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Friday, September 15, 2017

outils standards du secrétaire d’édition: NUMEDIF, MÉTOPES Méthodes et outils pour l’édition structurée, workflow editorial, chaîne d'édition structurée, production scientifique et diffusion FMSH


NUMEDIF

Infrastructures de recherche : Information scientifique et technique
NUMEDIF (NUMérique pour l'ÉDItion et la DIFFusion de la production scientifique)-NUMEDIF
L'infrastructure Numédif propose un ensemble d'outils et de méthodes pour l'édition structurée (« MÉTOPES ») permettant d'organiser production et diffusion papier et numérique dans un environnement normé à fort potentiel d'interopérabilité, sur le modèle du Single Source Publishing.

Coûts

Coût de construction : 0,920 Millions d'euros
Coût de fonctionnement : 0,750 Millions d'euros

Type de l'infrastructure : IR Infrastructure de recherche Ministère

Création : 2015
Localisation (siège) : Paris
Autres sites : Caen
Partenaires : FMSH, MRSH, CNRS, UNICAEN
Responsable de l'infrastructure : Pascal Buleon
numedif@msh-paris.fr

Présentation

L'infrastructure NUMEDIF est au service de l'activité éditoriale de l'ensemble des établissements publics d'enseignement supérieur et de recherche. Elle s'attache à la mise au point et à la dissémination d'un écosystème normé de production numérique de contenus scientifiques structurés interopérables, et à la construction d'un appareil spécifique de diffusion-distribution.

Elle vise à garantir la circulation des écrits scientifiques et leur mise à disposition optimale tant sous forme dématérialisée (archives, plateformes...) que matérielle (livres ou revues diffusés en librairie, auprès des bibliothèques ou des particuliers) et doit améliorer la visibilité de l'édition scientifique publique française à l'international.

Elle permet l'alimentation pour un coût résiduel des plateformes "nationales" : Open Edition, Cairn... Elle est garante de la pérennité des données.
L'utilisation d'Unicode et la normalisation documentée des structures (XML-TEI) permet l'archivage par le Centre informatique National de l'Enseignement supérieur (CINES).

Ses missions et services portent sur :
    La constitution des fonds de contenus édités, normalisés, interopérables, bâtis sur le modèle du single source publishing ;
    L'articulation des échelles de diffusion nécessaires (librairies et publics spécialisés, mises en place plus massives en librairies à destination d'un public large, diffusion en ligne, diffusion de formes numériques détachables, diffusion payante, open access dont OpenEdition) ;
    Un service de veille et de formation.
    L'industrie du logiciel, le développement d'environnement de saisie et de traitement de flux structurés normés, le développement d'automates de composition de flux éditorialisés pour la production d'epubs et l'alimentation des plateformes de diffusion.
    Les diffuseurs-distributeurs, développement de flux mixtes TEI/ONIX pour le référencement et l'optimisation des diffusions multisupports, pour l'alimentation de circuits de print-on-demand.

 Ref

http://www.enseignementsup-recherche.gouv.fr/cid99664/numedif-numerique-pour-l-edition-et-la-diffusion-de-la-production-scientifique-numedif.html

Site numedif et METOPES

Métopes

Méthodes et outils pour l’édition structurée:
Une mise en œuvre, au fil du travail éditorial, des principes de Single source publishing…
La méthode repose sur la production, au fil du travail éditorial, d’un fichier encodé en XML-TEI et dont la richesse et la granularité du balisage permettent d’envisager ses transformations sur divers supports de diffusion en garantissant à la fois une totale stabilité du contenu et la meilleure adaptation de chaque catégorie de fragment textuel aux spécificités du mode de diffusion choisi. 
Le processus de travail est construit sur l’analogie forte existant entre le travail de distinction éditoriale, propre à la « préparation de copie », et l’opération de production du balisage d’un texte ou d’un contenu au moyen d’un vocabulaire contrôlé. Plus qu’une contrainte technique il repose sur un usage raisonné et aménagé des outils standards du secrétaire d’édition et, avant tout, sur le plein exercice des fonctions éditoriales.

Développé à la MRSH de Caen et porté par son pôle Document numérique, qui maintient et diffuse le standard de structuration des contenus sur la base des recommandations de la Text encoding initiative, définit les principes du flux éditorial, assure les développements des environnements de travail et des outils de transformation (vers OpenEdition-TEI, Cairn-Erudit, Jats Nlm-Scielo,  InDesign pour des éditions imprimées ou PDF…), ainsi que leur diffusion et leur déploiement auprès des structures éditoriales publiques, dont près de 50 ont été formées à ce jour.

Le projet « Métopes » vise à mettre au point, à développer et à diffuser, librement dans la sphère publique, par des actions de déploiement et de formation auprès des éditeurs publics, un ensemble d’outils et de méthodes leur permettant d’organiser leur production et leur diffusion papier et numérique dans un environnement normé à fort potentiel d’interopérabilité sur le modèle du Single Source Publishing. Un des apports principaux est de rationaliser, au sein de la communauté des éditeurs universitaires et de recherche publics, le travail éditorial tout en favorisant la mise en place de stratégies de diffusion multi-supports, en assurant une pérennisation des contenus et une haute qualité des métadonnées associées.
Principalement orienté vers la production des contenus normés (XML-TEI), ce projet à haute valeur éditoriale ajoutée est fortement articulé au projet de construction d’un catalogue commun des éditeurs publics associés (métadonnées et contenus) exprimé en ONIX .
Ce modèle technique et organisationnel entre fortement en résonance avec les réalités, les demandes et les contraintes du contexte aujourd’hui incontournable de la production et de la diffusion numériques. En effet, et en termes d’interopérabilité et d’économie de diffusion des savoirs :
– il repose sur des normes ou sur des standards partagés par de nombreux acteurs du domaine ce qui est un facteur d’interopérabilité des contenus ;
– il participe à la clarification de la notion de « plus-value éditoriale » en permettant de l’identifier et de la localiser précisément ;
– il est facteur d’économies, ne serait-ce que parce qu’une intervention éditoriale unique permet une multiplicité de formes de diffusion ;
– il permet l’alimentation pour un coût résiduel des plateformes « nationales » : OpenEdition, Cairn.info…
– il est indépendant des modèles économiques : l’éditeur a une totale liberté de choix des articulations formes/modèles de diffusion gratuite ou payante et peut construire des complémentarités entre formes de diffusion  ;
– il offre des perspectives nouvelles en termes de droits, à partir de la clarification des statuts du texte et de la claire localisation des acteurs de la plus-value éditoriale. Il permet au couple auteur-éditeur institutionnel de disposer, dans le respect des droits d’auteur, d’une structure riche à partir de laquelle peuvent être produites des formes appauvries pour leur stricte diffusion. Ces aspects peuvent permettre de mettre en place les adaptations les plus pertinentes dans un contexte où peut peser (et ou va peser) le devoir de diffusion en Open Access ;
– il est aussi un point de convergence en termes d’articulation avec les autres métiers de la « vie » du flux numérique (bibliothécaires, archivistes, chercheurs auteurs, chercheurs lecteurs…) et, plus encore, en termes d’ouverture aux données de la recherche (textes appareillés et éditions issues de corpus, thèses en ligne…)  ;
– il est enfin garant d’une certaine pérennité des données ; en effet, l'utilisation d'Unicode et la normalisation documentée des structures (XML-TEI) rend les fichiers produits susceptibles d’être l’objet d'un archivage pérenne.
http://www.numedif.fr/metopes.html

 Métopes  outils

1/Un ensemble d’outils et de modules mis à disposition des structures éditoriales
Déployé sous forme de modules additionnels aux logiciels de traitement de texte, cet environnement permet, sur la bases des distinctions éditoriales traduites en opérations de stylage, la production automatique de fichiers XML-TEI au moyen de modèles de stylage pour Microsoft Word et de XSLT d’export intégrées à Open Office.

2/Un environnement d’édition structurée et de production de formes
En aval de la production automatique du fichier XML pivot, le contrôle, l’enrichissement et les transformations sont effectués au moyen d’un environnement d’édition structurée basé sur un éditeur XML qui comprend :
– des vues d’affichage adaptées aux diverses tâches éditoriales et aux diverses interventions sur le flux XML-TEI ;
– des commandes d’export vers les plateformes OpenEdition (revues.org et books.openedition.org) ou Cairn.info ; production d’ePubs ou de pages HTML5 ;
– des commandes d’import de fichiers XML-TEI Lodel ;
– des commandes d’extraction des flux de notes ;
– des commandes d’enrichissement typographiques des flux XML ;
– des macro commandes d’expressions régulières ;
– la documentation du schéma TEI.
Un ensemble de scripts et de XSL permet l’importation du flux dans InDesign pour la production de formes imprimante ou de fichiers PDF mis en page.


3/METOPES actions de formation

Avec le soutien d’abord de l’AEDRES puis, depuis 2013, avec la prise en charge intégrale des coûts de développement et de formation par BSN, plus de 40 structures d’édition publique universitaire et de recherche (presses d’université, secrétariats d’édition de revues, presses des écoles françaises à l’étranger, presses d’IFRE…) et plus de 300 personnes (responsables éditoriaux, secrétaires d’édition, de rédaction, maquettistes, graphistes…) ont été formées aux méthodes d’édition structurée par des personnels des Presses universitaires de Caen et du Pôle document numérique de la Maison de la Recherche en sciences humaines (MRSH) de Caen. Chaque formation, d’une durée de trois à cinq journées s’effectue sur site et au plus près des préoccupations éditoriales des personnels concernés et s’organise autour de la mise à disposition gratuite et de l’installation des outils dans le service. Ces formations sur site sont combinées avec la tenue d’ateliers thématiques organisés dans le cadre de réseaux : MEDICI (formation de secrétaires de rédaction de revues, formation de formateurs aux outils d’édition structurée XML-TEI), Consortiums Corpus (MASA, CAHIER…), etc.

Un programme spécifique est en cours de réalisation à l’EHESS en liaison avec la DSI de l’établissement : formation du personnel des éditions, formation du personnel des 12 revues associées, extension des techniques de structuration des contenus aux autres productions écrites dans l’optique du développement d’une politique de diffusion numérique propre à l’établissement.

Auprès des écoles françaises à l’étranger et des IFRE
Des formations et compléments de formation ont été organisés dans les services éditoriaux de l’École française de Rome, de l’École française d’Athènes, de la Casa de Velazquez à Madrid, de l’IFAO au Caire et de l’IFPO à Beyrouth, maintenant susceptibles de développer des fonds éditoriaux numériques pleinement interopérables.
Un suivi des utilisateurs et un service de soutien technique sont assurés, en liaison avec Open Edition, par un ingénieur d’études CNRS affecté depuis le 1er décembre 2016 au Pôle document numérique de la MRSH de Caen.
  Formations à l’étranger

Via l’AEDRES (Association des éditeurs de la recherche et de l’enseignement supérieur)
auprès des associations similaires en Argentine, en Colombie…

En Argentine, formation menée en octobre 2014 en liaison avec Open Edition sous la forme de 2 sessions d’une semaine à Buenos Aires puis Mendoza. Ces sessions, co-financées par l’AEDRES, OpenEdition et REUN, ont permis la formation d’une quarantaine d’éditeurs universitaires argentins appartenant au REUN (association nationale d’éditeurs universitaires argentins). Largement soutenues par le ministère de l’enseignement supérieur argentin elles visent à l’implantation de deux plateformes de compétences en édition structurée respectivement spécialisées sur la production de livres et de revues numériques à Buenos Aires pour la première et Mendoza pour la seconde.
Elles se sont poursuivies en 2015 et 2016 par la tenue d’une session de formation et de perfectionnement à Cordoba (Arg.)  (financement assuré par le ministère de l’enseignement supérieur argentin) puis par l’accueil en France (un mois) de quatre collègues argentins pour une « formation de formateurs » et pour la mise au point des modalités de développement d’une plateforme de revues.

Ce dispositif a été présenté, à la Foire du livre de Francfort 2015, à l’Association des éditeurs universitaires sud américains et a débouché à l’initiative des éditeurs mexicains sur l’organisation d’un atelier à destination de l’ensemble des éditeurs universitaires sud-américains qui s’est tenu  le 1er décembre à Guadalajara (Mex.) à l’occasion de la Foire du livre et, à l’initiative des éditeurs colombiens, sur une présentation du dispositif à la Foire du livre de Bogota puis, sur le schéma mis en œuvre en Argentine, sur une formation de deux semaines à Cali destinée aux éditeurs d’ASEUC.

Ref

http://www.numedif.fr/metopes-formations.html

METOPES site de Caen

Infrastructure de recherche NUMÉDIF

    Pascal Buléon, responsable de l’infrastructure
    Dominique Roux, porteur de projet Métopes
    Michel Zumkir, directeur de FMSH-Diffusion

Partenaires

    FMSH Diffusion http://www.fmsh.fr/fr/diffusion-des-savoirs
    MRSH maison recherche SH de CAen
    CNRS - InSHS
    Université Caen Normandie

Adresse :
Pôle du Document numérique
Maison de la Recherche en Sciences Humaines
Université de Caen Basse-Normandie
Esplanade de la Paix; Campus 1
14032 Caen Cedex

Pierre-Yves Buardpierre-yves.buard@unicaen.fr02 31 56 51 74SH 119
Julia Rogerjulia.roger@unicaen.fr02 31 56 64 90SH 114
Tiphaine Thérouxtiphaine.theroux@unicaen.fr02 31 56 64 11SH 113
Édith Cannetedith.cannet@unicaen.fr02 31 56 64 99SH 113
Marie Bissonmarie.bisson@unicaen.fr02 31 56 62 05SH 113
Anne Goloubkoffanne.goloubkoff@unicaen.fr02 31 56 64 11SH 113
Subha-Sree Pasupathysubha-sree.pasupathy@unicaen.fr02 31 56 64 90SH 114

Liste d'exemple

juste un flipcard de visualisation

telechargement outils

1/Annoter et structurer...

Plusieurs environnements de travail ont été conçus au sein du pôle Document numérique pour travailler avec l’éditeur XML : XMLMind XML Editor. Le logiciel est disponible à cette adresse : http://www.xmlmind.com/xmleditor
voir ci-dessous

2/en XML-EAD
Nous mobilisons le vocabulaire XML-EAD, Encoded Archival Description. Nous utilisons la version EAD 2002, sous forme de schéma.

3/en XML-TEI
pour les livres (existe pour collection  d'objets)
bcp de choix pour SHS  comme sources avec apparat critique
un plug-in de travail collaboratif
et DIFFUSER EXPOSER

Environnement BVMSM

Dans le cadre de la réalisation de la Bibliothèque virtuelle du Mont Saint-Michel, mais également du projet Route du livre italien, Bibliothèque historique du ministère de l’agriculture ou encore Dicomarine, les membres du pôle Document numérique ont réalisé un travail de réflexion sur l’encodage en XML-EAD de description de livres.. Nous proposons ici le téléchargement d’un environnement de travail pour le catalogage en XML de manuscrits et d’ouvrages anciens.

Bibliographie

Il s’agit ici de la mise en œuvre du modèle défini par Robert Darnton, « Le nouvel âge du livre », Le Débat, 105, 1999, p. 176-184.

L'expression utilisée par Marin Dacos (Blogo Numericus, « C’est le chuchotement des livres qui se parlent… »: 22/10/2008 ; http://bn.hypotheses.org/167
Lou Burnard, What is the Text Encoding Initiative?, Marseille, OpenEdition Press (Encyclopédie numérique), 2014 : http://books.openedition.org/oep/1237

Ref

http://www.unicaen.fr/recherche/mrsh/document_numerique/projets/metopes

What is XMLmind XML Editor?

XMLmind XML Editor is a strictly validating, near WYSIWYG, DocBook editor, DITA editor, MathML editor, XHTML editor, XML editor. Because XMLmind XML Editor is highly extensible, it may be also be used to create documents conforming to your own custom schema. Its users are generally technical writers who need to author large, complex, modular, documents.

XMLmind XML Editor is also available as attractively priced, “special editions” called: XMLmind DITA Editor, XMLmind DocBook Editor, XMLmind XHTML Editor. More »

XMLmind XML Editor Personal Edition is free to use by many persons and organizations.

Full source code of the product    Yes if you pay.
http://www.xmlmind.com/xmleditor/download.shtml

Mac/windows, Linux and any other Java™ 1.6+ platform

CONVERSION import/export

 data2check – an online service for checking Word, InDesign and EPUB files for correctness
With the help of this service Word, InDesign and EPUB files can be checked for correctness and can be converted into XML,DITA,DocBook and other XML structures.
What is checked?
    Document structure
    Check for: unknown styles, incorrect use of ..
https://www.xml.com/news/?tag=conversion

FMSH Diffusion 

http://www.fmsh.fr/fr/diffusion-des-savoirs
Editeur
Michel Wieviorka
Président de la Fondation Maison des sciences de l'homme
190 avenue de France - 75013 Paris
Président de la FMSH, Michel Wieviorka, sociologue, docteur d'Etat ès Lettres et Sciences Humaines, directeur d'études à l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, est le président de la Fondation Maison des sciences de l'homme depuis juillet 2015. Il était administrateur de la FMSH depuis 2009.

Missions

Soutenir et promouvoir les sciences humaines et sociales au meilleur niveau pluridisciplinaire et international

Lieu de référence pour penser à un niveau global les grandes questions du monde contemporain, la Fondation Maison des sciences de l’homme met en synergie communautés et réseaux scientifiques internationaux, et favorise les dialogues interdisciplinaires.

Créée par Fernand Braudel en 1963 à Paris, et reconnue d’utilité publique, la FMSH est un carrefour international pour les sciences humaines et sociales. Lieu d'innovation scientifique et de diffusion des savoirs, la Fondation est en prise avec l’action publique et partage ses résultats avec le monde des décideurs, tout en affirmant son indépendance et la liberté de la recherche.

2 champs d'actions prioritaires

Le soutien à une recherche innovante : la FMSH travaille à l’identification des thèmes émergents, initie et met en place des dispositifs de recherche innovants dont l'objet est fonction des interrogations de la société.

La diffusion des savoirs au sein du monde scientifique et en direction des citoyens : avec sa bibliothèque, sa maison d’édition, sa maison de diffusion et son service de production audiovisuelle, la Fondation joue un rôle décisif dans la diffusion des savoirs en sciences humaines et sociales auprès de la communauté académique, de la société civile et des responsables culturels, politiques et économiques.

Diffusion des Savoirs, plateforme Canal-U, FMSH éditions

Diffusion audiovisuelle, éditions, diffusion-distribution, bibliothèque de recherche, la Fondation propose et développe un ensemble unique de services d’accès aux savoirs scientifiques.

A l’initiative d’expériences de médiation scientifique, en faveur notamment du libre accès, la Fondation contribue à la diffusion d’idées nouvelles et au dialogue entre les communautés scientifiques.

 1/ plateforme Canal-U
La plateforme propose des ressources pédagogiques et scientifiques à l’attention des enseignants, chercheurs et étudiants, en complément des cursus d’enseignement, et, plus largement, à l’attention du grand public, pour une formation tout au long de la vie.
http://www.fmsh.fr/en/dissemination-ok-knowledge/27897
With over 25,000 videos and more than 4,5 ,000,000 visits per year, Canal-U is the most-visited French scientific audiovisual platform. It offers a wide range of opportunities to publicise, share, disseminate and link up audiovisual productions.  It has 15,000 lectures, 4,000 documentaries and reports, 4,000 courses and educational clips by over 150 contributors (universities, research bodies, museums, etc.).
The Canal-U project was launched in 2001 by the Ministry of Higher Education and Research, with support from the academic and scientific communities, and is being developed by FMSH in conjunction with the ministry.
A dissemination platform open to all institutions
Canal-U offers multiple possibilities for enhancing, sharing, disseminating and linking audiovisual productions.
The platform is aimed at students, teachers and researchers on two axes:
    Provide teaching skills resources in addition to teaching courses;
    Accompany the evolution of the French university by developing the use of the information and communication technologies in higher education.
Do you have videos you want to disseminate?
If you are a higher education establishment, research centre or voluntary organisation, you can put your videos online through Canal-U.tv
Contact
Publication director, Michel Wieviorka,
Project Manager: Damien Poïvet
Responsible for the management of audiovisual resources: Anne-Claire Delaunay 

2/ FMSH éditions

Publishing the human and social sciences: quality and openness

Since 1970, the FMSH Editions has been developing an original catalogue in the human and social sciences, which brings together high-level scientific publications.

With more than 1,000 titles, 6 collections, 7 journals, the Editions are the expression of the Foundation's scientific policy.

FMSH Editions follows an ambitious policy which combines editorial quality with the invention of new models of dissemination. It requires to borrow innovatives and complementary ways.
6 collections

3 flagship collections: «54», «Interventions», «Le (bien) commun »

3 collections in duration: « Ethnologie de la France », « Bibliothèque allemande », « Documents d'archéologie française »
7 journals
The journals constitute a multidisciplinary catalogue. They disseminate the results of the research in human and social sciences to the greatest number. Both available in print and digital versions, the journals follow an innovative editorial policy.
Multichannel broadcasting
The digital is at the heart of the Edition’s priorities. The technological choices make it possible to guarantee the filing of funds, to reuse the edited contents, but above all to disseminate them to multiple channels via infrastructures or digital platforms. The Editions have also made the choice of "open access" and work to offer the greatest number of medium on the web.

    The paper book available in bookshops;
    The digital book (pdf, e-pub) available on the Comptoir des presses d’universités ;
    The article or the book for free access available 
       on the platforms Revues.org and OpenEdition Books.

Contacts
Website: www.editions-msh.fr
Director of the Editions: Pascal Rouleau | +33 (0)1 40 48 64 40
Scientific press: Corine Le Carrer
Communication: Chloé Lepart

Site editions

www.editions-msh.fr
Exemple d'une collection
http://www.editions-msh.fr/collections/?collection_id=642
Exemple d'un livre
http://www.editions-msh.fr/livre/?GCOI=27351100192540
Penser le vivant
Édité par Laurence Dahan-Gaida, Christine Maillard, Gisèle Séginger, Laurence Talairach
Au-delà des connaissances scientifiques et en particulier des découvertes importantes pour la médecine (cellules, bactéries, molécules organiques, et plus tard ADN), le succès des sciences du vivant a provoqué la circulation de savoirs, d'images, de modèles de pensée vers d'autres disciplines, mais aussi la formulation de nouvelles interrogations sur le pouvoir de l’homme, sur ses interventions dans le domaine du vivant, sur son rapport à l’environnement, qui dépassent bien le cercle d’intérêt de la science elle-même, et encouragent de ce fait l’approche transdisciplinaire. La particularité de cet ouvrage est de montrer d’une part l’implication de l’imaginaire et de l’esthétique dans les discours scientifiques sur le vivant, et d’autre part la plasticité des savoirs du vivant ainsi que leur puissance modélisante qui expliquent leur diffusion dans le champ des sciences humaines.
Éditeur Éditions de la Maison des sciences de l'homme, Paris
Support Livre broché
Nb de pages 300 p.
ISBN-10 2735123839
ISBN-13 9782735123834

Les commandes en ligne se font via le site du comptoir des presses d'universités (http://lcdpu.fr).

exemple livre papier et pdf:
http://www.editions-msh.fr/livre/?GCOI=27351100399910
Radicalisation
Farhad Khosrokhavar

Les commandes en ligne se font via le site du comptoir des presses d'universités (lcdpu.fr).
Livre broché - 12,00 €
PDF (PDF) - 7,99 € DRM - Aucun
Ce n'est qu'après les attentats du 11 septembre aux États-Unis que la radicalisation, active de tout temps, a connu son heure de gloire dans les analyses des sciences sociales mais aussi, des organismes de sécurité des différents pays. Dans le monde anglo-saxon, le nombre d'ouvrages et d'articles qui lui sont consacrés se compte par milliers. En France pour des raisons idéologiques la notion est plutôt marginalisée. Qui se radicalise et pour quelle raison ? Quelle est la place de l'idéologie, mais aussi de la situation sociale et politique des individus dans cette attitude faite d'inflexibilité, de violence et de guerre totale contre la société ?
L'ouvrage suit les méandres de ce phénomène en se concentrant sur l'islam radical, tout en soulignant que ce n'est pas le seul registre qui combine l'action violente et une vision idéologique extrémiste.
L'ouvrage propose une interprétation des phénomènes de radicalisation jihadiste en Europe et dans le monde arabe et se conclut sur une analyse d'un nouveau type de radicalisation, celui qui résulte de l'afflux des jeunes Européens vers la Syrie.
Édition Première édition
Éditeur Éditions de la Maison des sciences de l'homme, Paris

Support Livre broché
Nb de pages 192 p. Bibliographie .
ISBN-10 2-7351-1756-1
ISBN-13 978-2-7351-1756-7
GTIN13 (EAN13) 9782735117567
Support PDF
Nb de pages 192 p. Bibliographie .
ISBN-10 2-7351-2042-2
ISBN-13 978-2-7351-2042-0
GTIN13 (EAN13) 9782735120420

les éditeurs

La majorité des éditeurs présents sur ce site sont liés à des universités ou des institutions scientifiques. Toutes ces structures contribuent aux missions de diffusion et de valorisation des savoirs confiées aux établissements de l'enseignement supérieur et de la recherche.

Les liens ci-dessous mènent à la présentation de leurs catalogues respectifs sur lcdpu.fr.
 Les liens ci-dessous mènent à la présentation de leurs catalogues respectifs sur lcdpu.fr.

Ref
http://www.lcdpu.fr/editeurs/

Rapports d'activité fmsh

http://www.fmsh.fr/fr/la-fondation/27926

Wednesday, July 26, 2017

liseuses et évolution des marchés en 2017; workflow d'amazon pour la publication électronique/papier

Introduction

L'histoire de cette version "4" (6 pouces et WiFi; sept 2012) de Kindle qui était en promo à 59 euros au lieu de 79 euros, avec une livraison gratuite. L'écran tactile viendra après.
https://www.amazon.fr/gp/product/B007HCCOD0/
Écran Écran 6 pouces (diagonale visible de 15 cm), affichage encre électronique E Ink Pearl, technologie optimisée d'affichage de polices, 167 dpi, 16 niveaux de gris.
Dimensions 166 mm x 114 mm x 8,7 mm
Poids 170 grammes
Configuration Aucune, l'appareil est sans fil. Il n'y a pas besoin d'ordinateur pour télécharger du contenu.
Stockage sur l'appareil Jusqu'à 1 400 ebooks ou 2 Go (environ 1,25 Go disponible pour les contenus de l'utilisateur, y compris des fichiers word qu'il faut passer via sa messagerie amazon).
Stockage dans le Cloud Stockage gratuit dans le Cloud pour tout le contenu Amazon.
 
Autonomie de la batterie Une seule charge de batterie dure jusqu'à un mois avec la connexion sans fil désactivée, à raison d'une demi-heure de lecture par jour. Avec la connexion sans fil activée en permanence, la batterie dure jusqu'à 3 semaines. L'autonomie de la batterie variera en fonction de l'utilisation de la connexion sans fil, comme l'achat dans la boutique Kindle, les recherches sur internet, et le téléchargement de contenus.
Temps de charge Charge complète en 3 heures environ en connectant à un ordinateur le câble USB 2.0 (inclus dans la boîte du Kindle). Le chargeur secteur pour la France est vendu séparément.
 
Connexion Wi-Fi L'appareil se connecte aux réseaux Wi-Fi publics et privés ainsi qu'aux points d'accès qui utilisent les standards 802.11b, 802.11g, ou 802.11n ; avec sécurité WEP, WPA et WPA2 qui nécessitent un mot de passe. Il ne se connecte pas aux réseaux sécurisés WPA et WPA2 utilisant les méthodes d'identification 802.1X.  
Formats de contenus pris en charge Kindle Format 8 (AZW3), Kindle (AZW), TXT, PDF, MOBI non protégé, PRC natif ; HTML, DOC, DOCX, JPEG, GIF, PNG, BMP converti.

Les liseuses

Les liseuses ont peu évolué depuis leur apparition il y a dix ans et les fabricants peinent à convaincre les lecteurs de se rééquiper.
Près de dix ans après l'arrivée des premiers modèles de liseuses électroniques, l'enthousiasme n'est pas franchement de mise pour les quelques constructeurs qui se partagent le marché. En France, les ventes ne progressent plus vraiment, et depuis longtemps. Quelque 400.000 exemplaires sont écoulés bon an mal an.
Aucun acteur ne communique ses chiffres de vente, mais Amazon et Kobo se partagent l'essentiel du marché. « Nous sommes au coude-à-coude, avec une part de marché autour de 45 % chacun ", assure Fabian Gumucio, directeur marketing Europe du Sud de Kobo. Derrière suit le français Bookeen dont les produits sont distribués, parfois en marque blanche, chez Carrefour, Leclerc ou Relay.
Signe que le marché n'est pas à la fête, le japonais Sony, tout premier à avoir commercialisé une liseuse, dès 2004, s'est retiré de la compétition en 2014. Et, en octobre 2015, la plus grande chaîne de librairies britannique, Waterstones, a retiré les Kindle des rayons de ses 280 magasins, à peine trois ans après les avoir introduits, décrivant les ventes comme « désolantes ".

Pas vraiment de rupture

En réalité, « les liseuses sont surtout achetées par les très gros lecteurs. C'est un marché de niche ", explique Michaël Dahan, le PDG fondateur de Bookeen. Et ce marché est relativement saturé. Reste le renouvellement du parc, mais - malheureusement pour les constructeurs - les appareils vieillissent plutôt bien. En moyenne, les utilisateurs ne changent de liseuse que tous les trois à cinq ans. « C'est un produit simple, avec un côté affectif qui n'est pas négligeable, explique Michaël Dahan. Et il n'y a pas vraiment eu de rupture technologique. "
La principale innovation remonte à 2012 avec l'arrivée de l'éclairage intégré sur le Kobo Glo, qui permet de lire dans l'obscurité. C'est d'ailleurs ce qui sépare aujourd'hui l'entrée de gamme, entre 70 et 90 euros, des produits plus évolués, entre 130 et 200 euros. Depuis, Kobo a introduit un modèle pour lire dans son bain. Bookeen, de son côté, commercialisera bientôt un appareil muni d'un étui pour recharger la batterie à l'énergie solaire. Autant de petits plus pour le lecteur. Mais le coeur du produit n'a pas vu d'amélioration significative ces dernières années et n'en verra sans doute pas de sitôt.
L'arrivée de la couleur, notamment, qui permettrait de lire magazines et bandes dessinées numériques, ne figure pas à l'agenda des constructeurs, car incompatible avec la technologie actuelle de l'encre électronique utilisée dans les liseuses. Et, côté prix, Amazon a toujours été très clair : la société ne gagne pas d'argent sur les liseuses. Difficile dans ces conditions pour la concurrence de se différencier par les prix. « Tout le monde a été obligé de suivre », reconnaît Fabian Gumucio. Et de porter le fer sur les contenus, le seul véritable nerf de la guerre.

Ref


https://www.lesechos.fr/14/04/2016/LesEchos/22171-085-ECH_sur-un-marche-francais-des-liseuses-en-berne--les-marges-restent-inexistantes-faute-d-innovation.htm

Nouveautés en juin  2017

Deux distributeurs s'apprêtent à sortir des liseuses " newlook " au mois de mai. Le choix de la date n'a rien du hasard : elles sont destinées à équiper les vacanciers qui souhaitent lire sur les plages. Kobo présente le 2 mai un nouveau modèle étanche sans lumière bleue qui ne devrait donc pas perturber le fonctionnement de la mélatonine pendant la nuit. Elle sera vendue par la Fnac Darty, Boulanger, CD-Discount... De son côté, Carrefour prévoit de lancer une liseuse en marque blanche avec une offre de contenus. Elle sera fabriquée par Bookeen. Mais l'arrivée de ces nouveaux modèles ne peut pas faire oublier la réalité économique. La liseuse a du mal à décoller. Après un pic dans les années 2012 -2013, les ventes sont retombées. En France, les constructeurs rechignent à donner des chiffres mais les ventes sont en dessous de 500.000 par an. " La liseuse n'est qu'un élément de la chaîne du livre numérique, explique Michael Dahan, président de Bookeen, elle permet de vendre des e-books. On ne peut pas se contenter de mesurer le nombre de liseuses vendues. Ce sont de gros lecteurs qui achètent les liseuses et ils les gardent longtemps. "

Les deux groupes ont donc misé sur des appareils adaptés à des situations de lecture particulière. Kobo affirme que son nouveau modèle, la liseuse Aura H20, est étanche jusqu’à 60 minutes dans 2 mètres d’eau. On peut donc lire dans son bain ou sur la plage sans trop craindre les éclaboussures ou, pire, de la faire tomber dans l’eau. Elle peut contenir 6.000 livres numériques et l’autonomie de la batterie, selon le constructeur, atteint plusieurs semaines. Carrefour n’a pas souhaité donner d’indication sur le modèle qu’il prépare. Mais il est possible que Carrefour commercialise une liseuse équipée d’une feuille photovoltaïque. Cette dernière permettra de recharger la liseuse à l’énergie solaire, sans batterie ni câble.

Un marché concentré

Le marché de la liseuse s’est concentré. Deux acteurs mondiaux dominent le marché : Amazon avec les diverses déclinaisons du Kindle et Rakuten avec Kobo.
Les deux groupes sont des sites de commerce en ligne pour qui la liseuse est un produit d’appel. 
Le groupe japonais Rakuten est connu en France pour avoir racheté Price Minister en 2010 et Kobo en 2011. Il revendique 17 millions d’utilisateurs dans l’hexagone.
Deux autres acteurs de taille plus modeste, Bookeen et TEA, font concurrence aux deux mastodontes. Bookeen commercialise des liseuses sous son nom mais fabrique aussi des liseuses que la grande distribution vend en marque blanche. C’est ainsi que Carrefour commercialise des liseuses sous la marque « Nolim by Carrefour », fabriquée par Bookeen. TEA (The Ebook Alternative), lancé par le libraire Guillaume Decitre, est distribué dans les librairies et sur le site du groupe mais aussi par les acteurs de la grande distribution. Mais tous les constructeurs reconnaissent que le taux de renouvellement des liseuses est faible. Il n’y a pas la même course à l’innovation que sur les téléphones mobiles, si bien que les consommateurs les gardent plusieurs années avant de les changer.

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https://www.challenges.fr/high-tech/la-liseuse-n-a-pas-dit-son-dernier-mot_470701

Kindle Direct Publishing KDP

Publiez, sans frais, des ebooks et livres brochés en autoédition via Kindle Direct Publishing et touchez des millions de lecteurs sur Amazon.
Tout de suite sur le marché. La publication prend moins de 5 minutes et votre livre apparaît dans les boutiques Kindle du monde entier dans les 24 à 48 heures.
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Mettez en forme votre manuscrit.
https://kdp.amazon.com/fr_FR/help/topic/A17W8UM0MMSQX6
Si vous avez besoin d’aide pour la mise en forme, consultez nos outils et ressources.
https://kdp.amazon.com/fr_FR/help/topic/A3IWA2TQYMZ5J6

Word est un excellent outil car il permet de réaliser très facilement la mise en forme. Nous vous conseillons donc d’écrire votre livre dans Word ou de convertir un fichier source existant au format Word (DOC ou DOCX) avant de continuer. Voici quelques conseils pour améliorer la présentation de votre ebook :

Format de fichier : enregistrez votre contenu au format DOC ou DOCX et sauvegardez régulièrement votre travail afin de vous assurer que toutes vos modifications seront conservées.

Tableaux : si vous devez intégrer des tableaux à votre livre, utilisez la fonctionnalité « Insérer un tableau » de Word.

Mise en page : vous pouvez utiliser les retraits par défaut de Word, des caractères gras ou italiques ainsi que des titres. En revanche, les polices spéciales, les en-têtes et les pieds de page ne sont pas convertis au format Kindle. Veillez donc à les éviter.

Pour offrir une navigation facile au sein de votre livre, nous vous conseillons de créer une table des matières active. En effet, le contenu Kindle peut être redimensionné, si bien que les numéros de page ne sont pas vraiment exploitables.

  • Sur PC, vous pouvez utiliser l’outil intégré dans Word pour créer la table des matières (en savoir plus: https://kdp.amazon.com/fr_FR/help/topic/A1JMIOQ2RP4DPK).
  • Sur un Mac, vous devez créer une table des matières manuellement à l’aide des fonctions Lien hypertexte et Signet.


Dès lors que vous avez inséré tous les sauts de page et que vous êtes satisfait de la disposition de votre livre, enregistrez le fichier Word dans le dossier Documents ou sur le Bureau au format Page Web, filtrée (*HTM et *HTML) (PC) ou Page Web (.htm) (Mac). Ce format est obligatoire pour créer un ebook correct.

Quand vous enregistrez le fichier Word au format HTML, toutes les images présentes dans le document (s’il y en a) sont extraites et stockées dans un dossier distinct. Ce dossier apparaît au même emplacement que le fichier HTML.

Une fois que vous êtes satisfait de la qualité et de la présentation de votre livre, chargez le fichier dans votre Bibliothèque KDP, puis effectuez la procédure de publication.

À partir du moment où vous avez cliqué sur « Enregistrer et publier », il faut compter environ 24 heures pour que le livre soit mis en vente dans la boutique Kindle. Les autres caractéristiques du livre, comme la description et les liens vers les éditions papier associées, sont présentées sur la page produit sous 48 à 72 heures.

Kindle Textbook Creator 

version 1.13.7.0 du 7 sept 2016, testé sur mac Sierra.
Il est multilingue:



Kindle Textbook Creator est un outil téléchargeable qui vous permet de convertir des PDF de livres comprenant du contenu multimédia enrichi en vue de leur publication sur les appareils et applications Kindle. Avec Kindle Textbook Creator, vous pouvez plus facilement travailler sur vos manuels, livres de cuisine, carnets de voyages et autres livres contenant de nombreux éléments multimédias tels que :
  • Tableaux
  • Graphiques
  • Équations
  • Pistes audio
  • Vidéos
  • Pop-ups d’images
  • Fichiers audio intégrés
  • Boutons de lecture audio invisibles placés en superposition

Vous pouvez utiliser n’importe quel fichier PDF pour ajouter des pages à votre livre.
Kindle Textbook Creator accepte les fichiers d’origine d’une ou plusieurs pages au format .pdf.

Avant d’importer votre PDF, vérifiez qu’il comporte des signets pour chaque entrée de la table des matières. Lorsque vous avez chargé votre livre finalisé sur KDP, Amazon convertit ces signets pour créer la table des matières électronique qui permettra aux lecteurs de naviguer au sein de votre livre.

Vous pouvez ajouter des sons, vidéos et images en pop-up à votre manuel sous la forme d’icônes ou de liens hypertextes.
Voici les types de fichier pris en charge par Kindle Textbook Creator :
Vidéo : .mp4
Audio : .mp3
Image : .jpg, .jpeg ou .png

Format d’exportation
Kindle Textbook Creator exporte le livre terminé en .kpf (Kindle Package Format) afin que vous puissiez le charger sur Kindle Direct Publishing (KDP) et le proposer ainsi aux clients.
les livres créés avec Kindle Textbook Creator peuvent uniquement être chargés sur KDP ; à l’heure actuelle, ils ne sont pas compatibles avec Amazon Vendor Central.

Une fois votre livre publié, les lecteurs ont automatiquement accès aux fonctionnalités de lecture Kindle : surlignage, bloc-notes, fiches récapitulatives, dictionnaire...

Ref

https://kdp.amazon.com/fr_FR/

Thursday, July 20, 2017

HUB text/PAO une syntaxe pour différentes cibles input et output (backends, targets ou writers), de manière à obtenir du HTML du LaTeX, page de man: pandoc


hexadécimal

Au départ si on a que du texte sans mise en forme, on peut écrire en hexadécimal comme dans ma jeunesse des années 70 (en ASCII ou étendue pour les caractères français par exemple). Il suffisait de connaitre par coeur la table ASCII de 128 correspondances qui est une norme informatique de codage de caractères des années 60. Et tout cela avec un clavier de 0-9 et A-F soit 16 touches (même pas une touche carriage return  car c'est le code #D ni même une touche espace car c'est #20)!
http://ascii.cl/
Et pour l'histoire:
https://fr.wikipedia.org/wiki/American_Standard_Code_for_Information_Interchange

C'était clair, il y avait celui qui tapait ses idées au kilomètre puis celui qui mettait en forme.

que du text mis en forme (et un peu de "PAO") et comparaison des softs

Si on a que text (par exemple ASCII ou UTF-8) c'est assez simple.
Avec du balisage léger et des transcodeurs, on a du Hub-text.
voir une liste partielle des output formats:
https://en.wikipedia.org/wiki/Lightweight_markup_language

https://en.wikipedia.org/wiki/Comparison_of_document_markup_languages

https://en.wikipedia.org/wiki/Comparison_of_documentation_generators
(and  programming languages).
example: ROBODoc is a documentation tool similar to Javadoc and licensed under the GPL. It is used to extract API documentation from source code. It can be used with any language that supports comments and works by extracting specially formatted headers. These are then reformatted into HTML, DocBook, TROFF, ASCII, LaTeX, PDF, or RTF.
It can be used to document any programming artifact, such as: classes, functions, tests, makefile entries, etc.
ROBODoc works with C, C++, Fortran, Perl, shell scripts, Assembler, DCL, DB/C, Tcl/Tk, Forth, Lisp, COBOL, Occam, Basic, HTML, Clarion, and any other language that supports comments.
https://en.wikipedia.org/wiki/ROBODoc


Une analyse que je partage

Comparaison des langages de balisage (markup) léger (lightweight) : Txt2tags, Pandoc, Docutils, AsciiDoc, Deplate, Stx2any, AFT, Markdown et Textile:
http://fgallaire.flext.net/comparaison-langage-balisage-markup-lightweight-leger-txt2tags-pandoc-docutils-asciidoc-deplate-stx2any-aft-markdown-textile/

La bureautique est la principale utilisation de l’informatique depuis sa création. Pourtant, les outils majoritairement utilisés dans ce domaine, les logiciels de traitement de texte WYSIWYG comme LibreOffice ou MS word, laissent la majorité des informaticiens et des ergonomes totalement désespérés.
Ces logiciels ont en effet un nombre de défauts très important : ils font se concentrer sur la forme et non sur le fond, leur résultat final ne correspond souvent pas à ce qui est affiché, ils sont incompatibles entre eux, ce sont d’énormes usines à gaz, ils ne fonctionnent qu’en mode graphique, etc.

Il a donc fallu penser à une manière de donner ces instructions de mise en forme au sein du fichier texte lui-même, et c’est ainsi que sont apparus les langages de balisage (markup), dont les plus connus sont HTML (inventé en 1991 par Tim Berners-Lee) et LaTeX (créé en 1985, et basé sur TeX, inventé par le grand Donald Knuth en 1977), et dont la première grande figure fut Roff, un programme Unix historique développé à partir de 1961, et dont la version GNU, Groff, est installée par défaut sur toutes les distributions GNU/Linux, puisqu’on l’utilise encore pour les pages de man des logiciels.

Ces langages représentent une nette amélioration, mais ont tous un gros problème : ils sont gênants ! On ne retrouve plus aussi facilement son contenu au milieu de toutes ces balises supplémentaires, sans parler du fait que les syntaxes complexes ouvrent la voie à de nombreuses erreurs de compilation.

C’est en 1995 que l’on trouva la solution de ce problème, avec la création du premier langage Wiki, dont le but principal était de permettre l’édition facile de pages web par tout un chacun, et dont l’utilisateur actuel le plus célèbre est l’encyclopédie libre Wikipédia. S’il y a presque autant de syntaxes différentes que de logiciels Wiki, elles ont toutes la caractéristique d’utiliser des caractères textuels simples et intuitifs pour donner les indications de formatage du texte.
http://www.wikicreole.org/wiki/Reasoning

https://www.mediawiki.org/wiki/Help:Formatting
https://fr.wikipedia.org/wiki/Aide:Syntaxe_(wikicode)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Aide:Ins%C3%A9rer_un_tableau_(wikicode,_avanc%C3%A9)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Mod%C3%A8le:BUtilisateur
https://www.mediawiki.org/wiki/MediaWiki/fr

J'ai toujours aimé le principe du "folding editor".
le premier fut STET  'STructured Editing Tool' de 1977
https://en.wikipedia.org/wiki/STET_(text_editor)
A folding editor is a text editor which supports text folding or code folding, a mechanism allowing the user to hide and reveal blocks of text—usually named. Typically this is done to allow the user to better picture the overall structure of a document or program.
Folding is provided by many modern text editors, and syntax-based or semantics-based folding is now a component of many software development environments...
https://en.wikipedia.org/wiki/Folding_editor


Mais pourquoi limiter ces langages de balisage léger à la seule génération de HTML ? Pourquoi ne pas utiliser la même syntaxe pour différentes cibles (appelées backends, targets ou writers selon les logiciels), de manière à obtenir aussi bien une page web en HTML, qu’un document en LaTeX pour l’impression, ou qu’une page de man pour un logiciel ? Ce sont les logiciels qui poursuivent ce but qui m’intéressent, ils constituent pour moi l’avenir de la bureautique informatique, et j’ai été amené à les comparer pour en choisir un dans lequel m’investir comme développeur.

Trois d’entre eux, Docutils, Deplate et Pandoc, ont un design évolué, avec une machine à états finis pour laquelle on peut écrire de nouveaux readers et writers de manière parfaitement propre. Cependant, malgré leurs grandes qualités, Deplate est un projet trop confidentiel (ainsi il n’est incompréhensiblement pas présent parmi les pourtant si nombreux paquets Debian), et je ne me sentais pas à la hauteur pour m’investir dans un projet comme Pandoc, totalement écrit en Haskell, qui est un langage de programmation complexe que j’aimerais beaucoup utiliser.
Je détaillerai Pandoc ci-dessous.

Txt2tags

J’ai rajouté dans ce comparatif Markdown et Textile, puisqu’ils ont chacun une implémentation en Python, mais ne générant que du HTML, ils ne m’intéressaient pas vraiment. AsciiDoc et Txt2tags ont un peu la même architecture, avec un gros fichier principal faisant tout le travail, que l’on peut configurer, respectivement avec un fichier .conf et deux dictionnaires Python (un pour les Tags et l’autre pour les Rules), pour créer de nouvelles cibles. AsciiDoc et Txt2tags sont donc plus aisés à prendre en main et à modifier rapidement que Docutils, qui est une très belle et très bien architecturée machine à états objet, mais aussi plus difficile à appréhender.
De plus, comme je désapprouvais totalement la politique de licence domaine publique de Docutils, il ne me restait plus qu’à faire mon choix entre Txt2tags et AsciiDoc. C’est principalement l’orientation très DocBook (un format ne m’intéressant personnellement pas du tout) d’AsciiDoc, et d’autres détails, comme la localisation en de nombreuses langues de Txt2tags et sa plus grande simplicité, qui m’ont finalement fait choisir Txt2tags.

Ce choix est confirmé par une étude plus avancée des différentes syntaxes. Ainsi alors que la syntaxe reST de Docutils ne dispose que de :

*italique* et **gras**

Txt2tags est beaucoup plus riche :

//italique// **gras** __souligné__ et --barré--

Le codage visuel est bien meilleur, et le compréhension instantanée avec la syntaxe de Txt2tags, puisque les slashs donnent l’impression penchée de l’italique, les étoiles imitent la surcharge du gras, les underscores donnent l’impression de soulignement, et les moins apparaissent comme une barre. De plus, l’utilisation généralisée des caractères de balisage en doubles, permet de lever à peu de frais un maximum d’ambiguïtés syntaxiques.

insertion d'une image est beaucoup plus simple Txt2tags
[[picture.png] http://fgallaire.flext.net]

Leur implémentation en Python permet à Txt2tags, reST (par Docutils) et AsciiDoc d’être utilisables à la fois comme logiciels de bureautique multiplateforme (Linux, Mac OS X, Windows et *BSD) et pour le web côté serveur. Depuis 2012, une implémentation de txt2tags en PHP est disponible, développée par Petko Yotov (le mainteneur et principal développeur de PmWiki) et sponsorisée par Eric Forgeot. Grâce aux nombreux efforts de ce dernier, il existe maintenant plusieurs implémentations de la syntaxe Txt2tags en JavaScript, avec une démo parfaitement fonctionnelle des possibilités de rendu côté client en temps réel. Et Matthew Pickering a quant à lui écrit un reader Txt2tags pour Pandoc.
En face, Markdown est représenté par une armada d’implémentations dans tous les langages utilisés sur le web côté serveur, et aussi en JavaScript côté client pour des prévisualisations efficaces sans Ajax, mais seul Pandoc, qui n’est pas si facile à compiler sur toutes les plateformes, propose autre chose qu’un rendu en HTML.
Je vais bien sûr continuer à travailler sur le logiciel Txt2tags, mais une implémentation de la syntaxe Txt2tags dans un parser Docutils, pour toucher directement toute la communauté des développeurs Python qui documentent leurs projets, et pouvoir bénéficier ensuite du sublime Sphinx, est un projet qui me motive de plus en plus.
Enfin, je suis toujours un peu nostalgique devant ce screenshot, parce que c’est en le voyant, avec en haut à gauche le fichier avec les balises, et en bas à droite celui avec le résultat texte brut, que j’ai pris conscience que Txt2tags faisait bien ce que j’espérais, et que comme en plus il était en Python, ce serait probablement le logiciel auquel j’allais contribuer !

Pandoc

Pandoc is a command-line tool. There is no graphic user interface. 
Pandoc is a Haskell library for converting from one markup format to another, and a command-line tool that uses this library. It can read MarkdownCommonMarkPHP Markdown ExtraGitHub-Flavored MarkdownMultiMarkdown, and (subsets of) TextilereStructuredTextHTMLLaTeXMediaWiki markupTWiki markupHaddock markupOPMLEmacs Org modeDocBookMusetxt2tagsVimwikiEPUBODT, and Word docx; and it can write plain text, MarkdownCommonMarkPHP Markdown ExtraGitHub-Flavored MarkdownMultiMarkdownreStructuredTextXHTMLHTML5LaTeX (including beamer slide shows), ConTeXtRTFOPMLDocBookOpenDocumentODTWord docxGNU TexinfoMediaWiki markupDokuWiki markupZimWiki markupHaddock markupEPUB (v2 or v3), FictionBook2Textilegroff man, [groff ms], Emacs Org modeAsciiDocInDesign ICMLTEI SimpleMuse and SlidySlideousDZSlidesreveal.js or S5 HTML slide shows. It can also produce PDF output on systems where LaTeX, ConTeXt, pdfroff, or wkhtmltopdf is installed.
Pandoc's enhanced version of Markdown includes syntax for footnotestables, flexible ordered listsdefinition listsfenced code blockssuperscripts and subscriptsstrikeoutmetadata blocks, automatic tables of contents, embedded LaTeX mathcitations, and [Markdown inside HTML block elements][Extension: markdown_in_html_blocks]. (These enhancements, described further under Pandoc's Markdown, can be disabled using the markdown_strict input or output format.)
In contrast to most existing tools for converting Markdown to HTML, which use regex substitutions, pandoc has a modular design: it consists of a set of readers, which parse text in a given format and produce a native representation of the document, and a set of writers, which convert this native representation into a target format. Thus, adding an input or output format requires only adding a reader or writer.
Because pandoc's intermediate representation of a document is less expressive than many of the formats it converts between, one should not expect perfect conversions between every format and every other. Pandoc attempts to preserve the structural elements of a document, but not formatting details such as margin size. And some document elements, such as complex tables, may not fit into pandoc's simple document model. While conversions from pandoc's Markdown to all formats aspire to be perfect, conversions from formats more expressive than pandoc's Markdown can be expected to be lossy.
This document is for people who are unfamiliar with command line tools. Command-line experts can go straight to the User’s Guide or the pandoc man page:

Modules 

In contrast to most existing tools for converting Markdown to HTML, pandoc has a modular design: it consists of a set of readers, which parse text in a given format and produce a native representation of the document, and a set of writers, which convert this native representation into a target format. Thus, adding an input or output format requires only adding a reader or writer.

Ref.

Pandoc’s enhanced version of Markdown 

Pandoc’s enhanced version of Markdown includes syntax for footnotes, tables, flexible ordered lists, definition lists, fenced code blocks, superscripts and subscripts, strikeout, metadata blocks, automatic tables of contents, embedded LaTeX math, citations, and Markdown inside HTML block elements. (These enhancements, described further under Pandoc’s Markdown, can be disabled using the markdown_strict input or output format.)

Tricks

you have a long markdown file in GitHub and want to have a TOC, you can use 
pandoc -t markdown_github --toc -o example-with-toc.md example.md

Using Markdown Templates

Math in Pure Markdown