgets have not kept up with inflation or with the growth in the number of the world’s scientists and their output. The cash crunch is forcing librarians to scrutinize journals based on price and usage. Subscriptions to those that don’t meet increasingly stringent criteria are not renewed.
Despite those trends, some aspects of scholarly publishing remain the same. It’s just as hard now as it was in the 19th century to conceive of an experiment or theory that is both original and significant enough to be worth publishing in a scientific journal. Reviewing your peers’ papers before publication continues to be an unpaid yet valuable duty. And a paper’s final version of record still needs to be archived, online if not in bound volumes on library shelves.
When I ask physicists and other scientists how they choose where to publish their work, I tend to get the same answers. Scientists want their papers to be read, so they publish in journals that their peers read. A physicist told me once that he regretted publishing in the prestigious Proceedings of the Royal Society because his fellow fluid dynamicists didn’t read that journal. Physics of Fluids, he mused, would have been a better choice.
Some physicists tell me that if they have a hot result, they’ll go for a journal with a high impact factor, such as Physical Review Letters, Nature, or Science. But in the digital age, as George Lozano, Vincent Larivière, and Yves Gingras discovered in an extensive bibliometric study, the correlation between a journal’s impact factor and a paper’s citations is weakening.1
One of the findings in David’s report in this issue is that open-access papers in the physical sciences currently make up just 10–12% of the total. That modest proportion likely reflects the continuing appeal and reputation of traditional journals. But as any marketing guru will tell you, appeal and reputation are intangible components of a brand. The contest for the best papers in physics will likely be won by the publishers who nurture those intangibles, regardless of access model.

REFERENCES

1. G. A. Lozano, V. Larivière, Y. Gingras, J. Am. Soc. Inf. Sci. Tec. 63, 2140 (2012). https://doi.org/10.1002/asi.22731

Steady, strong growth is expected for open-access journals

Publishing models continue evolving to accommodate government mandates. Meanwhile, publishers look to cope with article-sharing sites that affect their business.
David Kramer
Physics Today 70, 5, 24 (2017); doi: http://dx.doi.org/10.1063/PT.3.3550


In the more than 15 years since the advent of open-access (OA) journals, scientific publishers who once viewed them as an existential threat are now operating their own. But despite double-digit growth in OA, scientific societies and commercial publishers alike agree that the vast bulk of their publications will remain wedded to the traditional subscription model for the foreseeable future.
“Open access is much less of a contentious issue now,” says H. Frederick Dylla, retired executive director of the American Institute of Physics, which publishes Physics Today. “It’s happening. It’s a business model.” Of more concern to publishers today is the illicit posting of papers on article-sharing services. By some estimates, such as a 2014 report prepared for the European Commission, more than half of the scientific literature from 2007 to 2012 was accessible for free online. But it’s unclear how much of that content consists of papers that infringe on publishers’ copyrights because they are freely accessible despite licenses that are supposed to keep them behind paywalls.

Academic libraries face rising subscription costs for an ever-growing number of journals. Some libraries also underwrite researchers’ costs for publishing in open-access journals.

Broadly speaking, scientific publishing follows two models. Traditionally, most journals obtain their revenues from institutional subscribers, mainly universities. Outside those licenses, the journal content is located behind an online paywall. So-called gold OA journals provide their entire content for free online immediately upon publication. Their revenues are provided from fees, known as article processing charges, paid by the article authors or their institutional funders.
A second category, known as green OA, consists of nongold OA articles that are freely available in one of the following forms: An article may be made available prior to publication as a preprint. A manuscript version may be provided by the publisher so authors can post it to their websites and institutional archives at the time it is accepted for publication. Or it can be released in its final published form, known as the version of record, after a specified period, most often one year after publication (this is sometimes referred to as delayed gold OA). Most scientific papers today are or will become available in some fashion as green OA.
The extent of fully OA publishing, like that of journal publishing overall, is hard to measure. About 800 of the 11 000 or so journals included in Journal Citation Reports, the Clarivate Analytics (formerly Thomson Reuters) service that calculates the widely used journal impact factors, are gold OA. Of the 21 500 journals tracked by Scopus, an abstract and citation database, around 3500 are gold OA titles. But less exclusive indexes, such as the Directory of Open Access Journals, count more than 9300 journals published in 129 countries. Estimates of the total scientific journal population—subscription and OA—range from a low of 33 000 to a high of 60 000, depending in part on where the line is drawn between scholarly and trade journals.
The International Association of Scientific, Technical, and Medical Publishers, whose 120 members publish two-thirds of all STM journal articles, estimated annual revenues for English-language STM journal publishing at $10 billion in 2015, up from $8 billion in 2009. Delta Think, a scholarly publishing consulting firm, valued the fully OA journal market last year at $374 million, and for 2017 it forecasts growth of 12%, roughly twice the rate of growth in the overall journal market. “Going forward, we think that the open-access market will continue to grow at about 10% to 15% through 2020,” says Delta Think’s Dan Pollock.

MANDATES AND ARCHIVES

The growth of OA is largely driven by dozens of governments around the globe that have mandated free access to the results of publicly funded research. In most cases, including in the US, those mandates require grantees to make their papers free after a one-year embargo. The same applies in the UK, where the government also sets aside funding to pay for gold OA. The European Union requires grantees of its €80 billion Horizon 2020 program to provide free access within six months of publication (see Physics Today, March 2014, page 26).
In the US, the major federal research-funding agencies have chosen several public repositories for their sponsored research. The largest, PubMed Central (PMC), has been operated by the National Institutes of Health since 2000. In addition to NIH-funded research, PMC has been designated by NASA, NIST, the Environmental Protection Agency, the Department of Homeland Security, and other, smaller funding agencies to house their research results.
The Department of Energy, NSF, US Geological Survey, Department of Defense, Smithsonian Institution, and Department of Agriculture have chosen to link their individual repositories to the Clearinghouse for the Open Research of the United States (CHORUS) database, established by a consortium of journal publishers. As of 30 March 2017, the CHORUS repository held 327 000 articles, of which 74 000, just under 25%, were post-embargo and freely accessible.
Unlike PMC, where articles are deposited in their entirety, CHORUS directs users to the participating publishers’ websites. The distinction is important for publishers, who want to attract traffic.
In response to public mandates, the majority of subscription journals now offer the option for authors to pay an article processing charge to make their articles immediately OA. That so-called hybrid model currently accounts for about 4% of published papers (see the figure on page 26). But at some future theoretical tipping point, says Ken Heideman, publications director at the American Meteorological Society (AMS), the amount of free content could outweigh the subscription-only articles and force publishers to lower their subscription rates. “If you think of the whole of your content as a piece of cheese, pretty soon the hole gets bigger and it’s Swiss cheese,” he says.


Numbers of scientific articles published in fully open-access (gold) journals 
and of fully open-access articles in subscription journals (hybrid) 
are increasing at a faster rate than are numbers of articles in subscription-only journals. 
Nearly all articles ultimately become freely available 
in some form (green open access), 
often after an embargo period. (Data provided by Elsevier.)

Some nonprofit research funders, notably the Bill & Melinda Gates Foundation and the Max Planck Society, now require gold OA publication of their sponsored research. Some organizations also may permit publication in hybrid journals.

Some nonprofit research funders, notably the Bill & Melinda Gates Foundation and the Max Planck Society, now require gold OA publication of their sponsored research. Some organizations also may permit publication in hybrid journals.

THE ECONOMICS

It’s clear that the subscription model remains more lucrative. Journal publishers receive, on average, about $5000 per article from subscriptions, according to industry consultant Joseph Esposito in the Scholarly Kitchen blog in December 2016. But article processing charges for OA journals generally are only $1000–$1500 per article.
While they contain as much as 18% of all journal content, gold OA journals and gold articles in hybrids produce just 3–6% of all publishing revenues. A smaller proportion of articles in the physical sciences, some 10–12%, are published in OA journals, Pollock says. The disparities between content and revenue probably reflect the fact that OA is still a relatively young market, with publishers discounting article processing charges, he says.
Two of the 11 AMS journals, including the flagship Bulletin of the American Meteorological Society, are gold OA. Heideman says physical sciences have been “dragged along” to OA by the biomedical community. “We certainly agree that open access is a good thing within the limits of our business model. But it isn’t one size fits all. We’ll continue to do it incrementally.”
AMS decided a year ago to make all content of its nine subscription journals freely available after a one-year embargo, regardless of funding source. It was felt to be unfair to authors not subject to mandates to have their work remain stuck behind a paywall.
But Heideman regards the finite embargo period as an experiment, and its financial impact on AMS is uncertain. “We’re banking on the fact that libraries are still going to see the value in subscribing to our content rather than waiting for a full year to get it free. We feel confident, but there are no guarantees,” he says. “So far we haven’t seen anything that would alarm.”
With more than 200 gold OA journal titles, Elsevier is second to Springer Nature in the number of fully OA journals published. All but 200 of Elsevier’s 2300 subscription journals are hybrid, and roughly 20 000 of the 420 000 articles published in Elsevier journals last year were gold OA. Elsevier policy and communications director Gemma Hersh sees gold OA continuing to grow alongside subscription. In addition, she says, “we’re doing a lot of work with institutions in the US and globally to make green open access more effective and workable.”
Nature Research, a component of Springer Nature and the parent company of Nature and its related journals, declined an interview request. However, a spokesperson said in a statement that the company offers more than 70 journals with OA options, from the multidisciplinary Nature Communications to highly specialized titles such as the 25 Nature partner journals, which are published in association with academic institutions, philanthropies, and membership organizations.
Nature Research believes the subscription model is the best way to provide sustainable and widespread access to journals with low article-acceptance rates, the spokesperson said.
OA is a particular challenge for highly selective journals such as Science and Nature, which publish fewer than 10% of submissions and thus have a considerably higher cost per article published. Jeremy Berg, editor-in-chief of Science, says, “A substantial part of your costs relates to processing, peer reviewing, and so on, for papers you end up not accepting.” A 2013 report in Nature put that magazine’s per-article cost at $30 000 to $40 000. For both flagship publications, advertising and income from other journals offset those high costs. Berg says there have been discussions about adopting hybrid models for Science and the four other Science-branded journals (a fifth, Science Advances, is fully OA).
PLOS, founded by former NIH director Harold Varmus and other prominent scientists in 2001 as one of the original all-OA publishers, in 2007 created PLOS One, a multidisciplinary online platform. As of 30 March, PLOS One had published nearly 18 000 physics articles. Its “megajournal” model differs from nearly every other journal in that research need not be novel, although it still must be sound and is peer reviewed.
After peaking at 31 500 in 2013, annual submissions to PLOS One fell to 22 000 last year. The decline came as other publishers started up copycats such as Nature Research’s Scientific Reports. Some observers, including Phil Davis, a publishing consultant, have questioned PLOS’s continued viability should PLOS One continue to shrink. And David Knutson, PLOS communications manager, acknowledges that PLOS One accounts for the “lion’s share” of parent company revenues, which help to offset costs of PLOS’s four biomedical journals. But Knutson says that the company remains in strong financial shape and that PLOS One today is “at the point where it’s healthy and sustainable.” PLOS’s reported net assets were steady at $30 million from 2014 to 2015.
PLOS considers itself an advocacy organization, and Knutson notes that former CEO Peter Jerram once asserted that should it be put out of business by other OA publishers, it will have accomplished its mission.
Davis is concerned that the Trump administration’s proposed cuts to research could cause a falloff in demand for OA publishing, since authors will have less funding to pay article processing charges. Some university libraries offer support for researchers to pay for publication, even as they claim to have insufficient funds to afford subscriptions to thousands of journals. “Should they be spending $3000 on buying access to a really excellent collection of journals or pay for one paper to be published?” Davis asks.

PHYSICISTS’ VIEWS

Physics-related papers have routinely been shared on the arXiv website since the 1990s. Those preprints typically are posted prior to the peer-review and editing processes that are performed by publishers. University of Maryland physicist Daniel Lathrop says posting to arXiv “satisfies our intent to have open access,” and he notes that the preprint includes both figures and the basic conclusions. “It’s not clear to me why you need open access in the refereed journal as long as it’s the common practice” to post on arXiv, he says.
Still, Lathrop acknowledges that some fellow authors, particularly younger ones, feel strongly about OA, and their views will be considered in deciding where to submit a paper. But a more important consideration, particularly for young researchers, is the reputation and impact factor of the journal.
David Helfand, a Columbia University astrophysicist, sees OA as largely irrelevant to all but “the few people who are ideologically committed to it, who believe it’s just right,” and to those whose sponsors require publishing in OA journals. Helfand, a past president of the American Astronomical Society, says free public access to AAS’s journal content is available through US public libraries. “The number of times this has been used in the past few years can probably be counted on your fingers,” he says.
In AAS’s publishing model, two-thirds of revenues are from article processing charges, with the remainder derived from subscriptions. Should funding for US science drop, Helfand worries that astronomers may submit their work to Monthly Notices of the Royal Astronomical Society, which has no author charges but costs institutions more than $14 000 a year.
“I don’t think if AAS went gold it would change very much, because 98% of the papers are publicly available the day they are accepted, or several weeks before that” in arXiv, he says. A larger problem for public access, he thinks, is scientists’ failure to write in “actual understandable English.”
Helfand’s and Lathrop’s views are supported by author surveys. In a 2015 Nature Publishing survey of its authors, 18 000 respondents ranked an OA option 14th on a list of 17 factors driving the choice of where they submit articles.
Paul Hardaker, chief executive of the UK’s Institute of Physics, which publishes more than six dozen journals, says its 2015 author survey also placed OA well down the list of considerations. “There is quite clearly a small community of strong advocates for open access, but it’s not reflected in the response we’ve had from the broader community.”
However, some view OA as an imperative. Daniel Kammen, a physicist at the University of California, Berkeley, is editor-in-chief of the decade-old OA journal Environmental Research Letters. Kammen says it is “absolutely the case” that all academic research should be open access, whether its funding comes from public or private sources. “The primary mission of a researcher is to be in some sense H. L. Mencken’s public intellectual,” he says, which requires that both the paper and the underlying data be openly accessible. OA, he says, needs to rapidly get research results out “in a world where research is competing with tweets and Instagram and all these rapid things.”

A CITATION ADVANTAGE?

A long-standing debate has surrounded whether research will be cited more frequently in other scientific articles if it is openly available. Several studies have identified a citation advantage for such research articles. The OA advocacy organization Scholarly Publishing and Academic Resources Coalition (SPARC) maintains a scorecard of 70 citation studies, 46 of which find an advantage for OA articles. Seventeen others find no advantage, and 7 are inconclusive.
One of the more recent reviews, released in August 2016 by Science-Metrix and 1science, finds a 50% citation advantage for OA articles compared with subscription ones that aren’t subsequently made open through green OA options. But a September 2016 report by Hersh and coauthor Andrew Plume claims that and other studies’ methodologies are flawed, principally because of selection bias caused by a lack of randomization and control. Authors could be choosing OA journals for their most important research, for example, or researchers from elite institutions may be authoring a disproportionate share of OA articles.
By some accounts, a 2011 review by Davis is the sole randomized and controlled study to date. He concludes that while OA articles received significantly more downloads and reached a broader audience in the first year, they were cited no more frequently, nor any earlier, than subscription-access articles over the three-year study period.

BEYOND OPEN ACCESS

Publishers are trying to accommodate demand for OA while maintaining the subscription model. Last October, Springer Nature launched a content-sharing initiative to encourage “reasonable” free sharing with nonsubscribers by authors of articles in the publisher’s 2300 journals, including Nature titles. Immediately upon publication, authors are provided shareable links to their papers, which can be viewed but not downloaded. The links can be posted anywhere, including the author’s website, article-sharing sites known as scholarly collaboration networks (SCNs), and social media. Notably, an earlier year-long pilot version of the shared links program involving 50 journals resulted in no loss of institutional sales for the subscription-based journals.
Dylla sees figuring out how to deal with the SCNs as the new challenge for publishers. SCNs help scientists collaborate at all stages of their research and raise the visibility of their results, says Hersh of Elsevier, which owns Mendeley, the third largest SCN. Smaller SCNs have been around for decades. But the two largest—Berlin-based ResearchGate claims 10 million members and San Francisco-based Academia.edu boasts 50 million academic users—were founded in 2008 and are funded by venture capital.
Many articles shared on SCNs have been posted contrary to licensing agreements, intentionally or not. “They have a mixture of proper and improper content,” says Dylla. Publishers seem to have reached a consensus to allow articles to be shared privately among collaborators, he says, in the same way that authors would mail reprints of articles to colleagues in the pre-electronic era. But there is a limit to how broadly a paper can be shared, and the particular version that can be shared, without jeopardizing the publishers’ ability to solicit, review, produce, and archive the content, he notes.
The International Association of STM Publishers has developed voluntary principles for article sharing and operates a website, How Can I Share It, to inform researchers about which versions of articles they can properly share. “The aim is not in any way to shut down collaborations but to make sure the ecosystem works effectively,” says Hersh.
To counter unauthorized content sharing, Dylla says publishers should strive to make content accessible with one-click convenience, akin to accessing movies on Netflix. “If you’ve got a single password, it doesn’t matter if you’re on a phone, iPad, or desktop, you can get to it and it comes right back to where you left off,” he says. “Try that with journals.” The music industry too, he adds, managed to avoid extinction from rampant piracy by working with Pandora, YouTube, and other providers to share revenues.

Ref.

© 2017 American Institute of Physics.

Friday, March 10, 2017

IFLA The International Federation of Library Associations and Institutions. A conference (2012) : Digitization and Preservation


The International Federation of Library Associations and Institutions (IFLA) is the leading international body representing the interests of library and information services and their users. It is the global voice of the library and information profession.

Founded in Edinburgh, Scotland, on 30 September 1927 at an international conference, we celebrated our 75th birthday at our conference in Glasgow, Scotland in 2002. We now have over 1300 Members in approximately 140 countries around the world. IFLA was registered in the Netherlands in 1971. The Royal Library, the national library of the Netherlands, in The Hague, generously provides the facilities for our headquarters.

Conference theme

"Newspaper Digitization and Preservation: New Prospects. Stakeholders, Practices, Users and Business Models", 2012


http://www.ifla.org/node/5932

cairn.info et le format fichiers XML structurés selon la DTD EruditArticle



Cairn.info est né de la volonté de quatre maisons d'édition (Belin, De Boeck, La Découverte et Erès) ayant en charge la publication et la diffusion de revues de sciences humaines et sociales, d’unir leurs efforts pour améliorer leur présence sur l’Internet, et de proposer à d’autres acteurs souhaitant développer une version électronique de leurs publications, les outils techniques et commerciaux développés à cet effet.
En février 2006, la Bibliothèque nationale de France s’est associée à ce projet, de façon à faciliter le développement d’une offre éditoriale francophone, sous forme numérique.
Cairn.info réunit, en outre, différents investisseurs institutionnels, notamment Gesval, la société ayant en charge la gestion des participations de l’Université de Liège.
En France, le Centre national du livre apporte son soutien à cette initiative.

En fait cairn.info est un aggrégateur.

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Pour les éditeurs

L’offre de services de Cairn.info
Cairn.info a pour objectif de faciliter la mise en ligne des publications de sciences humaines et sociales en aidant les maisons d’édition et autres structures éditoriales, à gérer cette période complexe où doivent coexister une version électronique et une version papier des mêmes publications. Pour tenir compte de la diversité des situations, notre offre est modulaire, quasiment « à la carte » :

  • Le cœur de l’offre est constitué d’un service d’hébergement et de distribution des publications de sciences humaines et sociales, sous forme numérique, via le portail www.cairn.info.
  • Mais ce service peut être complété par d’autres prestations, en fonction des besoins spécifiques de chaque publication.
  • Conversion ou rétroconversion – c’est-à-dire conversion rétrospective – des fichiers prépresse de façon à produire les fichiers XML, structurés selon la DTD EruditArticle, nécessaires à la présentation des articles sur le portail www.cairn.info.
  • Pour les revues, composition et mise en page, de façon à produire directement des fichiers utilisables à la fois pour la fabrication papier et électronique des revues.
  • Pour les revues, filtrage (par mot de passe) des accès éventuellement accordés par l’éditeur aux abonnés à la version papier du périodique.
  • Gestion des abonnements aux versions papier et numérique.
  • Diffusion enfin de ces publications sous forme numérique grâce notamment à un effort commercial ad hoc vis-à-vis des bibliothèques (insertion des publications dans des bouquets de publications et commercialisation de ces bouquets auprès des institutions et établissements de prêt).

Rétroconversion des fichiers

Les sociétés Isako (Paris) et Softwin (Bucarest), en charge de la rétroconversion des articles de revues.


liste des fonctionnalités des divers outils



ICS

Un seul outil pour convertir plusieurs formats en une seule fois.
Il offre de nombreuses fonctionnalités pour la définition et le paramétrage des tâches de conversion.

Infrastructure-independant : l’application ne nécessite pas d’infrastructure SGBD.

En entrée :
  • Papier après numérisation
  • PDF
En sortie :
  • PDF toutes versions, PDF/A,
  • XML  METS/ALTO
  • RTF, TXT,
  • XLS, HTML
Processus de conversion :
  • Pré-segmentation (voir outil PageView®)
  • Configuration des différents types d’exports souhaités en sortie
  • OCRisation,
  • Export des fichiers
Adaptive Document Recognition Technology :

Le mode adaptatif ADRT reconnaît la structure logique du document sur plusieurs pages : les en-têtes et pieds de pages, les paginations, les notes de bas de page, les polices et styles de caractères de l’ensemble du document d’origine sont conservés.

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Ce système éprouvé, en production depuis juillet 2003, est destiné aux prestations d'indexation, de conversion OCR Haute-Qualité, et d'extraction des contenus selon un XML/Schema cible spécifique qui permet leur structuration au formats XML, ALTO, METS, PDF + texte caché, etc.
En Entrée :

Papier après numérisation 
En sortie :
XML éditeur pour agrégation et ePublishing
XML  METS/ALTO
PDF Image + Texte









Wednesday, March 8, 2017

Comparing Repository Types. The dark side of open access in Google and Google Scholar.


An article

Title

Comparing Repository Types: Challenges and Barriers for Subject-Based Repositories, Research Repositories, National Repository Systems and Institutional Repositories in Serving Scholarly Communication

Year

2010

Authors

Laurent Romary INRIA and Humboldt Universität zu Berlin, Germany
Chris Armbruster Max Planck Society, Germany

Abstract

After two decades of repository development, some conclusions may be drawn as to which type of repository and what kind of service best supports digital scholarly communication. In this regard, four types of publication repository may be distinguished, namely the subject-based repository, research repository, national repository system, and institutional repository. Two important shifts in the role of repositories may be noted and in regard to content, a well-defined and high quality corpus is essential. This implies that repository services are likely to be most successful when constructed with the user and reader in mind. With regard to service, high value to specific scholarly communities is essential. This implies that repositories are likely to be most useful to scholars when they offer dedicated services supporting the production of new knowledge. Along these lines, challenges and barriers to repository development may be identified in three key dimensions, i.e., identification and deposit of content, access and use of services, and preservation of content and sustainability of service. An indicative comparison of challenges and barriers in some major world regions is offered.

http://www.igi-global.com/gateway/article/48203
http://dl.acm.org/citation.cfm?id=2436650
ACM association Computer Machinery
The ACM Digital Library is a research, discovery and networking platform containing:

  • The Full-Text Collection of all ACM publications, including journals, conference proceedings, technical magazines, newsletters and books.
  • A collection of curated and hosted full-text publications from select publishers.
  • The ACM Guide to Computing Literature, a comprehensive bibliographic database focused exclusively on the field of computing.
  • A richly interlinked set of connections among authors, works, institutions, and specialized communities.

http://dl.acm.org/

Cited by

Kristin R. Eschenfelder , Kalpana Shankar , Rachel Williams , Allison Lanham , Dorothea Salo , Mei Zhang,
What are we talking about when we talk about sustainability of digital archives, repositories and libraries?
Proceedings of the 79th ASIS&T Annual Meeting: Creating Knowledge, Enhancing Lives through Information & Technology, p.1-6, October 14-18, 2016, Copenhagen, Denmark
http://dl.acm.org/citation.cfm?id=3017595&CFID=736601247&CFTOKEN=53449726

Enrique Orduña-Malea , Emilio Delgado López-Cózar,
The dark side of open access in Google and Google Scholar: the case of Latin-American repositories, 
Scientometrics, v.102 n.1, p.829-846, January 2015
http://dl.acm.org/citation.cfm?id=2716369&CFID=736601247&CFTOKEN=53449726

Abstract

Since repositories are a key tool in making scholarly knowledge open access (OA), determining their web presence and visibility on the Web (both are proxies of web impact) is essential, particularly in Google (search engine par excellence) and Google Scholar (a tool increasingly used by researchers to search for academic information). The few studies conducted so far have been limited to very specific geographic areas (USA), which makes it necessary to find out what is happening in other regions that are not part of mainstream academia, and where repositories play a decisive role in the visibility of scholarly production. The main objective of this study is to ascertain the web presence and visibility of Latin American repositories in Google and Google Scholar through the application of page count and web mention indicators respectively. For a sample of 137 repositories, the results indicate that the indexing ratio is low in Google, and virtually nonexistent in Google Scholar; they also indicate a complete lack of correspondence between the repository records and the data produced by these two search tools. These results are mainly attributable to limitations arising from the use of description schemas that are incompatible with Google Scholar (repository design) and the reliability of web mention indicators (search engines). We conclude that neither Google nor Google Scholar accurately represent the actual size of OA content published by Latin American repositories; this may indicate a non-indexed, hidden side to OA, which could be limiting the dissemination and consumption of OA scholarly literature.

References

1
Albanese, A. R. 2009. Institutional Repositories: Thinking Beyond the Box. Library Journal. Retrieved from http://www.libraryjournal.com/
 
2
Armbruster, C. 2008. Access, Usage and Citation Metrics: What Function for Digital Libraries and Repositories in Research Evaluation? Online Currents, 225, 168-180. Retrieved from http://ssrn.com/author=434782
 
3
Bailey, C. W. 2008. Open Access Bibliography. Retrieved from http://www.digital-scholarship.com/
 
4
Bailey, C. W. 2009. Scholarly Electronic Publishing Bibliography. Retrieved from http://www.digital-scholarship.com/
 
5
Bailey, C. W. 2010. Institutional Repositories Bibliography. Retrieved from http://www.digital-scholarship.com/
 
6
Basefsky, S. 2009. The End of Institutional Repositories and the Beginning of Social Academic Research Service: An Enhanced Role for Libraries. Law and technology resources for legal professionals. Retrieved from http://www.llrx.com/authors/1133
 
7
Kennan, M. A., & Kingsley, D. A. 2009. The State of the Nation: A Snapshot of Australian Institutional Repositories. First Monday, 142. Retrieved from http://firstmonday.org
 
8
Laurent Romary , Chris Armbruster, Beyond Institutional Repositories, International Journal of Digital Library Systems, v.1 n.1, p.44-61, January 2010  [doi>10.4018/jdls.2010102703]
 
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Salo, D. 2008. Innkeeper at the Roach Motel. Library Trends, 572. Retrieved from http://muse.jhu.edu/journals/library_trends/v057/57.2.salo.html.
 
10
Vernooy-Gerritsen, M., Pronk, G., & van der Graaf, M. 2009. Three Perspectives on the Evolving Infrastructure of Institutional Research Repositories in Europe. Ariadne, 59, ¿¿¿. Retrieved from http://www.ariadne.ac.uk/issue59/vernooy-gerritsen-et-al/.
 
11
Wellcome Library. 2008. The Year in Review. Wellcome Collection, 13. Retrieved from http://library.wellcome.ac.uk/assets/wtx055651.pdf



BibTeX


@article{Romary:2010:CRT:2436646.2436650,
 author = {Romary, Laurent and Armbruster, Chris},
 title = {Comparing Repository Types: Challenges and Barriers for Subject-Based Repositories, Research Repositories, National Repository Systems and Institutional Repositories in Serving Scholarly Communication},
 journal = {Int. J. Digit. Library Syst.},
 issue_date = {October 2010},
 volume = {1},
 number = {4},
 month = oct,
 year = {2010},
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 pages = {61--73},
 numpages = {13},
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 acmid = {2436650},
 publisher = {IGI Global},
 address = {Hershey, PA, USA},
 keywords = {Deposit Mandate, Institutional Repository, National Repository System, Repository Infrastructure, Research Repository, Scholarly Communication, Subject-Based Repository},
}

Sunday, January 29, 2017

istex, TEI, XML



Le projet ISTEX a pour principal objectif d’offrir, à l’ensemble de la communauté de l’enseignement supérieur et de la recherche, un accès en ligne aux collections rétrospectives de la littérature scientifique dans toutes les disciplines en engageant une politique nationale d’acquisition massive de documentation : archives de revues, bases de données, corpus de textes.
http://www.istex.fr/

Pour tester la plateforme
http://demo.istex.fr/

historique

Signée le 19 avril 2012 par l’ANR (Agence Nationale pour la Recherche), l’Etat et le CNRS, la convention d’attribution d’aide au projet s’élève à 60 millions d’euros sur trois ans dont 54 millions d’euros consacrés aux acquisitions des ressources documentaires et 6 millions d’euros alloués à la création de la plateforme destinée à héberger les données.
L’ANR a accordé une prolongation jusqu’en 2017 au projet ISTEX.

La politique d’acquisition de ressources documentaires à l’échelon national avait déjà fait l’objet d’une première série d’achats en 2011 et 2012, donnant lieu à l’acquisition de cinq ressources sous forme de licences nationales :

  • L’ensemble des revues de l’éditeur Springer pour les périodes allant du premier numéro paru à 1996 (plus de 1000 titres de revues) ;
  • Un ensemble de e-books publiés par l’éditeur Springer de 1995 à 2004 (7500 titres)
  • Le corpus des dictionnaires édité par Garnier Numérique : 24 dictionnaires couvrant l’évolution de la langue française du neuvième au vingtième siècle (près de 200 000 pages, plus de 900 000 entrées et définitions) ;
  • La base de données Early English Books Online de l’éditeur Proquest, version numérisée de l’intégralité des ouvrages imprimés entre 1473 et 1700 en Angleterre, en Irlande, en Ecosse, au Pays de Galles et dans les colonies britanniques d’Amérique du Nord, ainsi que les ouvrages en langue anglaise imprimés ailleurs (125 000 ouvrages) ;
  • La base Eighteenth Century Collections Online de l’éditeur Gale Cengage, version numérisée des textes publiés au Royaume-Uni au 18ème siècle (plus de 136 000 titres).

A noter : Le site www.licencesnationales.fr regroupe des informations pratiques (notices, licences, informations basiques sur les contenus) à destination des professionnels de la documentation, afin qu’ils puissent ouvrir les accès de leurs institutions aux ressources déjà acquises, et en faire la publicité. Le site www.istex.fr est la vitrine du projet ; il s’adresse à la fois aux éditeurs (grille à remplir), aux chercheurs (enquête besoins) et aux bibliothécaires (kit de communication).

le projet

L’Investissement d’Avenir ISTEX est plus qu’une bibliothèque : il en a certes toutes les caractéristiques en offrant l’archive numérique rétrospective de la Science mais, bien au-delà, le projet ISTEX entend offrir tous les moyens accessibles de consultation et d’analyse aujourd’hui disponibles dans toutes les communautés de la Science. 

Le Comité Exécutif d’ISTEX réunit toutes les compétences nécessaires à l’innovation dans l’analyse et dans le partage de tous les grands champs de connaissance : l’Agence Bibliographique de l’Enseignement Supérieur (ABES), le Consortium Unifié des Etablissements Universitaires et de Recherche pour l’Accès aux Publications Numériques (Couperin.org), et l’Université de Lorraine agissant pour le compte de la Conférence des Présidents d’Université (CPU) travaillent main dans la main avec le Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) pour assembler les ressources, définir les projets et organiser les services qui donneront au projet ISTEX une valeur ajoutée inédite dans le champ toujours croissant des grandes archives numériques.
La recherche est évidemment la clé irremplaçable de ce développement. Autour du LORIA (http://www.loria.fr/fr/), de l’ATILF (http://www.atilf.fr/) sous la haute compétence de Jean-Marie PIERREL, Professeur des Universités, les équipes scientifiques nationales concernées par l’analyse des corpus scientifiques travaillent continument à la définition des services qui permettront de « mieux partager les connaissances » quand ISTEX sera en service. Au nom de tout le Comité Exécutif ISTEX, je souhaite adresser au Commissariat d’Investissement d’Avenir les salutations et les remerciements de toute l’équipe de ce projet innovant qui apportera à toutes les communautés de la recherche les perspectives et les outils d’une grande plateforme multi-usages ouverte sur l’avenir.

Renaud FABRE
Chef du projet ISTEX
Directeur de l’Information Scientifique et Technique au CNRS
http://www.istex.fr/le-projet/

La plateforme

L’accès aux ressources documentaires se fera dans un premier temps via les plateformes des éditeurs, mais la plateforme ISTEX, gérée par l’INIST-CNRS, permettra d’héberger l’intégralité des données dans un réservoir unique et ce dans des formats normalisés.

ISTEX crée ainsi un réservoir commun, unifié, normé et normalisé d’objets documentaires (article scientifique, chapitre de livre, entrée dans une encyclopédie, etc.) accessibles via des canaux multiples et variés (moissonnage OAI-PMH, widgets, API,…).


Remarque: normalisation, reformattage Mods+TEI

Un accès systématique vers le texte intégral du document :La plateforme ISTEX n’est pas une base de signalement contenant des métadonnées pointant vers des documents hébergés chez les éditeurs mais bien une base de données contenant l’intégralité des textes afin de répondre à des usages différents mais complémentaires :

  • ne plus être dépendant d’autorisations extérieures (ex : lien vers un portail d’un éditeur) pour accéder à un document en texte intégral ;
  • Accéder  aux documents sans limitation de durée
  • Permettre  des traitements transversaux (indexation automatique, catégorisation, extraction de connaissance) sur tout ou partie de la base ;
  • Pouvoir extraire des sous-corpus de la base complète selon des critères de discipline, de type de document, de datation, …

Un moteur de recherche puissant adapté aux besoins des scientifiques avec des facilités d’interrogation et de téléchargement :

En relation avec le volume conséquent de données et le niveau d’exigence de la recherche documentaire, le moteur de recherche se doit d’être performant, robuste mais aussi évolutif et ouvert.

De plus, le multilinguisme des documents impose des traitements automatiques du langage complexes et variés.

Le choix s’est porté sur un moteur de recherche open source (ElasticSearch) qui permet de bénéficier des outils développés par la communauté des utilisateurs du moteur.

Des services de traitement des données : extraction de données, fouille de textes, production de synthèses documentaires et de corpus terminologiques :

Cet immense réservoir de données textuelles pourra servir de matériau scientifique pour des travaux de recherche appliqués dans différents domaines comme le Traitement Automatique des Langues (TAL), mais aussi l’histoire des sciences, ou la production d’indicateurs…

La plateforme répondra aux besoins de plusieurs profils d’utilisateurs :

Des informaticiens souhaitant interroger les API de la plateforme (REST Type d’architecture couramment utilisées dans le monde du web, OAI-PMH Protocole pour échanger des métadonnées, Sparql Langage de requêtes permettant d’accéder à des données sur le web, …) dans un but d’extraction de corpus pour mener par exemple un projet de recherche.

les services de base

Outre la recherche sur les métadonnées descriptives des collections et articles et  l’indexation plein texte, nous prévoyons trois services de bases supplémentaires :
  • Recherche de termes et de leurs variantes. Il convient alors de déterminer dans le texte initial des séquences textuelles les plus susceptibles d’être de bons candidats termes dans le domaine scientifique correspondant au document analysé. Une équipe réunissant les compétences de l’équipe TALN du LINA et de l’INIST se donne comme objectif, dans des domaines spécialisés, d’assurer la détection et le balisage de termes et de leurs variantes en plein texte, et de maintenir un référentiel de terminologie scientifique pour l’exploitation des données d’ISTEX.
  • Recherche sur les entités nommées. Cela nécessite au préalable de pouvoir détecter, normaliser et baliser de telles entités nommées dans le plein texte. Une équipe réunissant les compétences du Laboratoire d’Informatique de Tours et de l’INIST est en charge de cet aspect. Par entités nommées on entend, dans un cadre général, les dates, les noms de lieux  (villes, région, pays), les noms d’individus ou groupes d’individus (nom d’équipe ou de laboratoire ou d’institution). On pourrait y ajouter les adresses internet de ressources ou de données, les noms de projets liés à une publication ou cités dans une publication. Dans un domaine spécialisé, cela pourrait être beaucoup plus fin : noms des astres en astronomie, noms de molécules en chimie, noms de formules en mathématiques, noms de plantes en botanique, etc.
  • Accès aux champs principaux des références bibliographiques. Un balisage automatique préalable de ces informations dans les références bibliographiques des articles est en cours de réalisation à l’INIST. De tels accès permettront, pour des sous-domaines, de construire des cartographies scientifiques et de répondre à des questions du type : Qui travaillent avec qui ? Quels sont les réseaux de citations existants ? Quels sont les vecteurs de publication les plus marquants ? Quels sont les vecteurs privilégiés de publication d’une communauté scientifique ? Quelles sont leurs évolutions au cours du temps ? Etc.

un service spécialisé d'une bibliothèque open source de composants Xml   

Bibliothèque open source de composants Xml d’exploitation du corpus ISTEX. Ce projet, LorExplor, orienté vers l’identification des acteurs d’une thématique scientifique pour l’aide au pilotage scientifique, se propose de constituer une bibliothèque open source de composants Xml pour construire des systèmes de recherche, des serveurs d’exploration de corpus et des chaînes de curation de données. L’objectif est de faciliter la construction, en quelques jours pour des documentalistes, de plateformes intermédiaires (régionales, thématiques ou institutionnelles) analysant de 100.000 à 1.000.000 de documents pour répondre à des besoins spécifiques (requête particulière, bibliographie, méta-analyse…).

Les chantiers d’usage

NEOTEX : Exploration de documents Textuels d’un domaine par un Néophyte

Projet porté par : le Laboratoire Hubert CURIEN (UMR CNRS 5516 Saint Etienne) L’objectif du projet est d’accompagner un chercheur « néophyte » à partir d’une requête pour proposer des documents pertinents dans le cadre d’une recherche exploratoire.

3ST : surligneur sémantique de textes scientifiques

Projet porté par : le Laboratoire Hubert CURIEN (UMR CNRS 5516) et Laboratoire ERIC (EA 3083 – Universités Lyon 1 et 2) Ce projet de recherche appliquée a pour but de construire un outil de lecture assistée par ordinateur via le surlignage sémantique des textes scientifiques. 

Alpage

Projet porté par : équipe Alpage UMR INRIA – Université Paris–Diderot (Paris 7).
L’objectif de ce projet est l’annotation des corpus ISTEX et le codage en TEI.


Example


pdf

https://api.istex.fr/document/5D2913B19B0516370D1D8C6B4C22E561188A43EE/fulltext/pdf?sid=istex-api-demo

l'identifiant ISTEX pdf est surligné en jaune.

zip 

zip contient

  • main.pdf
  • main.xml

TEI

https://api.istex.fr/document/BB2EFDC79E86CE873BD5C8178CAB892E041D08E8/fulltext/tei?sid=istex-api-demo
l'identifiant ISTEX TEI est surligné en jaune.

<TEI xmlns:tei="http://www.tei-c.org/ns/1.0" xml:lang="en" type="research-article">
<teiHeader>
<fileDesc>
<titleStmt>
<title level="a">
Determination of NADH in the rat brain during sleep-wake states with an optic fibre sensor and time-resolved fluorescence procedures
</title>
</titleStmt>

(...)

<text>
<body>
<div>

<p> the text of this article
(...)

Metadata

XML
https://api.istex.fr/document/BB2EFDC79E86CE873BD5C8178CAB892E041D08E8/metadata/xml?sid=istex-api-demo
MODS
https://api.istex.fr/document/BB2EFDC79E86CE873BD5C8178CAB892E041D08E8/metadata/mods?sid=istex-api-demo

Enrichments TEI UNITEX

TEI
UNITEX : une boîte à outils pour l'analyse de textes
Enrichissement entités nommées
C'est un petit fichier:
<TEI xmlns="http://www.tei-c.org/ns/1.0" 
xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink" 
xmlns:mml="http://www.w3.org/1998/Math/MathML">
<standOff>
<teiHeader>
<fileDesc>
<titleStmt>
<title>Reconnaissance d'entités nommées</title>
<respStmt>
<resp>enrichissement entités nommées ISTEX-RD</resp>
<name resp="istex-rd">ISTEX-RD</name>
</respStmt>
</titleStmt>
<publicationStmt>
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<licence target="http://creativecommons.org/licenses/by/4.0/">
<p>
L’élément standOff de ce document est distribué sous licence Creative Commons 4.0 non transposée (CC BY 4.0)
</p>
<p>
Ce standOff a été créé dans le cadre du projet ISTEX – Initiative d’Excellence en Information Scientifique et Technique
</p>
</licence>
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<idno type="istex">BB2EFDC79E86CE873BD5C8178CAB892E041D08E8</idno>
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<label>Unitex CasSys</label>
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<term>1997</term>
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<term>France Abstract</term>
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<term>Department of Experimental Medicine, INSERM</term>
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<term>Elsevier Science Ltd</term>
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<term>Jean Monnet University</term>
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<term>Laboratory, CNRS</term>
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<term>Hamamatsu</term>
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<term>Lyon</term>
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<term>S. Mottin et al.</term>
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<numeric>4</numeric>
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<persName change="#Unitex-3.2.0-alpha" resp="istex-rd" scheme="http://persName-entity.lod.istex.fr">
<term>Miss C. Limoges</term>
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<f name="frequency">
<numeric>1</numeric>
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<annotationBlock corresp="text" xmls="https://wwww.tei-c.org/ns/1.0">
<persName change="#Unitex-3.2.0-alpha" resp="istex-rd" scheme="http://persName-entity.lod.istex.fr">
<term>J. Carrew</term>
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<f name="frequency">
<numeric>1</numeric>
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</fs>
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