Référence officielle:
http://www.elysee.fr/president/mediatheque/videos/videotheque.10.html
discours de 41minutes.
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Conférence de presse
http://www.elysee.fr/president/mediatheque/videos/2012/septembre/conference-de-presse-du-president-de-la-republique.13970.html?search=&xtmc=&xcr=&offset=0&context=null
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quelques analyses:
http://www.lemonde.fr/politique/article/2012/09/25/les-debuts-de-francois-hollande-a-l-onu-un-certain-classicisme_1765632_823448.html
http://www.liberation.fr/monde/2012/09/25/a-l-onu-hollande-plaide-l-action_848889
http://www.lexpress.fr/actualite/monde/francois-hollande-a-l-onu-le-regime-syrien-n-a-pas-d-avenir-parmi-nous_1166138.html
Pour sa première prestation à la tribune de l'assemblée générale de l'ONU, le président de la République s'est ainsi d'emblée situé sur le terrain des "valeurs universelles", celles "que la France a toujours proclamées : la liberté, la sureté, la résitance à l'oppression." Pas de surprise, donc. Nul coup d'éclat dans le propos présidentiel. Le ton, certes, se voulait empreint de fermeté. Mais pas de quoi bousculer véritablement les us et coutumes de l'institution.
Dans cet exercice de style extrêmement balisé, où il importe tout autant de peaufiner sa stature de chef d'Etat que de se conformer aux canons diplomatiques en vigueur, "son excellence M. François Hollande", comme l'a rituellement annoncé le président de la session, a choisi d'éviter toute prise de risque sur le fond, en l'occurence sur les propositions, préférant se livrer à une critique quelque peu convenue de l'institution.
Il s'est aussi déclaré "favorable à une présence accrue de l'Afrique, y compris parmi les membres permanents". Ce fut la seule véritable audace que s'autorisa le président français pour cette première sortie sous les auspices onusiens.
