Monday, September 15, 2025

Debates about “faster” languages are just plain silly. It’s the optimization of compiler that makes the BIG difference.

 


Question

Why is C++ used at all now that a faster language (Go) has been created?

Just wanted to throw in two cents about binaries from GO supposedly being faster than C++. Recently C++ compiler made my jaw fall to the floor. At my job I have heard a riddle whether modern c++ compilers would be able to convert this recursive function into a loop, at sufficient optimization level. (AFAIK most programming languages would not do that)

int sum(int n) { 

return n ? sum(n-1) + n: 0; 

Generally the answer is yes, gcc or icc would make loop of it and, with extra optimization, unroll it a couple of times. But then one tried clang 5.0, and it produced an arithmetic series summation formula, making this function O(1)!

One could argue that this is just a cheap trick… the thing is there could be thousands of such “cheap tricks” in C++ compilers… And you need long years of well planned development to put such “cheap tricks” in production.

Answer

I “grew up” with optimizing compilers. At one point, Carnegie Mellon University, Computer Science, had one of the most advanced optimizing compilers of its day (1970s). But I’ve read the code from GNU and Microsoft C++, and today’s compilers make our efforts look like a good amateur attempt at optimization. Current compilers can compile 50,000 lines per minute (at least!) and produce code that has inline expansion of functions, cross-procedural optimizations, and mind-boggling optimization techniques. I once read code in which function A called function B, but instead of passing parameters to it, the Microsoft C++ compiler determined that some of the inputs were constants or pass-by-values that were not changed, and instead of pushing parameters onto the stack and calling function B, function A preloaded some registers with values and BRANCHED INTO THE MIDDLE of function B’s code. And the registers were precisely correct, and it avoided doing a hundred or more instructions that would have not been necessary at all if the inputs were known to be read-only. I would fire someone who did that in assembly code, but the compiler gets away with it because it accounts for every source change before determining the validity of the optimization. I’ve seen the Microsoft C++ compiler collapse multiply-instantiated templates into a single code body. I’ve seen output from GNU gcc that makes my head hurt trying to understand it, but which is perfectly correct.

I have no idea what a “faster” language is compared to C++, but I would want to see nontrivial metrics (forget Towers of Hanoi, Sieve of Eratosthenes, and similar toy programs. Compare code size and performance of systems 100K SLOC Source Lines of Code or better). I suspect that Microsoft C++ and gcc can run circles around GO. And take a look at Java HotSpot dynamic compilation and optimization before comparing Java to C++ or any other language. We used to see the same silly comparisons for language complexity, because you could implement “Hello, world” in BASIC in only one line, but every other language took lots of lines and correct punctuation. But you couldn’t maintain 100K SLOC written in BASIC (and I mean the original BASIC, not languages like Visual BASIC, which are modern languages with a few pieces of syntax borrowed from the original Darmouth BASIC).

A good optimizing compiler can take you through a dozen levels of abstraction and generate half an instruction. I don’t trust anyone who says “Language X is faster than Language Y” unless they give details of the metrics they used. Anyone can write a compiler that makes trivial code examples run quickly. Professional compilers can make 100K SLOC be smaller or faster,, independent of the source language.

Each time we added an optimization to the compiler, we knew that it might improve the code by 1%-3%. But put a couple hundred such optimizations in, and “compound interest” wins big. Some years ago, IBM was dismayed that under SPECMark array benchmarks, their compiler ran at 45 SPECMarks and Sun’s ran at 61 (bigger is better). So they wrote a program that took a configuration of the cache behavior of different models of their RISC6000, and wrote a FORTRAN program that took, as input, a FORTRAN program, and produced, as output, another FORTRAN program which did the exact same computation, but segmented the data to maximize cache hits. They ran the array example through this and got a score of…wait for it…900! Many modern FORTRAN compilers now incorporate these transformations internally (this experiment was done in the early 1990s).

Debates about “faster” languages are just plain silly. It’s the compiler that makes the difference.

Friday, March 21, 2025

l’Équipe méditerranéenne de recherche juridique (EMRJ / UR 7311)

 André Giudicelli, est Professeur de Droit privé et sciences criminelles à l’Université de Corse. Il est Directeur de l’Équipe méditerranéenne de recherche juridique (EMRJ / UR 7311).

Il présente cette unité dont l’axe prioritaire est la recherche en droit comparé et particulièrement avec des universités et des chercheurs du bassin méditerranéen.


Elle compte, au 1er septembre 2023, 25 membres, enseignants-chercheurs titulaires, enseignants-chercheurs contractuels et associés, et accueille une vingtaine de doctorants et post-doctorants. Ses recherches abordent principalement les thèmes de la justice, notamment pénale,  du patrimoine, de la vie des entreprises et de la transformation numérique dans une approche comparative reposant sur des partenariats avec plusieurs universités et centres de recherche à l'étranger.

https://emrj.universita.corsica/

faculté de droit en Corse et l'Institut d'études judiciaires de Corse

 La faculté de droit au sein de l'université de Corse et l'Institut d'études judiciaires de Corse



La faculté de droit 

 Doyen : Perrine Dumas, Maître de conférences, Droit public.

Héritière de l’Université paolienne du XVIIIe siècle, la Faculté de Droit et de Science Politique de Corse est un établissement résolument moderne tourné vers la réussite des étudiants et leur insertion professionnelle.

Les formations classiques que sont la licence de droit offre ainsi une formation générale de bon niveau qui s’appuie sur un suivi renforcé des étudiants dans le cadre de groupes de travaux dirigés. Ces formations sont un tremplin vers des masters au caractère professionnel marqué qui sont adossés à deux équipes de recherches labélisées.

l'Institut d'études judiciaires de Corse

Direction: Sonia Ben Hadj Yahia, Maître de conférences,  Droit privé et sciences criminelles

L’Institut d’Études Judiciaires de Corse a été créé par une décision du Conseil d’administration de l’Université de Corse Pasquale Paoli le 13 décembre 2016. Il vient ainsi renforcer, à Corte, la formation des étudiants en droit et leur préparation aux concours et examens d’accès aux métiers de la Justice.

Les conditions d’accès à la profession d’avocat ont été récemment modi­fiées. La faculté de droit de l’université de Corse, centre ancien d’examen d’accès au CRFPA a décidé d’accompagner cette évolution par la création d’un Institut d’études judiciaires (IEJ), l’IEJ de Corse. Cette structure est officiellement née avec une décision du conseil d’adminis­tration de l’université, le 13 décembre 2016. Elle a débuté ses activités au 1er semestre 2017 et prendra sa vitesse de croisière à la rentrée 2017-2018. La mise en œuvre des épreuves écrites réformées de l’examen d’entrée au CRFPA, en sep­tembre, apportera à tous son lot de ren­seignements afin de définir au mieux la préparation à venir des étudiants.

Un site internet (https://iej.universita.cor­sica) permet de renseigner les étudiants. La direction de cet IEJ est assurée par le professeur André Giudicelli, pénaliste reconnu.

La création de l’IEJ de Corse est une nou­velle manifestation de la volonté de la faculté de droit d’améliorer ses services aux étudiants et de travailler en étroite collaboration avec les milieux profession­nels. La nouvelle carte de formations en préparation le démontrera plus encore. 

https://univ-droit.fr/component/content/article/24075-n-29-creation-de-l-iej-de-corse-ufr-droit-sciences-sociales-economiques-et-gestion?catid=15&Itemid=139

REFERENCES:

https://univ-droit.fr/facultes-de-droit/363-ufr-de-droit-sciences-sociales-et-politiques-corte

Wednesday, February 12, 2025

La faculté de médecine en Corse commence enfin son déploiement avec 2025->DFGSM 2 et 2026->DFGSM 3 puis Aix

 L'ouverture du premier cycle complet des études de santé a été annoncée ce mardi 11 février 2025 par l'université. de Corse.

Ouverture de la deuxième année de médecine dès la rentrée de septembre 2025, suivie de la troisième année en 2026

"L'ouverture du premier cycle complet d'études de santé est un véritable aboutissement", s'est enthousiasmé le président de l'institution, Dominique Federici, ce mardi 11 février.
"l'université ouvrira à la rentrée de septembre 2025 la deuxième année du diplôme de formation générale en sciences médicales (DFGSM 2), suivie en 2026 de la troisième année (DFGSM 3)", est-il détaillé dans un communiqué de presse transmis par l'institution. Au total, "41 places sont prévues pour 2025"

Cette avancée majeure qui acte une nouvelle étape du développement des études de santé au sein de l'université est le fruit d'un partenariat avec l'Université d'Aix-Marseille datant de 2004, année d'ouverture de la première année du cycle d'étude de santé. "Cette ambition, c'est un projet de longue date porté depuis 2004 qui était également au cœur de la convention tripartite pour la période 2023-2027, a-t-il rappelé. Nous avions déjà un partenariat fort avec l'Université d'Aix-Marseille sur la formation en santé que nous avons renforcé au fil du temps." 

Une fois le premier cycle d'études de santé effectué, les étudiants du campus cortenais effectueront ensuite leur quatrième année à Marseille, dans le cadre de ce partenariat.

cliquez ci-dessous pour agrandir:




Mediatisation

Sunday, February 9, 2025

l'anti-intellect aux USA sous Trump II en février 2025

Santé aux Etats-Unis : vaste réduction du financement des universités et des centres de recherche

L’agence fédérale américaine chargée de la recherche médicale dit vouloir économiser plus de 4 milliards de dollars par an. Une décision condamnée avec force par la communauté scientifique et universitaire.

Publié par Le Monde avec AFP , le vendredi 7 février 2025

https://www.lemonde.fr/international/article/2025/02/09/sante-aux-etats-unis-vaste-reduction-du-financement-des-universites-et-des-centres-de-recherche_6538246_3210.html

Etats-Unis : l’avenir de l’enseignement supérieur américain sous la menace du combat "anti-woke"

Aux États-Unis, depuis l’élection de Donald Trump, le monde de la recherche est en alerte. Le président, engagé dans une croisade contre ce qu’il appelle l’"idéologie woke", menace de réduire le financement des agences de recherche et envisage de supprimer les programmes dits DEI (Diversité, Équité, Inclusion).

Par Romain Huret Historien des États-Unis, président de l’EHESS publié par France Culture

https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/les-enjeux-internationaux/etats-unis-l-avenir-de-l-enseignement-superieur-americain-et-de-la-recherche-en-question-3887440

Fermeture de l'Agence américaine pour le développement : l'ensemble du personnel sera placé en congé administratif dès vendredi 7 février 2015

L'ensemble du personnel de l'Agence américaine pour le développement international (USAID), y compris ceux se trouvant à l'étranger, sera placé en congé administratif à compter du vendredi 7 février, selon un document de l'organisation diffusé mardi sur son site internet. Elon Musk, chargé par Donald Trump de faire le ménage au sein du gouvernement fédéral, avait annoncé lundi que l'agence, qui gère des milliards de dollars d'aide à travers le monde, allait "fermer". Dans la foulée, l'USAID avait été placée sous la tutelle du secrétaire d'Etat américain, Marco Rubio, qui a déclaré que les Etats-Unis ne faisaient pas "de la charité".

De fait, des dizaines de hauts responsables de l'agence ont déjà été mis en congé, et le siège de l'institution à Washington n'est plus accessible. Les employés travaillant à l'étranger et leurs familles ont 30 jours pour revenir aux Etats-Unis, précise la note diffusée sur le site de l'USAID.

La décision a suscité choc et émoi au sein de l'agence indépendante créée par une loi du Congrès américain en 1961, et qui gère un budget de plus de 40 milliards de dollars, destiné à l'aide humanitaire et l'aide au développement à travers le monde.

https://www.francetvinfo.fr/monde/usa/presidentielle/donald-trump/l-ensemble-des-employes-de-l-agence-americaine-pour-le-developpement-seront-places-en-conge-administratif-a-partir-de-vendredi_7056194.html



d’Elon Musk

DOGE , Département de l’efficacité gouvernementale d’Elon Musk, c 'est quoi?

Accès à des dossiers confidentiels, rétribution envers les dissidents, contrôle de systèmes de paiements gouvernementaux: le niveau de pouvoir accordé au Département de l’efficacité gouvernementale (DOGE) d’Elon Musk inquiète aux États-Unis. On répond à quatre questions pour mieux comprendre cette mystérieuse agence.

C’est quoi, le DOGE?
Contrairement à ce que son titre peut insinuer, le Département de l’efficacité gouvernementale n’est pas un ministère fédéral au même titre que les départements du Trésor, de la Défense ou de l'Éducation.

Le DOGE est plutôt un organisme de conseil externe dirigé placé sous l’autorité directe de Donald Trump. Sa création n’a donc pas eu à être officialisée par le Congrès.

Il a une durée de vie limitée et doit cesser d’exister le 4 juillet 2026.

Il faut aussi savoir qu’Elon Musk dirige l’agence en tant qu'«employé spécial du gouvernement». Ce statut signifie qu’il est soumis «de manière moins restrictive» aux règles qui s’appliquent aux autres employés de l’État, notamment en matière d’éthique et de conflit d’intérêts, selon le ministère de la Justice.

Quels sont ses objectifs?

Elon Musk a déclaré que l’objectif principal du DOGE est de réduire les dépenses de l’État de 2000 milliards de dollars d’ici 2026.

Pour y arriver, l’homme le plus riche du monde prévoit d’abolir des ministères, de supprimer des milliers d’emplois et de réduire le budget de nombreux programmes d’aide gouvernementale.

Musk et son équipe planifient aussi de réformer les systèmes informatiques du gouvernement afin de les rendre plus efficaces et moins coûteux.

Attaque contre L'Agence du climat




Wednesday, February 5, 2025

la petite histoire du PDG du CNRS du néodarwinisme au Key Labs Laborieux

le vendredi 31 janvier 2025

 Key labs : "Je fais mon mea culpa" mais "le CNRS doit avoir une politique scientifique affirmée" (Antoine Petit, PDG)

"Je constate que le mécontentement (autour des key labs) est allé très loin, ce qui prouve que j’ai failli quelque part. Je n’ai aucune difficulté à faire mon mea culpa", déclare Antoine Petit, PDG du CNRS, dans une interview à AEF info, vendredi 31 janvier 2025. Cependant, "les questions fondamentales restent les mêmes"...

https://www.aefinfo.fr/depeche/725688-key-labs-je-fais-mon-mea-culpa-mais-le-cnrs-doit-avoir-une-politique-scientifique-affirmee-antoine-petit-pdg

CNRS : le ministre Philippe Baptiste impose un moratoire sur les « key labs »

Mi-décembre, le PDG du CNRS, Antoine Petit, a annoncé la création d'un nouveau label pour les laboratoires du CNRS : les « key labs ». Celui-ci doit concentrer les efforts de financements sur 25 % des unités du centre. Une motion de défiance signée par 10 000 personnels de recherche réclame la démission du PDG et les universités partenaires du CNRS demandent un moratoire.
Lors de ses vœux auxquels a assisté NewsTank le soir du jeudi 30 janvier, le ministre de l'Enseignement et de la recherche, Philippe Baptiste, a annoncé un moratoire sur la création des « key labs » au CNRS : « les conditions du dialogue ne sont pas parfaitement réunies et en conséquence le PDG du CNRS [Antoine Petit] a décidé d’un moratoire sur la mise en œuvre des key labs, je l’en remercie et je voulais vous le confirmer ce soir ».

Désavouant de fait le projet, le ministre a affirmé : « le CNRS n’est pas une agence de labellisation. On peut être une excellente unité de recherche et ne pas être associé au CNRS ». Il a ajouté que « le CNRS a vocation à avoir une stratégie scientifique qui ne peut être la somme de stratégies de sites et qui doit infuser sur son allocation de ressources. Le CNRS produit sa stratégie en concertation avec ses partenaires et en tenant compte des priorités de l’État ».

Dans un courrier aux personnels du CNRS, Antoine Petit confirme la mise en place d'un moratoire. Il se donne « jusqu'a I'été 2025 pour poursuivre les concertations, tant en interne qu’en externe » de l'institution de recherche, qu'il qualifie de « vaisseau amiral de la recherche académique française »

https://next.ink/167819/cnrs-fronde-de-10-000-chercheurs-contre-la-creation-de-key-labs/

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 le 12 décembre 2024

Remous au CNRS autour du projet de création de labos d’excellence

Suite à l’annonce de la création des « CNRS Key Labs » , le 12 décembre, par Antoine Petit, président-directeur général du CNRS, une motion de défiance appelant à leur « arrêt immédiat » et à la démission du PDG a recueilli près de 5 000 signatures.

Par David Larousserie

Publié le 20 janvier 2025 à 11h31, modifié le 20 janvier 2025 à 14h34 dans le Monde

https://www.lemonde.fr/sciences/article/2025/01/20/remous-au-cnrs-autour-du-projet-de-creation-de-labos-d-excellence_6506714_1650684.html

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 le 14 février 2022 

Antoine Petit a donc été réconduit comme  PDG du CNRS.  Une décision sans surprise du gouvernement et du Président de la République. La tentative d’une partie de la communauté scientifique d’imposer un débat autour d’une candidature alternative, celle d’Olivier Coutard, ancien président de la Conférence des Présidents du Comité National (CPCN), n’a donc pas rencontré le succès.  Cette candidature avait été soutenue par plus un appel de 1200 scientifiques lui apportant leur soutien parmi lesquels de nombreux responsables de premier plan des laboratoires et Instituts du CNRS.

Sa nomination montre qu’il n’est donc pas inutile de revenir sur un élément de langage répété deux fois mots à mots par le PDG reconduit lors de ses auditions au Sénat et à l’Assemblée Nationale. Un propos relatif à la fameuse « excellence » et qui était ainsi exprimé par Antoine Petit :

Antoine Petit passe de l’excellence aux « meilleurs », laissant les « bons » à d’autres – probablement pense t-il aux Universités – mais ce glissement de vocabulaire n’indique aucun changement d’objectif et n’est évidemment pas sans lien avec le rétrécissement du CNRS qui, selon son PDG, a perdu 11% de ses effectifs en dix ans, soit 3000 postes en moins. Un rétrécissement qui ne peut que s’accentuer si la politique macronienne mise en oeuvre par Frédérique Vidal est poursuivie cinq ans de plus.

On pourrait ironiser sans fin sur la comparaison sportive, évoquer l’erreur de fartage de nos snow-board-crosseuses, ou le choix du curling comme épreuve sportive ce qui laisserait penser que le choix des thématiques scientifiques « d’excellence » pourrait être tout aussi étrange… Mais il y a plus grave  dans cette comparaison qui, prise au sérieux pour orienter la politique de recherche de la France ne peut qu’accentuer le « déclin » du pays dans la compétition internationale de la science.

Ce n’est donc pas inutile de revenir sur cette obsession des « meilleurs » et peut se faire aisément en comparant ce propos répété avec ce que le Comité d’éthique du CNRS a écrit sur ce sujet dans un avis qui remonte à 2014. Cette comparaison montre à quel point le désaccord est profond...

Publié le 14 février 2022 dans le Monde

par Huet

https://www.lemonde.fr/blog/huet/2022/02/14/antoine-petit-les-meilleurs-et-le-cnrs/

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 le 12 décembre 2019

Une loi ambitieuse, inégalitaire — oui, inégalitaire, une loi vertueuse et darwinienne,

Antoine Petit, le PDG du CNRS, avait cru bon d’en appeler à une loi «darwinienne» pour le financement de la recherche. « Une loi ambitieuse, inégalitaire — oui, inégalitaire, une loi vertueuse et darwinienne, qui encourage les scientifiques, équipes, laboratoires, établissements les plus performants à l’échelle internationale, une loi qui mobilise les énergies. »

Publié le 12 décembre 2019 par Huet dans le Monde

https://www.lemonde.fr/sciences/article/2025/01/20/remous-au-cnrs-autour-du-projet-de-creation-de-labos-d-excellence_6506714_1650684.html

Publié le12 décembre 2019 par huet

Antoine Petit contesté au CNRS