Fin janvier 2013 doit débuter avec le MESR la dernière phase des « pseudo » négociations sur la future loi pour les universités et la recherche. Pseudo négociation, car depuis six mois, le ministère reçoit parfois les syndicats, mais ne nous écoute guère on dirait...
A ce jour, aucun texte officiel n’a encore été envoyé aux organisations syndicales. Pourtant depuis peu, circule une fuite datée du 11 janvier, soit trois jours avant la publication du rapport du député Jean Yves Le Déaut. Cette fuite, consultable sur le site informatique du SNTRS-CGT: http://websyndicats.vjf.cnrs.fr/sntrscgt/IMG/pdf/Loi_11-01-2013_2_.pdf, montre que malheureusement le ministère, loin de choisir le changement, nous enfumerait avec un projet qui modifie la LRU et le Pacte de la Recherche seulement à la marge sur de nombreux points importants.
Dans la loi, il n’y a pas le moindre engagement budgétaire : aucun engagement ministériel sur les financements et les emplois nécessaires pour résorber durablement la précarité dans les laboratoires et répondre aux besoins de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche. Sur la question des possibilités de passer CDI pour les collègues ayant 6 ans de CDD avec plusieurs employeurs, malgré la circulaire prise par la ministre de la fonction publique le 26 juillet dernier, aucun texte législatif n’est encore sorti pour améliorer la loi Sauvadet.
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Sunday, January 20, 2013
polémique au CNRS INIST et confusions dans le monde de l'édition scientifique
Depuis le 1er octobre, une polémique enfle chez les chercheurs. Elle connaît une ampleur inédite depuis la gueulante poussée par l’enseignant-chercheur Olivier Ertzscheid, relayée par Rue89.
L’« immense scandale » dénoncé concerne les pratiques d’un département du CNRS : l’Institut de l’information scientifique et technique (Inist), dont la mission est de « faciliter l’accès » aux résultats de la recherche.
Problèmes :
L’archiviste paléographe et conservateur des bibliothèques Rémi Mathis rappelle sur son blog à quel point, dans le contexte de crise actuelle de l’édition scientifique, il est important « que les résultats de la recherche scientifique soient librement consultables par tous ».
D’autant que les prix des copies d’articles vendues par l’Inist (via son service de documentation Refdoc) sont exorbitants : Olivier Ertzscheid donne l’exemple de trois de ses articles, vendus chacun à 47,64 euros (avec dix jours d’attente) alors que ces mêmes articles sont disponibles gratuitement sur la Toile...
Comble du paradoxe, le CNRS promeut l’open access sur au moins deux de ses autres plateformes : Revues.org et HAL. Elles donnent accès, gratuitement, à des articles vendus sur Refdoc.
Avec le CNRS, le Centre français d’exploitation du droit de copie (CFC) est aussi condamné. Agréée par le ministère de la Culture, cette société gère les droits de copie des textes vendus sur Refdoc.
« Désolé de contredire l’Inist-CNRS », rétorque le CFC. « Le CNRS fait bien partie du pourvoi. »
Après vérification auprès de la Cour de cassation, c’est bien l’Inist-CNRS, rejoint par le CFC qui a déclenché la procédure de pourvoi.
Le cafouillage peut faire sourire mais il résume assez bien l’habile jeu de ping-pong auquel se livrent à présent CNRS et CFC, face à la colère des chercheurs.
En termes très choisis, le CNRS « conseille de s’adresser au CFC » pour tout ce qui concerne les autorisations des auteurs et le reversement des droits d’auteur dont le CFC a la charge. Côté CFC, le directeur général adjoint, Philippe Masseron, réagit aux prix de ventes exorbitants des articles, dénoncés par les chercheurs :
Le député UMP Lionel Tardy, par ailleurs grand utilisateur de Twitter, vient de formuler une question à l’Assemblée nationale à paraître au Bulletin officiel, dans laquelle il interpelle la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche sur le sujet.
Une pétition est ouverte depuis le 15 octobre par le collectif SavoirCom1, et recueille environ 300 signataires – profs, maîtres de conférence, bibliothécaires, conservateurs – autour de la défense d’« une science ouverte au-delà du cercle académique » et de l’open acces.
Les signataires qui rejoignent « le collectif des auteurs en colère » demandent le retrait de leurs documents du site Refdoc.
L’Association des bibliothécaires de France et ses 3 000 adhérents viennent aussi de demander à l’Inist de cesser la commercialisation de Bibliothèque(s) et Bulletin d’informations, des revues normalement gratuites... mais vendues sur Refdoc.
« A chaque fois qu’on nous demande de déréférencer, on déréférence. Il n’y a aucun souci », rassure l’Inist.
La perte de son procès aurait de lourdes conséquences pour l’Inist-CNRS. Son image serait sévèrement amochée et le Redfoc n’y survivrait pas.
REF: http://www.rue89.com/rue89-culture/2012/10/18/le-cnrs-pignouf-qui-pille-les-chercheurs-236285?sort_by=thread&sort_order=ASC&items_per_page=50&page=1
en ce 20 janvier, il y a 100commentaires souvent affligeants vis-à-vis des connaissances dans le sciences de la la documentation
L’« immense scandale » dénoncé concerne les pratiques d’un département du CNRS : l’Institut de l’information scientifique et technique (Inist), dont la mission est de « faciliter l’accès » aux résultats de la recherche.
Les grandes lignes de la polémique
Si l’accès est facilité, il n’est pas gratuit. L’Inist commercialise « un catalogue enrichi de 52 millions de notices » : articles de recherche, rapports, thèses, comptes-rendus de colloques, actes de congrès dans toutes les disciplines de la recherche. Il a répondu en 2011 à près de 200 000 commandes, pour des documents tirés de 4 500 revues.Problèmes :
- l’Inist commercialise des copies d’articles sans l’autorisation de leurs auteurs et sans même les avertir ;
- aucun droit d’auteur ne leur est reversé ;
- beaucoup d’articles vendus sont déjà disponibles gratuitement sur Internet, sur des plateformes en « open access ».
L’archiviste paléographe et conservateur des bibliothèques Rémi Mathis rappelle sur son blog à quel point, dans le contexte de crise actuelle de l’édition scientifique, il est important « que les résultats de la recherche scientifique soient librement consultables par tous ».
D’autant que les prix des copies d’articles vendues par l’Inist (via son service de documentation Refdoc) sont exorbitants : Olivier Ertzscheid donne l’exemple de trois de ses articles, vendus chacun à 47,64 euros (avec dix jours d’attente) alors que ces mêmes articles sont disponibles gratuitement sur la Toile...
Comble du paradoxe, le CNRS promeut l’open access sur au moins deux de ses autres plateformes : Revues.org et HAL. Elles donnent accès, gratuitement, à des articles vendus sur Refdoc.
Le CNRS face à la justice
Les pratiques de l’Inist-CNRS ont déjà été condamnées. En 2010, un docteur en sciences politiques et juriste attaque l’Inist pour contrefaçon du droit d’auteur et a obtenu gain de cause. Le CNRS est condamné en première instance, puis en appel l’année suivante.Avec le CNRS, le Centre français d’exploitation du droit de copie (CFC) est aussi condamné. Agréée par le ministère de la Culture, cette société gère les droits de copie des textes vendus sur Refdoc.
« L’Inist ment délibérément aux chercheurs »
Sur son blog, Rémi Mathis raconte son dernier échange avec l’Inist, lorsqu’il découvre deux de ses articles, « vendus entre 31 et 124,38 euros » selon la durée d’attente :« Bien évidemment, je n’ai pas été payé pour ces articles. J’adresse alors un courrier à l’Inist pointant cette anormalité et demandant quelle était la base légale de cette vente, étant donnée la condamnation de 2011. On m’envoie l’argumentation pré-procès. Je réponds que je connais cette argumentation mais que nous savons tous deux qu’elle n’est pas juridiquement valide. Pas de réponse.
C’est-à-dire que l’Inist, pour protéger un fonctionnement illégal, s’est mis à délibérément mentir aux chercheurs qui se renseignent auprès d’eux. Quand la tromperie et le mensonge s’ajoutent à la contrefaçon, cela devient très grave. »
Le CFC et le CNRS se renvoient la balle
Sur le fait que le CNRS commercialise les articles sans le consentement de leurs auteurs, « on est dans les clous », répond un porte-parole de Cyrille Macquart, directeur général de l’Inist-CNRS, contacté par Rue89 :« Nous avons signé un contrat avec le CFC, une agence de l’Etat et qui nous donne les autorisations nécessaires. Et c’est au CFC de vérifier auprès des éditeurs qu’ils ont bien les autorisations. Mais nous, nous sommes en contrat, nous sommes couverts. »Il ajoute :
« Les documents vendus et publiés dans des revues et les documents déposés dans des archives ouvertes sont rarement les mêmes versions : nos utilisateurs et nos clients veulent des publications “in fine”, validées et révisées par les pairs. Ça n’est pas le même document. Nous aussi, nous prônons l’open access. »
C’est pas moi, c’est l’autre
Sur la forme, il rappelle que le procès mettant en cause la politique de l’Inist et du CFC a été renvoyé en cassation : « Attendons le jugement. » Qui s’est pourvu en cassation ? Le CFC, affirme l’Inist-CNRS.« Désolé de contredire l’Inist-CNRS », rétorque le CFC. « Le CNRS fait bien partie du pourvoi. »
Après vérification auprès de la Cour de cassation, c’est bien l’Inist-CNRS, rejoint par le CFC qui a déclenché la procédure de pourvoi.
Le cafouillage peut faire sourire mais il résume assez bien l’habile jeu de ping-pong auquel se livrent à présent CNRS et CFC, face à la colère des chercheurs.
En termes très choisis, le CNRS « conseille de s’adresser au CFC » pour tout ce qui concerne les autorisations des auteurs et le reversement des droits d’auteur dont le CFC a la charge. Côté CFC, le directeur général adjoint, Philippe Masseron, réagit aux prix de ventes exorbitants des articles, dénoncés par les chercheurs :
« La politique commerciale mise en œuvre par l’Inist-CNRS est le problème du CNRS. Il ne s’agit pas de leur renvoyer la balle, mais en l’occurrence, c’est d’abord leur problème »
Une mobilisation des chercheurs inédites
Ces temps-ci, la colère des chercheurs prend une dimension inédite. Sur Twitter, elle se décline sous le hashtag (mot-clé) #inistgate.Le député UMP Lionel Tardy, par ailleurs grand utilisateur de Twitter, vient de formuler une question à l’Assemblée nationale à paraître au Bulletin officiel, dans laquelle il interpelle la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche sur le sujet.
Une pétition est ouverte depuis le 15 octobre par le collectif SavoirCom1, et recueille environ 300 signataires – profs, maîtres de conférence, bibliothécaires, conservateurs – autour de la défense d’« une science ouverte au-delà du cercle académique » et de l’open acces.
Les signataires qui rejoignent « le collectif des auteurs en colère » demandent le retrait de leurs documents du site Refdoc.
L’Association des bibliothécaires de France et ses 3 000 adhérents viennent aussi de demander à l’Inist de cesser la commercialisation de Bibliothèque(s) et Bulletin d’informations, des revues normalement gratuites... mais vendues sur Refdoc.
« A chaque fois qu’on nous demande de déréférencer, on déréférence. Il n’y a aucun souci », rassure l’Inist.
Que dit le CNRS ?
Le service com’ du CNRS a répondu tardivement aux critiques, via un lapidaire tweet de sa directrice de la communication, Brigitte Perucca.Faux! L'Inist CNRS ne fait pas aucun bénéfice l'argent va a des opérateurs ex CFC et couvre une partie des frais de gestion #inistgate
L’Inist-CNRS annonce la publication imminente d’un « document » en réponse à la colère des chercheurs.La perte de son procès aurait de lourdes conséquences pour l’Inist-CNRS. Son image serait sévèrement amochée et le Redfoc n’y survivrait pas.
« Le CNRS est un pignouf »
En attendant, hors champ universitaire, des auteurs se réveillent et s’aperçoivent qu’ils sont concernés par l’affaire, tel François Bon, qui réagit sur son blog :« Enorme surprise donc à découvrir que le CNRS commercialisait sans nulle autorisation deux textes miens au moins, même sous la forme caricaturale (50 euros pour vous faire délivrer ces cinq pages par porteur !) d’un article en hommage à Bernard Noël paru il y a dix ans au moins dans la revue Europe. »Le même article étant disponible sur le site Remue.net. Il s’associe à la protestation lancée par Olivier Ertzscheid et conclut :
« Je déclare donc que le CNRS est un pignouf. »
REF: http://www.rue89.com/rue89-culture/2012/10/18/le-cnrs-pignouf-qui-pille-les-chercheurs-236285?sort_by=thread&sort_order=ASC&items_per_page=50&page=1
en ce 20 janvier, il y a 100commentaires souvent affligeants vis-à-vis des connaissances dans le sciences de la la documentation
quel micro studio pas cher? Un microphone pour son home-studio et alimentation fantome et suspension
Un microphone est un détecteur "scientifique" de 20Hz à 20000Hz soit facteur mille en fréquence ce qui est énorme et très difficile à réaliser. Ce que l'oreille le homme réalise est un prodige! Les bas prix (moins de 50euros) ne sont pas bon du tout le plus souvent.
Un des meilleurs rapport qualite/prix actuellement est le prodipe st-1 (99euros).
Le samson C01 est un bon début et vient de passer de 79 euros à 63euros en ce janvier 2013.
On en trouve d'occase à 30euros.
Un autre micro est le "Shure PG42 LC Vocal Microphone" qui est un micro USB avec une carte son intégré "intelligente" : 170euros http://fr.lookat.com/shure-pg42-lc-vocal-microphone?utm_content=fr&utm_medium=googlebase&utm_source=merchantcenter
Prenons ces 3 exemples de microphone électrostatique.
Micro à condenser:
process métrologique d'un microphone à condensateur. 1.Onde sonore, 2.Membrane avant, et 3.Armature arrière, 4.Générateur, 5.Résistance, 6.Signal électrique
Dans les microphones électrostatiques, la membrane, couverte d'une mince couche conductrice, est l'une des armatures d'un condensateur, chargé par une tension continue (souvent du 48V), l'autre armature étant fixe. La vibration rapproche et éloigne les armatures, faisant varier la capacité. La charge étant constante et égale au produit de la tension et à la capacité, la variation de la capacité produit une variation inverse de tension. L'impédance de sortie est très élevée. Les micros électrostatiques ont besoin d'une alimentation, d'une part pour la polarisation du condensateur, d'autre part pour l'amplificateur adaptateur d'impédance qui doit être proche de la membrane.
La plupart des consoles de mixage, des préamplificateurs externes et des enregistreurs D-to-D disposent d’une alimentation de ce type. Une alimentation fantôme externe peut également être utilisée si nécessaire. Le C01 reçoit son alimentation directement sur le câble micro le reliant à la console ou à une autre entrée micro offrant ce type d’alimentation. L’alimentation est alors transmise avec le signal par le câble d’entrée micro de façon inaudible. La majorité des consoles de mixage disposent d’un commutateur permettant d’activer l’alimentation fantôme ; assurez-vous que celui-ci est bien enclenché. Souvent le micro intègre un témoin led , qui s’allume lorsque le micro est sous tension. L'alimentation est ainsi fournie par un conducteur spécial relié à un boîtier d'interface qui assure aussi l'adaptation d'impédance (que pour des microphones de très haut de gamme). La plupart des modèles utilisent donc une" alimentation fantôme", ainsi nommée parce qu'elle ne nécessite aucun conducteur supplémentaire.
La sensibilité des microphones électrostatiques est supérieure à celle des microphones dynamiques, mais cet avantage est compensé par la nécessité d'un amplificateur adaptateur d'impédance, nécessaire pour transmettre le signal dans une ligne un peu longue.
La directivité est une caractéristique essentielle du microphone, elle caractérise sa sensibilité en fonction de la provenance du son, selon son axe central. Pour le chant prendre un cardioide ou un hypercardioïde :
Avantages : sensibilité, définition.
Inconvénients : fragilité, nécessité d'une alimentation externe, contraintes d'emploi, inapte à reprendre des pressions acoustiques trop élevées. Sensible aux manipulations, il est généralement fixé sur une monture à suspension faite de fils élastiques, généralement en zigzag, destinée à absorber les chocs et les vibrations. Il est très rare qu'il soit utilisé comme microphone à main, sauf certains modèles qui incorporent une suspension interne.
Ces caractéristiques font qu'ils sont en général plus utilisés en studio que sur scène d'oùle nom de micro studio...
Il faut donc ajouter 2 choses à ce type de micro:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Alimentation_fant%C3%B4me
http://fr.wikipedia.org/wiki/Suspension_acoustique
pour voir les autres techno de microphone:
http://www.prodipe.com/fr/produits/micros
-------------------------------------------------------------------------------------------
The C01 is a large diaphragm (19mm) side-address studio microphone for vocals and acoustic instruments.
Le micro à condensateur C01 est de type hyper-cardioïde, afin d’offrir une réjection maximale des sons latéraux. Lorsqu’il est bien positionné, le micro hyper-cardioïde vous permet de faire ressortir ce que vous souhaitez entendre et d’atténuer encore plus efficacement ce que vous ne souhaitez pas entendre.
http://www.samsontech.com/samson/products/microphones/condenser-microphones/c01/
C'est un cardiode.
http://www.prodipe.com/fr/produits/micros/micros-a-condensateur-studiolive/item/33-st1-ludovic-lanen
Ref:
http://www.microphone-data.com/
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à 89euros....
Contrairement à la majorité des microphones USB du marché, le ST-USB est livré avec un pilote ASIO vous permettant de l'utiliser dans tous vos logiciels ASIO, et pas seulement en environnement multimédia de base.
Le Shure PG42USB LC Vocal Microphone me parait être plus intéressant mais le double en prix à 170euros in fine...
A large diaphragm studio microphone available as a standard analogue microphone and in an USB version. The later has an available gain range of 34dB.
On peut brancher le casque en direct en plus l'USB est dans les deux sens donc on peut aussi entendre la musique, cela facilite le chant et le retour...
Spécifiquement conçu pour la reproduction vocale, ce microphone à condensateur de côté dispose d'un diaphragme cardioïde large adapté avec la sensibilité élevée de reproduire clairement sa voix. A - 15dB atténuateur commutable et un haut col de filtrage commutateur garanties qualité Shure...
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Un des meilleurs rapport qualite/prix actuellement est le prodipe st-1 (99euros).
Le samson C01 est un bon début et vient de passer de 79 euros à 63euros en ce janvier 2013.
On en trouve d'occase à 30euros.
Un autre micro est le "Shure PG42 LC Vocal Microphone" qui est un micro USB avec une carte son intégré "intelligente" : 170euros http://fr.lookat.com/shure-pg42-lc-vocal-microphone?utm_content=fr&utm_medium=googlebase&utm_source=merchantcenter
Prenons ces 3 exemples de microphone électrostatique.
Micro à condenser:
process métrologique d'un microphone à condensateur. 1.Onde sonore, 2.Membrane avant, et 3.Armature arrière, 4.Générateur, 5.Résistance, 6.Signal électrique
Dans les microphones électrostatiques, la membrane, couverte d'une mince couche conductrice, est l'une des armatures d'un condensateur, chargé par une tension continue (souvent du 48V), l'autre armature étant fixe. La vibration rapproche et éloigne les armatures, faisant varier la capacité. La charge étant constante et égale au produit de la tension et à la capacité, la variation de la capacité produit une variation inverse de tension. L'impédance de sortie est très élevée. Les micros électrostatiques ont besoin d'une alimentation, d'une part pour la polarisation du condensateur, d'autre part pour l'amplificateur adaptateur d'impédance qui doit être proche de la membrane.
La plupart des consoles de mixage, des préamplificateurs externes et des enregistreurs D-to-D disposent d’une alimentation de ce type. Une alimentation fantôme externe peut également être utilisée si nécessaire. Le C01 reçoit son alimentation directement sur le câble micro le reliant à la console ou à une autre entrée micro offrant ce type d’alimentation. L’alimentation est alors transmise avec le signal par le câble d’entrée micro de façon inaudible. La majorité des consoles de mixage disposent d’un commutateur permettant d’activer l’alimentation fantôme ; assurez-vous que celui-ci est bien enclenché. Souvent le micro intègre un témoin led , qui s’allume lorsque le micro est sous tension. L'alimentation est ainsi fournie par un conducteur spécial relié à un boîtier d'interface qui assure aussi l'adaptation d'impédance (que pour des microphones de très haut de gamme). La plupart des modèles utilisent donc une" alimentation fantôme", ainsi nommée parce qu'elle ne nécessite aucun conducteur supplémentaire.
La sensibilité des microphones électrostatiques est supérieure à celle des microphones dynamiques, mais cet avantage est compensé par la nécessité d'un amplificateur adaptateur d'impédance, nécessaire pour transmettre le signal dans une ligne un peu longue.
La directivité est une caractéristique essentielle du microphone, elle caractérise sa sensibilité en fonction de la provenance du son, selon son axe central. Pour le chant prendre un cardioide ou un hypercardioïde :
Omnidirectionnel | Cardioïde large | Cardioïde | Hypercardioïde | Canon | Bi-directionnel ou figure en 8 |
---|
Avantages : sensibilité, définition.
Inconvénients : fragilité, nécessité d'une alimentation externe, contraintes d'emploi, inapte à reprendre des pressions acoustiques trop élevées. Sensible aux manipulations, il est généralement fixé sur une monture à suspension faite de fils élastiques, généralement en zigzag, destinée à absorber les chocs et les vibrations. Il est très rare qu'il soit utilisé comme microphone à main, sauf certains modèles qui incorporent une suspension interne.
Ces caractéristiques font qu'ils sont en général plus utilisés en studio que sur scène d'oùle nom de micro studio...
Il faut donc ajouter 2 choses à ce type de micro:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Alimentation_fant%C3%B4me
http://fr.wikipedia.org/wiki/Suspension_acoustique
pour voir les autres techno de microphone:
http://www.prodipe.com/fr/produits/micros
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Samson C01
The C01 is a large diaphragm (19mm) side-address studio microphone for vocals and acoustic instruments.
Le micro à condensateur C01 est de type hyper-cardioïde, afin d’offrir une réjection maximale des sons latéraux. Lorsqu’il est bien positionné, le micro hyper-cardioïde vous permet de faire ressortir ce que vous souhaitez entendre et d’atténuer encore plus efficacement ce que vous ne souhaitez pas entendre.
Electrical Characteristics
Frequency Response | 40Hz - 18kHz |
Output Sensitivity | 22.5mV/Pa |
Max SPL | 136dB |
Self Noise (CCIR) | |
Self Noise (DIN/IEC) | |
Output Impedance | 200 |
Recommended Load | |
Powering | Phantom 48 only |
Supply Current | |
Alternative Powering |
Switchable Options
Pad | |
Filter/EQ |
Physical Characteristics
Connector | XLR-3M |
Connector Notes | |
Available Colours | |
Weight | 900g (31.69oz) |
Length | 180.0mm (7.09") |
Min Diameter/Width | |
Max Diameter/Width | 54.0mm (2.13") |
Depth | 54.0mm (2.13") |
AES42 |
Accessories
Included | |
Optional | SP01 Spider Mount |
http://www.samsontech.com/samson/products/microphones/condenser-microphones/c01/
Samson's C01 has all the performance features that you demand from a large diaphragm studio condenser microphone. It's the perfect solution for recording vocals, acoustic instruments and for use as and overhead drum mic.
Featuring a large, dual-layer 19mm diaphragm with a cardioid pickup pattern, the C01 produces a smooth flat frequency response. Its two ultra-thin sensor membranes pick up far more detailed sounds than any dynamic coil. The result is a mic that captures accurate, detailed and smooth audio with warm bass tones and extended top end. You'll hear the strings and wood of your guitar, the breath and resonance of a singer, or the brassy shimmer of a ride cymbal with crystal clear clarity.
The C01's design includes a heavy gauge mesh grill, gold-plated XLR connecter and an LED for monitoring its 48V of phantom power. It also comes with a swivel mount that can be attached to any standard mic stand. In addition, an optional SP01 spider shock mount is available for increased mic and sound stability.
Principales caractéristiques du C01 :
• Micro à condensateur de studio à large diaphragme
• Capsule 19 mm avec diaphragme 3 microns
• Reproduction fidèle et transparente
• Polarité hyper-cardioïde
• Alimentation fantôme 36-52 Volts (avec témoin led bleu)
• Suspension interne anti-choc
• Réponse en fréquence étendue
• Fabrication en alliage robuste
• Pince de fixation sur pied et coffret de transport fournis
http://www.prodipe.com/fr/produits/micros/micros-a-condensateur-studiolive/item/33-st1-ludovic-lanen
The prodipe ST-1
Electrical Characteristics
Frequency Response | 20Hz - 20kHz |
Output Sensitivity | 14.0mV/Pa |
Max SPL | 130dB - 1.0% THD |
Self Noise (CCIR) | |
Self Noise (DIN/IEC) | 20dB-A |
Output Impedance | 100 |
Recommended Load | 1.0 k |
Powering | Phantom 48 only |
Supply Current | |
Alternative Powering |
Switchable Options
Pad | 10dB |
Filter/EQ | 100Hz, 10dB/oct |
Physical Characteristics
Connector | XLR-3M |
Connector Notes | |
Available Colours | |
Weight | |
Length | |
Min Diameter/Width | |
Max Diameter/Width | |
Depth | |
AES42 |
Accessories
Included | |
Optional |
Ref:
http://www.microphone-data.com/
------------------------
Si vous voulez un micro studio USB:
http://www.prodipe.com/fr/produits/interfaces-audio/item/395-st-usb-lanenà 89euros....
Contrairement à la majorité des microphones USB du marché, le ST-USB est livré avec un pilote ASIO vous permettant de l'utiliser dans tous vos logiciels ASIO, et pas seulement en environnement multimédia de base.
Le Shure PG42USB LC Vocal Microphone me parait être plus intéressant mais le double en prix à 170euros in fine...
Electrical Characteristics
Frequency Response | 20Hz - 20kHz |
Output Sensitivity | |
Max SPL | 130dB |
Self Noise (CCIR) | |
Self Noise (DIN/IEC) | 15dB-A |
Output Impedance | |
Recommended Load | |
Powering | Phantom 48 only, sinon préféré la version USB où l'alim passe par USB |
Supply Current | |
Alternative Powering | USB for PG42USB |
Switchable Options
Pad | |
Filter/EQ |
Physical Characteristics
Connector | XLR-3M | ||||
Connector Notes | or USB |
A large diaphragm studio microphone available as a standard analogue microphone and in an USB version. The later has an available gain range of 34dB.
On peut brancher le casque en direct en plus l'USB est dans les deux sens donc on peut aussi entendre la musique, cela facilite le chant et le retour...
Spécifiquement conçu pour la reproduction vocale, ce microphone à condensateur de côté dispose d'un diaphragme cardioïde large adapté avec la sensibilité élevée de reproduire clairement sa voix. A - 15dB atténuateur commutable et un haut col de filtrage commutateur garanties qualité Shure...
-
- USB Plug and Play connectivity allows the convenience of digital recording, anywhere your computer can go
- Compatible with Windows 7, Vista, XP, 2000, and Mac OS X (10.1 or later)
- Integrated pre-amp with Microphone Gain Control allows control of input signal strength
- Zero Latency Monitoring for real-time playback and multi-tracking without disorientation
- Headphone jack for monitoring with 1/8” connectivity
- Monitor Mix Control for blending microphone and playback audio
- 16 bit, up to 48 kHz sample rate for better-than-CD quality audio
---------------------------
Si vous voulez un micro cravate de Type : condensateur à petite membrane avec Directivité omni-directionnelle:
http://www.prodipe.com/fr/produits/micros/micros-a-condensateur-studiolive/item/463-micro-cravate-lavalier-lanen-p2l
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