Historique et philosophie du projet Gutenberg
Hart, le fondateur du Projet Gutenberg est celui qui est reconnu comme le créateur du premier e-book lorsqu'il mit sur ordinateur, le 4 juillet 1971, la Déclaration d'indépendance des États-Unis qu'il laissa en libre accès aux utilisateurs d'Arpanet. Il était encore étudiant mais avait obtenu un accès à un ordinateur du Materials Research Lab de l'université, à une époque où le temps de calcul était extrêmement onéreux. Peu passionné par le traitement de données, il imagina ce moyen intéressant d'utiliser la machine. On raconte qu'il avait d'abord songé à l'envoyer par courriel à tous les utilisateurs d'Arpanet. Mais on lui fit remarquer qu'il risquait de saturer le système. Il le déposa alors sur un serveur d'Arpanet. L'idée de diffuseur était déjà là.Par la suite, il continue à copier seul des textes aussi variés que la Bible ou Alice au pays des merveilles. C'est une vraie bibliothèque d'e-book qu'il fut le premier dans le monde à constituer. Aujourd'hui, c'est le projet Gutenberg:
https://www.gutenberg.org/wiki/FR_Principal
https://www.gutenberg.org/
Les gros "diffuseurs" en ligne
google books est aujourd'hui le plus grand corpus textuel au monde.
En 2010, un ingénieur de Google estime que près de 130 millions livres connus ont été publiés dans le monde (soit 4 milliards de pages numériques et 2 trillions de mots), et qu'ils pourraient être numérisés d'ici à la fin de la décennie...
google books
Lancé en décembre 2004 dans le but d’organiser l’information dans le monde et la rendre universellement disponible et utile, Google Books est aujourd’hui un outil de recherche intratexte, de consultation de livres en ligne ou sur appareil mobile, de constitution de collections personnelles, et de téléchargement d’ouvrages libres de droits. C’est aussi une librairie en ligne via la boutique Google Play, un outil permettant de trouver où emprunter un exemplaire de livre en bibliothèque ou l’acheter. Google Books permet encore aux internautes d’obtenir des informations complémentaires sur des ouvrages.Google travaille en collaboration avec des éditeurs et une quarantaine de bibliothèques dans le monde entier qui autorisent le géant de la recherche en ligne à ajouter leurs ouvrages dans sa bibliothèque numérique. Si une partie des ouvrages de Google Books est libre de droits et disponible en téléchargement, la majorité est soumise à des droits d’auteur. Pour ces derniers, seuls quelques courts extraits sont consultables en ligne et ce sont les éditeurs eux-mêmes qui choisissent les parties que les utilisateurs peuvent consulter. Google veut également respecter les droits d’auteur et protéger les ouvrages, notamment en bloquant les fonctions « imprimer », « couper », « copier » et « enregistrer » sur les pages affichant le contenu des livres.
USA
Toutefois, depuis 2005, le projet de Google a été freiné par des recours collectifs en justice sur la violation des droits d’auteur. L’Authors Guild, une société qui rassemble plus de 8000 auteurs américains, et plusieurs éditeurs aux États-Unis considèrent Google Books comme une entreprise commerciale qui a fait baisser la vente de leurs ouvrages. Les plaignants dénoncent également une violation massive de droits d’auteur et un manquement à une rétribution juste des auteurs et éditeurs.Google se défend en brandissant l’argument du « fair use » ou « usage acceptable », qui lui permet d’afficher des extraits des ouvrages en ligne tout en préservant les droits d’auteur. Le fair use autorise en effet certains usages d’œuvres protégées par le droit d’auteur, qui en principe seraient illégaux. Il prend en compte à la fois les intérêts des bénéficiaires des droits d’auteur et l’intérêt public.
En novembre 2013, un tribunal tranche en faveur de Google. Le projet du géant de la recherche en ligne est considéré comme étant profitable à la fois pour le public et les auteurs et éditeurs. Le juge fédéral Denny Chin qui a rendu la décision estime en effet que Google Books respecte le fair use, et ajoute par ailleurs que le détournement des ventes dénoncé par les plaignants n’est pas attesté, mais qu’au contraire « Google Books fournit aux ouvrages un moyen d'être remarqués, » en indiquant également leur présence en magasin. Ces derniers décident donc de se tourner vers une juridiction supérieure. Cette décision ayant également été confirmée par une Cour d’appel en octobre dernier, les plaignants ont finalement saisi la plus haute juridiction des États-Unis.
En avril 2016, la Cour suprême a rejeté la demande en justice du syndicat des auteurs qui voulait une reconsidération du fair use qui dans ce cas menace les droits d’auteur dans l’ère du numérique. Cela consolide donc les précédents verdicts et surtout donne carte blanche à Google pour poursuivre son projet de bibliothèque numérique qui contient déjà plus de 20 millions d’ouvrages.
France
Procès La MartinièreEn juin 2006, le groupe La Martinière / Le Seuil, soutenu par le Syndicat national de l'édition (SNE) et la Société des gens de lettres (SGDL) annonce son intention d'attaquer en justice Google. Il reproche au moteur de recherche d'avoir numérisé certains de ses ouvrages pour Google Book Search sans accord préalable. Une première estimation porte à quelques centaines le nombre de titres des différentes marques du groupe présents dans la base Google Livres, mais ce chiffre est plus tard réévalué à environ 9 000. La Martinière s’estime victime de contrefaçon, et elle déclare qu'« en reproduisant intégralement et en rendant accessibles des extraits d’ouvrages » sans l’autorisation des ayants droit, « la société Google a commis des actes de contrefaçon de droits d’auteur au préjudice des éditions du Seuil, Delachaux & Niestlé et Harry N. Abrams », ainsi qu’au préjudice du SNE et de la SGDL.
Procès Flammarion, Gallimard et Éditions Albin Jeunesse
Le 6 mai 2011, Flammarion, Gallimard et Éditions Albin Jeunesse adressent une assignation pour contrefaçon à Google et à sa filiale Google France130, pour la numérisation sauvage de titres issus de leurs catalogues : ils réclament 9,8 millions d'euros de dommages et intérêts au moteur de recherche pour la numérisation sans autorisation de 9 797 livres, soit 1 000 euros par livre, ce montant étant susceptible de changer au fil des numérisations. Google s'est dit « surpris de recevoir cette nouvelle assignation [...] alors même que nous travaillons déjà avec les éditeurs français depuis un certain temps pour trouver des moyens d'augmenter les audiences et les sources de revenus pour les éditeurs, les auteurs et les libraires ». Les œuvres concernées (4 302 pour Gallimard, 2 950 pour Flammarion et 2 545 pour Albin Michel) sont issues d'une liste fournie par le juge Denny Chin lors du procès collectif américain.
Accord Hachette Livre
Hachette Livre, premier éditeur français et classé deuxième au rang mondial, met ainsi à disposition de Google près de 70 % de son fond et de ceux des maisons d'édition intégrées dans le groupe (œuvres épuisées en langue française), soit entre 40 et 50 000 ouvrages : littérature générale (Grasset, Fayard, Calmann Lévy), ouvrages universitaires (Armand Colin, Dunod), ouvrages documentaires (Larousse). En novembre Arnaud Nourry, PDG de Hachette Livre (Groupe Lagardère), avait expliqué que les dispositions principales de l'accord avaient vocation à « être étendues à tous les éditeurs français qui le souhaitent ». L'accord en question pose plusieurs principes:
- Le contrôle de la numérisation des œuvres par l'éditeur
- La possibilité de commercialiser les livres numérisés sur des plateformes concurrentes
- La création de nouvelles opportunités commerciales (impression à la demande, depuis l'atelier de Maurepas - en partenariat avec Lightning Source (en))
- Le partage des œuvres numérisées avec des institutions publiques (comme la BNF).
La question de l’indexation n'est pas posée : la numérisation se cantonne à l’indexation et la promotion. En revanche, Google disposera d’une copie uniquement destinée « à ses propres usages non commerciaux ».
Selon le New York Times, Google Books comprendrait désormais plus de 25 millions de titres en 2016.
Ref: post de 4/2016:
http://www.developpez.com/actu/97991/Google-Books-le-projet-de-bibliotheque-numerique-de-Google-obtient-la-faveur-de-la-justice-US-dans-une-affaire-de-violation-de-droits-d-auteur/
Concernant les ouvrages couverts par le droit d’auteur, Google touche près de 37 % de l’achat du livre numérique.
Ref: http://archinfo01.hypotheses.org/2225
Google Scholar
Google Scholar est un service de Google permettant la recherche d'articles scientifiques.Fin 2004 est également lancé Google Scholar, qui permet d'effectuer des recherches sur des articles scientifiques, des thèses universitaires, des citations ou des livres scientifiques. Si Google Books rassemble une quantité bien plus imposante de revues, ses scans n'incluent pas les métadonnées suffisantes pour trouver les articles traitant de sujets spécifiques. Les créateurs de Scholar ont donc développé leur propre programme de numérisation des articles (en accord avec les éditeurs).
Ref: https://fr.wikipedia.org/wiki/Google_Livres
Google Scholar is similar in function to Elsevier's Scopus and Thomson Reuters' Web of Science.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Scopus_(Elsevier)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Web_of_Science
Plusieurs services font "concurrence" à Google Livres
Amazon est le principal concurrent de Google dans le domaine du livre électronique, avec un catalogue digital de plus d'un million d'ouvrages (dont 80 000 en français).Internet Archive est une association à but non lucratif qui numérise plus de 1 000 livres par jour, et offre des miroirs de livres venus de Google Books et d'autres sources. En mai 2011, elle héberge plus de 2,8 millions de livre du domaine public (contre 1 million pour Google Books). Sa petite sœur Open Library a jusqu'ici fiché 80 000 livres scannés et achetés par les visiteurs de 150 bibliothèques.
Fin 2006, Microsoft a financé la numérisation de 300 000 livres pour créer Live Search Books (en). Le projet a duré jusqu'en mai 2008, puis les livres furent rendus librement accessibles via l'Internet Archive.
En janv 2017: nombre de livre:
8,286,364 English; 429,018 French; 384,821 German; 177,111 Italian; 151,370 Spanish; 121,660 Arabic.
HathiTrust gère la HathiTrust Digital Library depuis le 13 octobre 2008, qui préserve et donne accès à des documents scannés par Google, certains livres d'Internet Archive, et certaines œuvres scannées localement par des institutions partenaires. En mai 2010, elle réunit 6 millions de volumes, dont plus d'un million dans le domaine public. En mars 2013, le chiffre total est de 10,6 millions de volumes numérisés, en mars 2015 13,2 millions.
HathiTrust est une bibliothèque numérique mettant en commun le contenu de plusieurs bibliothèques numériques d'universités des États-Unis et d'Europe, ainsi que de Google Livres et d'Internet Archive.
Le concept d'HathiTrust naît au sein du Committee on Institutional Cooperation et sa mise en œuvre est menée par l'université de l'Indiana et celle du Michigan, qui financent largement le projet.
Une cinquantaine d'universités américaines participent au projet. À l'automne 2010, l'université de Madrid est la première université européenne à s'y joindre.
Europeana renvoie à plus de 10 millions de documents numériques en 2010, et inclut vidéos, photos, peintures, fichiers son, cartes, manuscrits, livres imprimés et journaux des 2 000 dernières années de l'histoire Européenne, à partir de plus de 1 000 archives de l'Union européenne.
Gallica, projet de la Bibliothèque nationale de France, renvoie à plus de 2 100 000 livres, journaux, manuscrits, cartes, etc. Créée en 1997, la bibliothèque numérique continue de s'étendre au rythme d'environ 15 000 nouveaux documents par mois. Depuis fin 2008, la plupart sont accessibles en format image et texte, souvent en français.
En France, république numérique (et espace francophone)
Définitivement adopté par le Parlement le 28 septembre 2016, la loi pour une République Numérique a été publiée au Journal officiel du samedi 8 octobre 2016. Ce texte prévoit de nombreuses mesures indispensables au fonctionnement d´une société numérique et, dans son article 30, nous intéresse plus particulièrement.
Cette mesure concerne en effet les écrits scientifiques et elle est entrée en vigueur dès le 9 octobre 2016.
Que dit-elle : Lorsqu’un écrit scientifique issu d’une activité de recherche financée au moins pour moitié par des dotations de l’Etat, des collectivités territoriales ou des établissements publics, par des subventions d’agences de financement nationales ou par des fonds de l’Union européenne est publié dans un périodique paraissant au moins une fois par an, son auteur dispose, même après avoir accordé des droits exclusifs à un éditeur, du droit de mettre à disposition gratuitement dans un format ouvert, par voie numérique, sous réserve de l’accord des éventuels coauteurs, la version finale de son manuscrit acceptée pour publication, dès lors que l’éditeur met lui-même celle-ci gratuitement à disposition par voie numérique ou, à défaut, à l’expiration d’un délai courant à compter de la date de la première publication. Ce délai est au maximum de six mois pour une publication dans le domaine des sciences, de la technique et de la médecine et de douze mois dans celui des sciences humaines et sociales.
Vous êtes concernés si :
vos recherches sont financées pour moitié au moins sur fonds publics
vous publiez les résultats de ces recherches dans une revue
Que vous donne-t’elle le droit de faire ?
Quel que soit votre contrat avec l’éditeur de la revue, vous pouvez déposer dans HAL ou ailleurs la version acceptée de votre manuscrit (un fichier auteur hein, pas la version publiée de l’éditeur) dès la publication sans embargo si votre article est en accès gratuit sur le site de la revue,
ou en appliquant un embargo maximum de 6 mois pour les sciences, techniques et médecine et 12 mois pour les sciences humaines.
Autrement dit, vous pouvez appliquer ces durées d’embargo même si une condition de l’éditeur sur les sites Sherpa/Romeo ou Héloïse impose une durée supérieure.
Et c’est valable pour tout article publié à partir du 9 octobre 2016 (publication date, available online, first online, etc.).
Pour appliquer une durée d’embargo sur un fichier au moment du dépôt, voir la documentation : les références de votre article sont visibles par tous mais le fichier ne le sera qu’à l’expiration de l’embargo.
Bibliothèque scientifique numérique (BSN)
La Bibliothèque scientifique numérique (BSN) est un projet initié en 2008, inscrit dans la feuille de route des infrastructures de recherche, qui vise deux objectifs principaux : répondre aux besoins des chercheurs en portant l’offre qui leur est fournie en information scientifique et technique (IST) à un niveau d’excellence et la visibilité de la recherche française. BSN vise ainsi à mettre en place un pilotage politique partagé par les grands acteurs de l’enseignement supérieur et de la recherche, offrant des services à l’ensemble des communautés quel que soit leur statut, et à créer de nouveaux modèles et équilibres économiques entre acteurs publics et privés dans l’édition scientifique.
BSN est composée de 9 segments d’activité pour lesquels des actions ont été initiées par différents opérateurs : spécialistes de la documentation, de l’IST, laboratoires de recherche, etc. L’infrastructure BSN vise à monter en qualité, à donner de la cohérence à ces actions par leur mise en réseau et à améliorer le ratio coût/efficacité.
OpenEdition participe au segment n°7 de BSN intitulé “L’édition scientifique : coordination de l’aide publique, soutien à l’innovation de nouvelles formes d’édition et de nouveaux modèles économiques, etc.” et anime, sur la plateforme de blogs de recherche Hypothèses, Le Carnet de BSN 7 : http://bsn7.hypotheses.org/
En accord avec les orientations de la Commission européenne, la BSN privilégie l’accès ouvert aux documents et données scientifiques sous toutes leurs formes. Ce développement d’un accès large et rapide passe par l’innovation, les négociations avec les éditeurs ou le soutien aux archives ouvertes, en tenant compte des différences entre les disciplines.
La coordination des acteurs de l’enseignement supérieur et de la recherche est à la base de BSN. Un comité de pilotage, composé des directeurs d’organismes de recherche, de la conférence des présidents d’université et de la conférence des grandes écoles, prend les décisions. Elles lui sont proposées par les acteurs réunis au sein des dix segments de BSN.
- BSN 1 : Acquisitions des revues (courant) et des archives
- BSN 2 : Dispositif d’accès et d’hébergement
- BSN 3 : Dispositifs de signalement
- BSN 4 : Open Access
- BSN 5 : Numérisation
- BSN 6 : Archivage pérenne
- BSN 7 : Édition scientifique
- BSN 8 : Fourniture de documents, prêt
- BSN 9 : Formation, compétences et usages
- BNS 10 : Données de la recherche
Liste des portails:
Archives ouvertes
- Hal
- Partenaires de HAL :
- OATAO
- ProdINRA
- SciencesPo
- MediHal
- IFREMER
- Thèses
- TEL
- Portail des thèses ABES
Revues et livres
- Revues.org
- Persée
- Numdam, archives de revues mathématiques
- OpenEdition Books
- Istex
Carnets de recherches
Calendrier
Moteurs de recherche
Références bibliographiques
Référentiels
Formation
- Portail Bibdoc
- Sygefor 3 (plateforme nationale des formations du réseau des Urfist)
- DoRANum (plateforme pour la formation et l’auto-formation sur les données de la recherche)
Diffuseurs scientifiques francophones liés au CNRS
qui reste un portail traditionnel d'une librairie.
hal
https://hal.archives-ouvertes.fr/
Hal a une interface austère et peu lisible.
Comme pubMed ou Gscholar,
Hal offre certains services:
La structure CNRS CCSD qui gère Hal est une unité mixte de service (UMS3668).
https://www.ccsd.cnrs.fr/fr/ccsd-centre-pour-la-communication-scientifique-directe/
Cette UMS présente divers services comme la gestion des conférences:
https://www.sciencesconf.org/
qui est une PLATEFORME DE GESTION DE CONGRÈS SCIENTIFIQUES.
La plateforme Sciencesconf.org propose les fonctionnalités suivantes pour la
conférence:
Pour les participants
Pour les organisateurs
Toutes ces fonctionnalités sont personnalisables par conférence et disponibles à
partir de l’ « espace conférence».
feuille route CCSD 2016-2020 (10 pages):
https://www.ccsd.cnrs.fr/wp-content/uploads/2016/09/Feuille_de_route_CCSD_2016-2020.pdf
Hal a une interface austère et peu lisible.
Comme pubMed ou Gscholar,
- Hal assure une visibilité internationale des papiers
http://repositories.webometrics.info/en/top_portals - Hal est moissonné régulièrement par les outils de découverte les plus utilisés :
Gscholar, Base, etc - Hal garantie l’archivage pérenne numérique de votre travail
- Hal est compatible avec des outils de citations bibliographique, garantissant une citabilité optimale (URI pérenne)
- Hal vous offre des services de valorisation de votre identité numérique basés sur vos dépôts
- Déposer dans HAL appuie plus largement le mouvement de l’openaccess.
Hal offre certains services:
- API http://api.archives-ouvertes.fr/docs
- gestion d'une collection
https://hal.archives-ouvertes.fr/page/collection-definition-et-creation
Une collection a une adresse url stable de format :
http://hal.archives-ouvertes.fr/IDENTIFIANT_DE_LA_COLLECTION
La structure CNRS CCSD qui gère Hal est une unité mixte de service (UMS3668).
https://www.ccsd.cnrs.fr/fr/ccsd-centre-pour-la-communication-scientifique-directe/
Cette UMS présente divers services comme la gestion des conférences:
https://www.sciencesconf.org/
qui est une PLATEFORME DE GESTION DE CONGRÈS SCIENTIFIQUES.
La plateforme Sciencesconf.org propose les fonctionnalités suivantes pour la
conférence:
Pour les participants
- Inscription
- Soumission
Pour les organisateurs
- Hébergement et personnalisation du site web (gabarit, apparences, contenu, ...)
- Statistiques de consultation
- Suivi des inscriptions
- Outils de sélection des contributions
- Mise en place du programme
- Envoi de mail (appel à soumission, relance, ...)
- Edition électronique
- Export des communications sur l’archive ouverte HAL
- Configuration des listes (thématiques, types de dépôt)
- Paramétrage de la conférence (période de soumission, de relecture,
- d’inscription, ...)
Toutes ces fonctionnalités sont personnalisables par conférence et disponibles à
partir de l’ « espace conférence».
feuille route CCSD 2016-2020 (10 pages):
https://www.ccsd.cnrs.fr/wp-content/uploads/2016/09/Feuille_de_route_CCSD_2016-2020.pdf
Persée
Le portail Persée (www.persee.fr) est une initiative publique, conçue, développée et maintenue par l'UMS 3602 Persée. C'est un service de l'Université de Lyon, du CNRS et de l'ENS de Lyon.
Les partenaires documentaires et technologiques
L'UMS 3036 "Bibliothèque des sciences humaines Descartes" dispose d'une plateforme de production similaire à celle du site lyonnais de Persée et alimente le portail persee.fr avec des revues scientifiques principalement dans le domaine de la sociologie et de l'histoire des sciences
L'ABES développe et maintient l'application idRef qui permet d'interroger, de consulter, de créer et d'enrichir des notices d'autorité. Le partenariat établi entre Persée et l'ABES vise à aligner l'index auteurs de persee.fr avec les autorités personnes idRef. Les chercheurs peuvent ainsi connaître les différentes publications d'un auteur (articles diifusés par Persée, thèse, livre... décrits dans le Sudoc) et interargir avec d'autres applications comme Wikipedia.
Le CINES assure l'archivage à long terme - sur sa plateforme PAC- des contenus produits par Persée.
CollEx (« Collections d’excellence »), dispositif national de coopération documentaire, est né de la nécessité de rénovation des Centres d’acquisition et de diffusion de l’information scientifique et technique (CADIST) qui structurent le réseau documentaire de l’enseignement supérieur et de la recherche (ESR) depuis 30 ans, en lien avec l’évolution forte du paysage de l’information scientifique et technique (IST). CollEx a été inscrit, associé à Persée (portail de diffusion de publications scientifiques), en tant qu’infrastructure de recherche en IST. Fédérant dans un groupement d’intérêt scientifique (GIS) les acteurs de l’information scientifique et technique – plateforme Persée, bibliothèques de recherche de l’ESR, Bibliothèque nationale de France, opérateurs en IST -, CollEx-Persée a pour mission d’optimiser l’accès aux gisements documentaires par les chercheurs.
Interopérabilité et Persée
Une des missions de Persée est de valoriser ses fonds au-delà de leur seule diffusion sur le portail et d'élargir les lieux et les modes de leur exploitation. Dans ce contexte, la participation à des réseaux internationaux de plates-formes de diffusion de l'IST (Information Scientifique et Technique), l'amélioration du référencement des ressources par les moteurs de recherche scientifiques ou grand-public sont quelques-unes des stratégies mises en oeuvre.
Afin de faciliter le référencement et la ré-utilisation des ressources diffusées par persée, nous avons mis en place plusieurs services permettant à notre plateforme d'être interopérable avec d'autres systèmes d'information.
Ces services reposent sur l'utilisation de protocoles de communication largement employés dans le monde de l'IST et de modèles de données répondant aux normes et standards en vigueur.
Dans cette rubrique, vous trouverez la description des difféents services mis en oeuvre :
- l'entrepôt OAI permet de diffuser largement nos métadonnées et nos données ;
- la passerelle Z39-50 pour l'interopérabilité avec les catalogues de bibliothèques et les outils de gestion de la bibliographie ;
- les métadonnées au format KBART destinées à alimenter les bases de connaissances et outils de découverte ;
Par ailleurs, Persée alimente, par des outils dédiés, des outils de découverte ou des sites spécialisés tels que RePEc en économie, ou Mir@bel.
Ref: http://www.persee.fr/web/guest/interoperabilite
Outils pour publier sa collection sur persée
http://www.persee.fr/web/guest/votre-collection-sur-persee
UMS 3036 "Bibliothèque des sciences humaines Descartes"
La Bibliothèque de sciences humaines et sociales Descartes-CNRS est une des plus importantes bibliothèques françaises dans les domaines de la sociologie, de la linguistique et des sciences de l’éducation. Elle est un pôle associé de la Bibliothèque nationale de France sur les questions de santé et de société (santé, médecine, éthique...).
Elle prend la forme d’une unité mixte de service (UMS 3036) dépendant à la fois de l’université Paris Descartes (Paris V) et du CNRS.
OpenEdition
openEdition UMS
l'UMS 3287 qui assure le service des quatre plateformes d’OpenEdition.
OpenEdition est une initiative publique à but non lucratif, soutenue par des institutions françaises de recherche et d’enseignement supérieur. Elle inscrit son action dans le cadre de la Bibliothèque Scientifique Numérique et a reçu, en 2012, le Label Equipex des Investissements d’avenir.
Les principales missions d’OpenEdition sont le développement de l’édition électronique en libre accès, la diffusion des usages et compétences liées à l’édition électronique, la recherche et l’innovation autour des méthodes de valorisation et de recherche d’information induites par le numérique.
http://www.openedition.org/Les quatre plateformes d’OpenEdition
OpenEdition est une infrastructure complète d’édition électronique au service de la communication scientifique en sciences humaines et sociales. Elle rassemble quatre plateformes complémentaires dédiées respectivement aux livres, aux revues, aux blogs de recherche et aux annonces scientifiques. L’ensemble de ces plateformes, dont les contenus sont majoritairement en libre accès, reçoit 4 millions de visites mensuelles provenant du monde entier. Des services complémentaires sont proposés via les bibliothèques et institutions abonnées.
OpenEdition est développé par le Centre pour l’édition électronique ouverte (Cléo – UMS 3287), un centre associant le CNRS, l’université d'Aix-Marseille, l’EHESS et l’Université d’Avignon et des Pays de Vaucluse.
OpenEdition Books, plateforme de livres en ligne
Inaugurée en 2013, cette nouvelle plateforme rassemble, fin 2014, près de 1700 livres en sciences humaines et sociales provenant de 45 éditeurs. 16 000 ouvrages seront en ligne d’ici 2020. Les ouvrages sont accessibles sur un espace propre à chaque éditeur. Ils sont, pour plus de la moitié du catalogue, librement accessibles en HTML, citables, imprimables et “encapsulables” sur des sites externes.OpenEdition Books a pour ambition de construire une bibliothèque internationale pour les humanités numériques et ce, en encourageant les éditeurs à développer le libre accès sur le long terme. La plateforme valorise le traitement dans toutes les langues et dans tous les domaines de la recherche en sciences humaines et sociales.
URL : http://books.openedition.org/
Revues.org, plateforme de revues en ligne
Revues.org est une plateforme de revues en sciences humaines et sociales. Fondée en 1999, elle accueille aujourd’hui 400 revues en ligne, soit 100 000 articles, dont 95 % sont en accessible en texte intégral. La plateforme reçoit en moyenne 2,8 millions de visites mensuelles.Revues.org a pour mission de promouvoir l’édition électronique scientifique dans tous les domaines des sciences humaines et sociales. Elle encourage l'adoption du libre accès, dans le respect de l’équilibre économique des publications. Les revues diffusent parallemement une édition imprimée ou sont exclusivement électroniques. Toutes disposent de comité de lecture et/ou sont dotées de procédures garantissant la qualité des contributions publiées.
URL : http://www.revues.org/
Hypothèses, plateforme de carnets de recherche
Fondée en 2009, Hypothèses regroupe, fin 2014, près de 1000 carnets de recherche animés par une communauté de 10 000 carnetiers de tous pays. La plateforme reçoit plus d'un million de visites par mois. L'ensemble des contenus est en libre accès.Hypothèses héberge différents types de carnets : carnet de chercheur, carnet de terrain, carnet de séminaire, carnet de veille, etc. La plateforme elle-même est organisée en subdivisions linguistiques qui correspondent à des communautés de carnetiers francophones, germanophones et hispanophones.
URL : http://hypotheses.org
Calenda, le calendrier des lettres et sciences humaines et sociales
Calenda est une plateforme en ligne dédiée à l'actualité de la recherche en lettres et sciences humaines et sociales. Fondé en 2000, elle regroupe, fin 2014, près de 28 000 annonces d'évènements scientifiques en libre accès. Elle a reçu, au cours de l'année 2014, 1,6 millions de visites.Calenda publie dans toutes les langues, prioritairement les annonces de colloque, les programmes complets de journées d’études et de séminaires, les cycles de conférences, les propositions d'emploi et de bourses de recherche, les appels d’offres ainsi que les appels à contributions en vue de colloques, journées d'études ou numéros thématiques de revues.
URL : http://calenda.org
Diffuseurs scientifiques francophones liés aux universités
Éditeurs universitaires :
Académie des Inscriptions et Belles-Lettres (AIBL)
Anthropologie et Histoire des Mondes Antiques (ANHIMA – UMR 8210)
Casa de Velázquez
Centre d'Études Supérieures de Civilisation Médiévale
Centre de Recherche Juridique et Judiciaire de l'Ouest
Centre de Recherches Linguistiques sur l'Asie Orientale (CRLAO)
CNRS Éditions
Daedalus
École Française d'Athènes
École Française d'Extrême-Orient
École Française de Rome
École pratique des hautes études
Éditions de la Maison des sciences de l'homme
Éditions littéraires et linguistiques de l'Université de Grenoble
EHESS
ENS Éditions
Groupe d'anthropologie du Centre d'études portugaises
Institut d'études byzantines
Institut Français du Proche-orient
Institut National d'Études Démographiques
Presses de Science Po
Presses Universitaires de Bordeaux
Presses Universitaires de Franche-Comté
Presses Universitaires de la Méditerranée
Presses Universitaires de Rennes
Presses Universitaires de Vincennes
Presses Universitaires du Mirail
Publications de l'Université de Provence
Université de Caen
Université de Liège
Université de Poitiers
Université Lille 1
Diffuseurs scientifiques francophones privés, maisons d'édition
Cairn.info est né de la volonté de quatre maisons d'édition (Belin, De Boeck, La Découverte et Erès) ayant en charge la publication et la diffusion de revues de sciences humaines et sociales, d’unir leurs efforts pour améliorer leur présence sur l’Internet, et de proposer à d’autres acteurs souhaitant développer une version électronique de leurs publications, les outils techniques et commerciaux développés à cet effet.
Cairn.info a pour objectif de faciliter la mise en ligne des publications de sciences humaines et sociales en aidant les maisons d’édition et autres structures éditoriales, à gérer cette période complexe où doivent coexister une version électronique et une version papier des mêmes publications. Pour tenir compte de la diversité des situations, notre offre est modulaire, quasiment « à la carte » :
Le cœur de l’offre est constitué d’un service d’hébergement et de distribution des publications de sciences humaines et sociales, sous forme numérique, via le portail www.cairn.info.
Mais ce service peut être complété par d’autres prestations, en fonction des besoins spécifiques de chaque publication.
Conversion ou rétroconversion – c’est-à-dire conversion rétrospective – des fichiers prépresse de façon à produire les fichiers XML, structurés selon la DTD EruditArticle, nécessaires à la présentation des articles sur le portail www.cairn.info.
Association ARSS
Association d'économie financière
Association de la Revue de Géographie de Lyon
Association des amis de la BDIC
Association Espaces Temps
Association Française pour l'Étude du Quaternaire
Association Guillaume Budé
Association internationale des études françaises
Association LHA
Association MÉTROPOLIS
Association pour l'encouragement des études grecques en France
Association pour la diffusion de la recherche alpine
Association RFECO
Association RHR
Association SAMRA
Association Vita Latina
Centre d'archéologie médiévale du Languedoc
Centre Français des Études Éthiopiennes
FERACF
Groupe Français de Géomorphologie
Société Archéologique de Picardie
Société d'Anthropologie de Paris
Société d'études anglo-américaines des XVIIe et XVIIIe siècles
Société d'études soréliennes
Société d'Histoire de la Pharmacie
Société d'Histoire et d'Épistémologie des Sciences du Langage
Société d'histoire religieuse de France
Société de l'École Nationale des Chartes
Société de Législation Comparée
Société des Africanistes
Société des Américanistes
Société des Océanistes
Société Diderot
Société Française d'Économie Rurale
Société Française d'Étude du Seizième Siècle
Société française d'histoire d'outre-mer
Société française de numismatique
Société française pour la conservation et la description des monuments historiques
Société pour le progrès des études philologiques et historiques
Société Préhistorique de France
Centre d'Études Français sur la Chine contemporaine
INSEE
Institut de Management Public
Institut Français des Relations Internationales
Maison Franco-Japonaise
Ministère de l'Économie, des Finances et de l'Emploi
Mouvement français du christianisme social
Muséum national d'histoire naturelle
Observatoire des Politiques Publiques en Europe du Sud
Observatoire franco-québécois de la santé et de la solidarité
Éditeurs privés
- Actes Sud
- Armand Colin
- Belin
- De Boeck
- Éditions Descartes & Cie
- Éditions Médecine & Hygiène
- Hermès Sciences – Lavoisier
- John Libbey Eurotext
- L'Harmattan
- Le Seuil
- NecPlus
- Ophrys
- Peeters
Sociétés savantes
Association ArchipelAssociation ARSS
Association d'économie financière
Association de la Revue de Géographie de Lyon
Association des amis de la BDIC
Association Espaces Temps
Association Française pour l'Étude du Quaternaire
Association Guillaume Budé
Association internationale des études françaises
Association LHA
Association MÉTROPOLIS
Association pour l'encouragement des études grecques en France
Association pour la diffusion de la recherche alpine
Association RFECO
Association RHR
Association SAMRA
Association Vita Latina
Centre d'archéologie médiévale du Languedoc
Centre Français des Études Éthiopiennes
FERACF
Groupe Français de Géomorphologie
Société Archéologique de Picardie
Société d'Anthropologie de Paris
Société d'études anglo-américaines des XVIIe et XVIIIe siècles
Société d'études soréliennes
Société d'Histoire de la Pharmacie
Société d'Histoire et d'Épistémologie des Sciences du Langage
Société d'histoire religieuse de France
Société de l'École Nationale des Chartes
Société de Législation Comparée
Société des Africanistes
Société des Américanistes
Société des Océanistes
Société Diderot
Société Française d'Économie Rurale
Société Française d'Étude du Seizième Siècle
Société française d'histoire d'outre-mer
Société française de numismatique
Société française pour la conservation et la description des monuments historiques
Société pour le progrès des études philologiques et historiques
Société Préhistorique de France
Autre
Caisse nationale des allocations familialesCentre d'Études Français sur la Chine contemporaine
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