et à venir, le Brompton, ci-dessous:
Introduction
La batterie du vélo à assistance électrique n'envoie son énergie au moteur que pour amplifier le mouvement du pédalier. Il s'agit donc d'une assistance discrète et limitée ne dénaturant pas la fonction première du vélo, ni son maniement. Un vélo électrique dont l'assistance se déclencherait sans que l'on pédale est considéré en Europe comme un scooter et est soumis à des contraintes réglementaires plus importantes : en France, un tel véhicule doit être assuré et nécessite le port du casque.
Le VAE se décline en trois types de véhicule (« Péd » de pédale et « élec » d'électricité) :
- le Pédélec dont la vitesse est limitée à 25 km/h
- le Pédélec rapide, appelé aussi S-Pedelec (Speed Pedelec), dont la vitesse est limitée à 45 km/h
- le Pédélec de course, appelé aussi R-Pedelec (Race Pedelec), dont la vitesse est limitée à 75 km/h.
La Directive européenne 92/61/EEC indique qu'un VAE doit notamment respecter les caractéristiques suivantes :
- assistance uniquement au pédalage ;
- l'assistance se coupe au-dessus de 25 km/h ;
- moteur d'une puissance inférieure à 250 W (puissance nominale continue).
En 2015, apparaît Alpha, le premier VAE fonctionnant à l'hydrogène et fabriqué en série. Ce vélo français se recharge en cinq minutes ; son autonomie est d'environ 80 km.
Un contrôleur intègre les paramètres qui qualifient le comportement du vélo en fonction du profil utilisateur choisi par le constructeur. Il régule la consommation de courant et pilote le moteur dans ses différentes phases de fonctionnement : démarrage, régime continu, accélération, etc. à partir des informations transmises par les capteurs.
L'utilisateur dispose, suivant les modèles, de la possibilité de couper ou de doser le niveau d'assistance en roulant, par l'intermédiaire d'un sélecteur ou d'un « accélérateur ».
Sur certains vélos à moteur moyeux, la batterie se recharge automatiquement au freinage et en descente. La régénération apporte un confort au quotidien par l'apport d'un frein moteur.
L'assistance électrique est très efficace dans les montées, pour des pentes faibles et moyennes faisant jusqu'à 5 %. Au-delà, au vu de la relative faible puissance de l'assistance, on préfèrera un VAE à moteur pédalier. En effet les VAE dont le moteur est intégré au pédalier profitent du changement de vitesses pour garder une aptitude à monter des pentes plus raides (à faible vitesse) avec un développement adéquat. Ceci permet en outre de faire fonctionner le moteur à un régime compris dans sa plage de fonctionnement optimal du point de vue du rendement énergétique car le cycliste a une tendance naturelle à sélectionner une vitesse de manière à conserver un rythme de pédalage à peu près constant quel que soit l'effort à fournir.
Pédélec rapide
À noter que le VAE de type pédélec, dont la vitesse est limité à 25 km/h, mais dont la puissance est inférieure à 1 kW, est considéré comme un cyclomoteur (suivant le code de la route ; article R311-1, paragraphe 4.1.110).
Certains constructeurs commercialisent des VAE, dits « Pédélec rapide » ou « Pédélec de course », pouvant assister au pédalage jusqu'à 45 km/h ou 75 km/h. Dans ce cas, ils sont assimilés à des cyclomoteurs aux yeux du code de la route, avec les contraintes qui y sont liées :
- ne pouvant être utilisé qu'à partir de 14 ans avec le permis AM (ex. : BSR), mais sans aucun permis pour les personnes nées avant le 1er janvier 1988 ;
- port d'un casque moto homologué obligatoire ;
- muni des équipements obligatoires du cyclomoteur : feux avant et arrière, feux stop, totaliseur kilométrique et tachymètre, rétroviseur ;
- assurance obligatoire.
En raison des tarifs encore élevés (de 1 500 à plus de 4 000 €) et des contraintes décrites ci-dessus, le Pédélec rapide ne constitue pas, pour le moment, une réelle concurrence au traditionnel cyclomoteur. Cependant, certains conseils régionaux ou certaines municipalités, dont la ville de Paris, octroient des subventions pour l'achat de véhicules propres ; c'est le cas des vélos ou cyclos électriques.
Ref
https://fr.wikipedia.org/wiki/V%C3%A9lo_%C3%A0_assistance_%C3%A9lectrique
Arrêt subvention de 200€ au 31 janvier 2018
Le bonus de 200 euros pour l’achat de vélos à assistance électrique (VAE) a vécu.
Jeudi 28 septembre 2017, Gérald Darmanin, le ministre de l’action et des comptes publics, a annoncé son extinction au 31 janvier 2018, dans le cadre du projet de loi de finances. Un coup rude pour le monde du deux-roues électrifié. « C’est un mélange de surprise et d’incompréhension », confie Virgile Caillet, le délégué général de l’Union Sport et Cycle, la fédération des industriels.
« De la surprise, car nous n’avons été ni prévenus ni informés d’une possible évolution de cette mesure, détaille-t-il. De l’incompréhension, car cette décision prend le contre-pied de la politique prônée par le gouvernement. Comment faire l’éloge des mobilités douces, en pleines Assises de la mobilité, et promettre de remettre trois millions de Français à l’activité physique et les priver d’un financement qui pouvait les aider à s’y mettre ? »
Pis, observe Olivier Schneider, le président de la Fédération française des usagers de bicyclette (FUB), « j’aurais compris l’annonce d’une discussion autour d’un nouveau dispositif ou le lancement d’autres initiatives de remplacement, comme un financement des pistes cyclables, mais là, une décision budgétaire va nous priver d’une mesure qui était bonne pour la pratique saine du vélo. »
Le problème, c’est que le bonus lancé à la surprise générale le 16 février par Ségolène Royal, l’ancienne ministre de l’environnement, a trop bien fonctionné. Au 15 septembre, 150 000 personnes avaient demandé la prime, qui peut aller jusqu’à 200 euros, pour l’achat de leur VAE, dont
le prix moyen est de 1 018 euros. Et le ministère de la transition écologique et solidaire anticipe 100 000 demandes supplémentaires d’ici au 31 janvier.
Soit un coût budgétaire global de près de 50 millions d’euros.
Alors qu’il s’est vendu environ 138 000 vélos à assistance électrique en France en 2016 pour un marché de 3 millions de vélos (soit moins de 5 % des ventes), cette année, cela devrait dépasser largement le seuil de 200 000 unités.
« Depuis dix ans, le marché du vélo à assistance électrique croît en moyenne de 30 % par an, relève Jérôme Valentin, le patron de Cycleurope (marques Gitanes, Peugeot cycles, etc.) et coprésident de l’Union Sport et Cycle. Le bonus a permis d’accélérer les ventes pour rattraper notamment nos voisins comme l’Allemagne ou la Belgique, bien mieux équipés que nous. L’arrêter, c’est un non-sens. »
« Cela pourrait casser la dynamique actuelle, confirme Guillaume Caroni, le patron d’Altermove, un réseau de vente de vélos électriques. Cette prime a permis d’attirer des acheteurs dans nos magasins. »
En moyenne, le bonus de l’Etat aurait permis d’accélérer la croissance des ventes de 15 et 20 %. Pour le gouvernement, cela prouve qu’une aide publique nationale à l’achat n’est plus nécessaire, sachant que des collectivités locales proposent des aides similaires comme Paris, Lille ou Bordeaux.
Sachant que
40 % des vélos à assistance électrique sont fabriqués en France, l’arrêt du bonus va peser sur les industriels français. « Cet arrêt après à peine dix mois d’existence tranche avec les expériences d’autres pays, note Jérôme Valentin. Récemment, la Suède a annoncé la création d’une prime à l’achat d’un VAE qui sera proposée pendant trois ans, entre 2018-2021. Cela laisse aux industriels le temps de planifier leurs commandes et leur fabrication. »
« Début 2017, nous avons été surpris par la création du bonus, confirme Gregory Trébaol, le patron d’Easybike (marque Matra et Solex), qui produit en France. Faute de discussion en amont, nous n’avions pas pu anticiper la demande. Cet été, les stocks se sont rapidement vidés et nous avons lancé d’importantes commandes pour couvrir l’année à venir… Maintenant, nous risquons de nous retrouver avec des stocks après la fin du dispositif ! »
Entre les commandes des composants, dont certains viennent de Chine, et la mise en vente d’un vélo, il faut compter six mois, explique un industriel. Bref,
la gestion erratique du bonus français désorganise toute la filière, ce qui pèse également sur l’emploi.
« Cet été, j’ai recruté 60 intérimaires pour faire face à la forte croissance des ventes. Je vais devoir m’en séparer pour ralentir la production, car les perspectives de vente sont désormais bien moindres », reprend Jérôme Valentin, qui entend se battre pour obtenir le maintien d’une aide. Au ministère de la transition écologique et solidaire, on temporise : « Le vélo à assistance électrique fera partie des discussions des Assises de la mobilité. »
Ref
http://www.lemonde.fr/economie-francaise/article/2017/09/28/fin-de-la-prime-a-l-achat-pour-l-achat-d-un-velo-electrique_5192706_1656968.html
Le décret n°2017-196 du 16 février 2017
Le décret n°2017-196 du 16 février 2017, crée une aide d’un montant de 200 euros maximum pour l’acquisition d’un vélo à assistance électrique (codification : article D.251-2 du code de l’énergie).
Un vélo à assistance électrique (à pédalage assisté au sens de l’article R.311-1 du code de la route), est un cycle équipé d’un moteur auxiliaire électrique d’une puissance nominale continue maximale de 0,25 kilowatt, dont l’alimentation est réduite progressivement et finalement interrompue lorsque le véhicule atteint une vitesse de 25 km/ h, ou plus tôt si le cycliste arrête de pédaler.
Conditions d’attribution de la subvention
- elle est attribuée à toute personne majeure domiciliée en France,
- elle ne peut être versée qu’une seule fois à une personne physique, quel que soit le nombre de vélos à assistance électrique neufs qu’elle acquiert,
- elle est exclusive de toute autre aide, quelle qu’en soit la nature, allouée par une collectivité publique,
- seuls les vélos acquis à compter du 19 février 2017 peuvent faire l’objet d’une demande de subvention,
- l’acquisition doit avoir lieu au plus tard le 31 janvier 2018,
- le vélo doit être neuf et ne doit pas utiliser de batterie au plomb,
- le vélo ne doit pas être cédé par l’acquéreur dans l’année suivant son acquisition,
- en cas de non-respect de l’ensemble des conditions énoncées, le bénéficiaire est redevable de l’aide allouée.
Son montant est fixé à 20% du coût d’acquisition, hors options, toutes taxes comprises, et plafonné à 200 €. Donc il faut investir à l'optimum : 1000€ -200€-->800€.
A ce prix là, on a aussi un scooter ou une vieille moto d'occasion...
Ref
http://www.loire.gouv.fr/subvention-de-l-etat-pour-l-achat-d-un-velo-a-a5883.html
début 2016, exemple ST-Etienne 250€ de subvention
Certaines métropoles avaient commencé:
comme à St-Etienne:
Applicable du 1er janvier 2016 et arrêté au 01/05/2016, le montant de la subvention vélo électrique de 250 euros par foyer, quel que soit le prix du vélo acheté et sans aucune condition de ressources requise.
Les bénéficiaires doivent obligatoirement habiter dans l?une des 45 communes de Saint-Etienne Métropole et avoir réalisé leur achat chez un vélociste situé sur le territoire.
Pour demander votre prime à l'achat d'un vélo électrique à Saint-Etienne Métropole, vous devez retirer un dossier :
- soit auprès de l?accueil de la Direction des Transports et Mobilité au siège de Saint-Etienne Métropole
- soit à l'agence VéliVert située à la gare de Châteaucreux.
Le retrait des dossiers se fait uniquement aux guichets, aucun envoi ne sera effectué ni par voie postale ni par mail.
Ref
http://www.ebike-generation.com/subvention-velo-electrique/saint-etienne-metropole/
Choix du vélo
qq grandeurs principales:
- le stock d'énergie (kJ) et/ou de charge (Coulomb ou A.h)
- la puissance watt, J/s;
- de manière moindre le voltage de la batterie
- la poids
- le nombre de vitesse
la techno avec par exemple:
L'assistance électrique est très efficace dans les montées, pour des pentes faibles et moyennes faisant jusqu'à 5 %. Au-delà, au vu de la relative faible puissance de l'assistance,
on préfèrera un VAE à moteur pédalier. En effet les VAE dont le moteur est intégré au pédalier profitent du changement de vitesses pour garder une aptitude à monter des pentes plus raides (à faible vitesse) avec un développement adéquat. Ceci permet en outre de faire fonctionner le moteur à un régime compris dans sa plage de fonctionnement optimal du point de vue du rendement énergétique car le cycliste a une tendance naturelle à sélectionner une vitesse de manière à conserver un rythme de pédalage à peu près constant quel que soit l'effort à fournir.
Certains s’interrogent encore sur les avantages et inconvénients d’un moteur placé dans la roue avant, la roue arrière ou le pédalier avant de choisir leur futur vélo électrique.
Les fabricants de VAE se sont eux clairement positionnés depuis 2010 en privilégiant son intégration directement dans le pédalier.
http://www.ecycle.fr/catalogue/velo-electrique-moteur-dans-le-pedalier/
Si on se limite à du pliant
alors qq choix
Vélo pliant électrique Gitane e-Nomad
https://www.cyclable.com/14252-gitane-e-nomad-velo-pliant-electrique.html
- 1500€
- 20kg
- TranzX roue arrière 36 V - 250 W
- TranzX 36 V - 6,8 Ah
- Shimano Altus 8 vitesses
- Roue 20"
- Pneus anti-crevaison Schwalbe Marathon
- Moteur roue arrière TranzX avec 45 Nm de couple
- Piage ultra-rapide en 10 à 15 secondes
- Fabriqué en France ou by France?
Vélo pliant électrique Brompton
Un vélo électrique pliant conçu avec la plus grande attention afin de ne pas modifier le brevet de pliage Brompton qui fait le succès de la marque depuis près de 40 ans. Après diverses réflexions, l'emplacement moteur optimal pour ce vélo a été validé sur le moyeu de roue avant. Un moteur électrique développé sur plusieurs en partenariat avec Williams Advanced Engineering (célébrissime pour ses performances technologiques en F1). Côté batterie, chez Brompton on a opté pour un modèle amovible en un tour de main qui utilise presque le même système de fixation à l'avant du cadre pour bagages.
Le Brompton électrique réussi son pari de proposer un modèle électrique fidèle aux légendaires avantages du Brompton original, à savoir sa facilité de pliage, son ergonomie et compacité. Le tout dans un poids très contenu, puisque ce vélo pliant électrique sera proposé autour de 16 à 17 kg, soit 4 à 5 kg de plus qu'un Brompton traditionnel avec la possibilité d'enlever rapidement la batterie pour une utilisation standard.
Moteur roue avant Williams 250 W, avec capteurs de couple et de cadence de pédalage pour un rendu fluide, efficace et silencieux.
Une batterie Lithium haute qualité de 300 Wh insérée dans un sac pour moins de 3 kg.
Livré avec chargeur standard de 2A (100% de charge en 5h) ou chargeur rapide 4A en option (100% de charge en 3h).
Le Brompton électrique sera disponible en France courant de l'été 2018 normalement à un prix en dessous de 3000 €.
17kg
250W
300 Wh
roue 16''
Vélo électrique pliant léger V’Lec Pocket
Avec seulement 10.7 kg pour un vélo pliant à assistance électrique (batterie incluse), c’est un argument de poids concernant son transport et sa manipulation. De plus, il offre un pliage simple, rapide et compact à la portée de tous.
Cadre aluminium avec batterie intégrée : Panasonic Lithium-ion 12 Ah & 24V
Mono vitesse, il permet de limiter l’entretien et d’éviter de dérailler
Pneus Schwalbe Marathon Racer pour le meilleur rendement avec une excellente protection contre les crevaisons.
- 1350€
- 10.7 kg
- Panasonic Lithium-ion 288W (24 V / 12 Ah )
- monovitesse
- Roue 16''
- Fabriqué en Chine; V'Lec est bien une marque française, design et conception en France, mais ces vélos sont fabriqués en Chine. Les selles et accessoires Bertoud présents sur le catalogue V’lec sont bien fabriqués en France.
Ref
https://www.cyclable.com/13663-velo-electrique-pliant-leger-vlec-pocket-.html
Non pliant et faible prix
attention les faibles prix=batterie au plomb-gel
ne prendre que lithium
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700€
Poids :
25,6 kg.
Eclairage LED 10 lux intégré au cadre pour voir à 30m et être vu à 150m à l'arrière.
Roues 28 pouces à jante double paroi pour la solidité, rayonnée à 36 rayons.
Moteur brushless 250 watts monté sur la roue arrière.
Couple moteur : 26 Nm.
Batterie
24 volts / 8,8 Ah. Garantie 2 ans (de 350 à 500 cycles de charges à 100%). Eléments Samsung très stables.
L'ensemble est commandé par un tableau de bord LED avec 3 modes + 1 mode "walk" permettant de faire avancer le vélo en marchant à côté.
Shimano 6 vitesses en poignée tournante. Fonctionnement facile, pédalier mono plateau. Dérailleur Shimano.
Cadre en acier surbaissé pour un enjambement facile.
L'acier confère au vélo une grande solidité.
https://www.decathlon.fr/velo-electrique-elops-500-e-id_8379379.html
550€
24 Kg avec batterie
Cadre : acier
Fourche : Rigide acier
Jantes : Aluminium 26 "
Transmission : Dérailleur Shimano Tourney 7 vitesses, 3 niveaux d'asssitance
Freins : V-Brake AV et AR
Potence : Acier
Selle : Confort
Accessoires : garde-roue, carter de chaine, béquille, porte-bagage, éclairage avant et arrière
Batterie :
36 V/8.8 Ah, autonomie 30 à 50 Km selon le trajet
Moteur : 36 V/
250 W Bafang
Taille de cadre : 46 cm
https://www.cdiscount.com/le-sport/velos-tandem-tricycle-monocycle-remorque-casque/b-ebike-velo-electrique-vae-city-batterie-lihium-3/f-121192301-bebikecity.html#desc
Ref
https://www.cyclable.com/13-velo-electrique#/price-0-1955